The Devil's Wolf Tome 2

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Point de vue de Brando.

(Quelques minutes avant.)

Tandis qu'elle danse sur la piste de danse avec Josh et Sophie, je peux voir son sourire et son amusement. Cela me réchauffe le cœur. Après tout ce qu'elle a enduré, je peux voir qu'elle commence à apprécier à nouveau la vie. Je sais qu'elle va bien grâce à Joé et Sophie.

Je la perds un instant, mais je la repère assise au bar. Un homme se rapproche d'elle.

Trop à proximité d'elle.

Je me lève, mais Jane me tient fermement par le bras.

- Brando, je veux danser.

- Vas-y seul, lui dis-je.

- Non... Je t'aimais beaucoup mieux avant. Avoue-t'elle.

- Ah ouais ? Répond-je en roulant des yeux au ciel.

- Tu n'avais pas l'air d'un connard.

Au loin, je remarque qu'Amber sourit au gars. Qu'est-ce qui peut bien lui dire, ce gars ?

- Brando...

- Jane, tu commences à me casser les couilles-là. Souffle-je agacé.

- Je veux juste danser avec mon mari.

Je vois de la rage quand ce mec l'embrasse sur la joue.

- Va me chercher une bière, demande-je à Jane.

Elle souffle, mais se lève pour aller vers la bar.

Je sais, je suis un connard.

Amber se rapproche de moi. Elle arrivait toute souriante, puis s'assoie à côté de moi.

- Qui s'était ? Lui demande-je.

- Hein ? Me réponds t'elle comme si elle n'avait pas pigé ce que je lui demande.

- Le gars qui t'a embrassé la joue.

Elle peut penser que je suis jaloux, je m'en contrefous.

Absolument, je le suis. Personne ne peut toucher à ce qui m'appartient.

- Un collègue de travail. Répond-t'elle.

J'ai envie de me lever pour aller foutre mon pied au cul de ce connard. Depuis quand est-ce que les collègues de travail s'embrassent ?

- Depuis quand les collègues embrassent-ils la joue de leur collègue ? Lui demande.

- Depuis que... Elle marque une pause. Tu es jaloux ? Me demande t'elle.

Je devrais lui répondre que c'est bien le cas.

- Non, je demande juste. Mens-je.

- M'ouais, en tout cas ce que je fais ne te regarde pas, je ne t'appartiens pas.

Elle se lève, mais je la saisis par le bras pour la pousser à s'installer sur moi.

- Je ne peux même pas te regarder sans avoir envie de t'embrasser. Dis-je

- Brando... Souffle t'elle alors que je remarque les frissons de son cou.

- Tu ne m'appartiens pas encore, mais je te promets que tu m'appartiendras bientôt.

- Tu sais ce que je sais que toi, tu ne sais pas.

Je secoue la tête.

- J'ai envie d'une amitié érotique... Chose que toi, tu ne peux pas me donner, car tu es marié, mais mon collègue, je pense qu'il peut me le fournir.