Les amants maudits

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Je passa dans le couloir et vu Hayley dans la chambre de mon père. Je descendis et alla dans la pièce où se trouvent Rebekah et Klaus.

Rebekah : vous avez osé brûler le corps des vampires sans moi ? Vous savez que j'aime brûler des choses.
Klaus : aurions-nous dû les laisser pourrir dans la cour ? Et puis, j'en étais responsable. Ils ont attaqué ma petite amie qui porte notre enfant.
Rebekah : comme c'est touchant ce soudain instinct paternel, pour ton enfant hybride.

Je rigola. Hayley arriva avec une livre, il y a un M dessus.

Hayley : la meilleure amie de la maman aimerait connaître le plan.
Alyzée : duquel parles-tu, Hay ? Le plan de Klaus pour dominer le monde...
Klaus : où celui de Rebekah pour trouver l'amour dans ce monde cruel ?

Rebekah lança un pinceau à Klaus. Ce dernier l'arrêta.

Hayley : le plan pour sauver Elijah. Le gentil frère, celui qui est entre les mains de ton ennemi parce que tu l'as poignardé dans le dos.
Klaus : non, de face, si on veut être précis.

Je lui mis un coup de coude. Il me regarda en souriant.

Hayley : vous avez juré de le récupérer. Vous avez un plan ?

Moi, Rebekah et Klaus, on se regarda et on alla tous dans la pièce d'à côté.

Klaus : tout d'abord, Marcel n'est pas mon ennemi. C'est mon ami. Un ami qui ignore que je m'efforce de saboter tout ce qu'il a fait pour maîtriser les êtres surnaturels du Carré. Ensuite, j'ai endormi Elijah pour gagner la confiance de Marcel. Si j'avais su qu'il le livrerait à une sorcière ado très agressive, j'aurais sûrement opté pour une autre tactique. Enfin, ma Azia ?
Alyzée : enfin, le plan est simple. Nik va demander à Marcel de nous rendre mon père.
Hayley : dites-moi que ça ne de limite pas à ça.
Rebekah : voyons. Klaus est un frère exécrable, mais il es diabolique à souhait.
Klaus : c'était le plan A, petite louve. Il y a toujours un plan B.
Hayley : c'est quoi, ce plan B ?
Klaus/Alyzée/Rebekah : la guerre.

Klaus partit voir Marcel.

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Thierry : je sais, Klaus est ton ami. Mais depuis l'arrivée des Originels...

J'entre dans la pièce.

Klaus : Thierry, allons. Tu m'en veux encore pour la morsure toxique que je t'ai faite ? Je pensais que c'était oublié.
Thierry : il évolue librement dans ton Q.G. ?
Klaus : vu que ma famille a vécu ici et à même bâti cet endroit...
Marcel : du calme. Vous avez ce qu'il en est. Thierry est mon lieutenant. Klaus est mon ami de longue date, mon géniteur et mon invité. Alors, la paix. D'accord ? D'accord. Qu'y a-t-il ?
Klaus : ma sœur et Azia, insistent pour que je réclame Elijah. Ça les a mise dans tous leurs états.
Marcel : clairement.
Thierry : on ne va pas se retrouver avec trois Originels et la fille adoptive d'un des leurs. Les gars soupçonnent sa sœur et d'autres soupçonnent sa petite amie.
Klaus : est-ce une accusation ?
Thierry : oui.
Klaus : envers deux Originelles ?

Je m'avança vers Thierry. Il fit de même. Marcel nous arrêta.

Marcel : la paix, j'ai dit. Viens, suis-moi.

Je souria à Thierry et partit avec Marcel.

Klaus : ton lieutenant n'a pas beaucoup d'humour.
Marcel : il est surprotecteur, mais d'une loyauté sans faille. Je lui ai sauvé la vie dans les années 40. Il mourrait d'une blessure de guerre devant un hosto militaire. Il tuerait et mourrait pour moi. Et il joue de la trompette comme un dieu. Peut-être qu'il acceptera de jouer ce soir. Tu seras des nôtres ?
Klaus : je veux voir le conseiller municipale accepter ton énorme don à la ville.
Marcel : c'est un abruti. Mais il nous laisse vivre en échange de petits gestes. Comme ne pas croquer les gens d'ici. Écoute, pour ton frère. J'aimerais te le rendre, mais Thierry a raison. Mes hommes sont tendus. Les Originels arrivent et des vampires meurent. Ça les rend nerveux. Te rendre Elijah pourrait donner l'impression que je ne mène pas la danse. Tu comprends ?
Klaus : comme tu comprends que je devais demander.
Marcel : viens avec ta Alyz se soir. Je veux voir ma cousine de cœur.

Un bébé ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant