Les années se succèdent,
Ne se ressemblent guère,
De celles où on fit la paix
De celles où nous fûmes la guerre
De celles où nous eûmes les nerfs
De celles où nous eûmes du flair.
Les années coulent, se chevauchent
Laissant ainsi le sempiternel glas du spleen
Nous donner un coup de froid dans cette chaleur,
Un coup de chaud dans cette fraîcheur
Si bien que l'être entrevoit la douceur de la peur.
Les années passent et ne s'assemblent pas,
Le temps passe et nous trépassons vers la mort, à grands pas
Nous courons au trépas.
Le temps n'est qu'avenir
Le futur n'a qu'à venir nous repentir,
Qu'ils viennent tous dans le présent, nous assagir
Avant que nous périmes, et que nos enfants dépriment.
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L'illusion Du Vécu : Quand La Vérité Devient Triste.
PoetryLa perfection est loin et pourtant réalisable en réalité. La perfection existe dans toutes les choses. L'être humain est un être parfait. Il le sait lui même. Il construit la réalité à son gré pour toujours avoir raison. Il est vraiment parfait, si...
