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Il monte sur le lit a genoux puis avance pour positionner Lilly en dessous de lui puis l'a regarda sans rien dire , le moment de silence qui s'est installé a provoqué une sensation de malaise chez la jeune femme.
—Lil , j'ai toujours imaginer ce moment avec toi , le moment où tu tombe entre mes mains !
—Mais ... Je ne te connais pas ! Que ce que j'ai fait pour mériter tout ça ?
—Lil ma petite , souviens toi , on était dans la même classe ... Je sais que tu ne te souviens pas de moi ... Personnes ne se souvient de moi d'ailleurs.
—Tu te venge parceque je tes fait un jour du mal ? C'est ça ?
—Tu sais ... Tu m'a parlé que deux fois et tu étais si gentille avec moi.
—Comment ça gentille ?
—Ta vue toi même t'es choqué d'avoir était gentille une seule fois dans ta vie.
A dit Sam en rigolant, il a affiché un sourire tout mignon comme si cette personne n'es pas la même qui fait du mal a Lilly.
—Mais puisque j'étais gentille , explique moi pourquoi tu m'a fait ça !
Demanda Lilly.
—Tout le monde étaient méchant avec moi , j'étais tout maigre , plein de boutons et sur tout pauvre ... Tu étais là le jour ou Jackie et ... L'autre il s'appelle comment déjà Bernard c'était un français normalement.
—Je me souviens.. eh .. je t'es aider ! Je tes jamais fait de mal ! Alors pourquoi ta fait ça !
—Tu était la seule personne a m'avoir défendue , tu te rend compte.
—Donc c'est le monde a l'envers puisque j'étais gentille tu me punis ou quoi ?
—Punis ? Je te désire je suis obsédé par toi depuis , je ne tes pas parler de moi ma belle mais la deuxième fois où je tes demander de sortir avec moi tu m'a juste tapé sur l'épaule et tu es partie .. j'ai juré que je t'aurai a tout pris .. a moi seul.
—Tu - tu m'avais stalker toutes ses années ?
—Mais bébé ne soit pas stupide bien sûr que non , tu es apparu pille ou je me suis fait pleins de choses dans la vie , je tes retrouver.
Il met ses deux mains autour du cou de Lilly et serre un peu « Je suis un fou Maddie » a dit avant de commencer a rire comme un fou pendant que Lilly suffoquer entre ses grandes mains.
La chambre était plongée dans une semi-obscurité, où seuls les lueurs faibles des lampes de chevet luttaient pour percer l'ombre.
Les mains de l'agresseur, tels des étaux d'acier, serraient sa gorge délicate avec une férocité inhumaine. Sa peau pâle et douce se marbrait de rouge sous la pression cruelle, des veines saillantes dessinant des chemins tortueux sous la surface tendue.
Des mèches de cheveux d'habitude soyeuses s'éparpillaient comme des fils d'or autour de son visage, mais maintenant, même leur beauté semblait assombrie par la terreur qui brûlait dans ses yeux.
Ses pupilles dilatées reflétaient un mélange tourbillonnant de peur, de désespoir et de détermination farouche. Chaque fibre de son être luttait pour chaque souffle, chaque infime goutte d'air, comme si elle tentait de rallier ses dernières forces contre un destin inexorable.
Des larmes silencieuses roulaient le long de ses joues, témoins muets de l'agonie qu'elle endurait en silence. Ses lèvres, autrefois roses et pleines de vie, tremblaient maintenant dans un effort vain de prononcer un mot, un cri de détresse étouffé par la poigne de fer qui écrasait son esprit et son corps.
Dans cette chambre étouffante, le temps semblait se dilater, chaque seconde prolongeant l'agonie, chaque battement de cœur résonnant comme un dernier appel à la vie. Elle était là, une figure tragique de la résistance humaine face à l'oppression, un tableau vivant de la lutte entre la cruauté et la survie.
Il lâche subitement Lilly qui récupère difficilement son souffle coupé, elle  ressent encore la pression sur son cou , ses yeux qui voulaient sortir de leurs place , même sa vision n'était pas clair la petite a frôlé la mort, et le pire c'est qu'elle est encore ligoté, elle ne pouvait pas se lever et Sam Drake la regarde si heureux de l'avoir entre ses mains comme un enfant qui est heureux de son cadeau de Noël.
—Tu vas toujours être mienne.
A dit d'un air sérieux.
Il l'aide a s'assoir pour enlever la corde qui a fait apparaître des bleus sur sa peau , la pauvre des qu'elle s'est libérée a essayé de le pousser mais elle n'avait plus de force , c'est qui lui a poussé a rigolé encore plus.
Shhht ! Calme toi ma douce.
A chuchoté tout en attrapant ses deux mains.
Lilly a l'air d'être calme mais son rythme respiratoire prouve qu'elle est tout sauf calme.
Elle lui dit qu'elle voulait partir aux sanitaires, il se lève et la regarde pour ensuite lui demander de le suivre est des qu'elle sort de la chambre elle reste figé a mater le grand espace blanc qui sert d'une cuisine ouverte équipée de tout le matériel requis qu'une personne a besoin pour cuisiner, un îlot au milieu tout était propre et organisé, elle tourne la tête légèrement pour voir que le mur entier étai des vitres en verre qui sert de fenêtre, et la vue était d'un grade ciel près de la plage.
Elle le regarda ensuite et le trouve devant une porte ouverte.
—Vas-y rentre puis rejoint la chambre.
—Oui.
Elle était bouche bé , elle a crue quelle était dans une petite maison d'une une forêt mais n'a pas penser une seconde que Sam avait une telle maison.

Stalker. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant