𝑀𝑒𝑠𝑠𝑎𝑔𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑔𝑙𝑎𝑛𝑡

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Sous le château, dans une salle sombre et humide, Ginny Weasley se tenait figée devant Tom Riddle

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Sous le château, dans une salle sombre et humide, Ginny Weasley se tenait figée devant Tom Riddle. Le journal intime de ce dernier était entre ses mains tremblantes. Elle était complètement envoûtée, ses yeux vides fixés sur les contours brumeux de l'esprit de Riddle. Des murmures sombres et envoûtants s'échappaient des lèvres de l'apparition, enveloppant la jeune sorcière dans une étreinte glaciale.

« Libère le basilic, Ginny, » souffla Riddle, ses paroles s'insinuant dans son esprit comme un poison doux-amer. La jeune sorcière, sous l'emprise du journal, hocha la tête lentement. Ses mouvements étaient mécaniques, contrôlés par une volonté étrangère. Elle se dirigea vers une large fissure dans le mur, prononçant des mots en fourchelang, la langue des serpents, que Riddle lui avait appris.

Les yeux du serpent sculpté s’illuminèrent, et un grondement sourd résonna dans la pièce. Le sol trembla légèrement alors qu’un passage secret s’ouvrait, révélant les profondeurs sombres où reposait le basilic. Une immense créature, ses écailles brillant d'un vert sinistre, se réveilla de son sommeil séculaire. Ses yeux morts pouvaient tuer d'un seul regard, mais Ginny, sous le contrôle de Riddle, n’en avait pas conscience.

« Va, » ordonna Riddle d'une voix douce et implacable. « Ce soir, il y aura une première victime. Ce soir, l'école plongera dans une nouvelle ère de terreur. »

Ginny, toujours en transe, obéit sans hésitation. Elle libéra le basilic, permettant à la créature de se glisser hors de sa tanière. Le serpent géant se glissa silencieusement dans les ombres du château, prêt à semer la panique et la destruction.

Riddle, satisfait de la tournure des événements, fit un signe de la main à Ginny pour qu'elle s'en aille. « Pars, » lui dit-il, « je n'ai plus besoin de toi pour l'instant. » Ginny, telle une marionnette sans fil, se tourna et quitta la salle, ses pas résonnant faiblement dans le couloir.

Riddle resta seul, son esprit flottant dans l'obscurité. Il ne put s’empêcher de comparer Ginny à sa propre fille. Si Ginny avait été aussi rusée qu’Éléonore, elle aurait peut-être lancé un sort de protection avant de toucher le journal, comme l'avait fait sa fille. Mais Ginny n'était qu'un pion facile à manipuler, alors qu'Éléonore montrait déjà une intelligence et une ruse qui dépassaient son âge.

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