Intimidation

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Je m'avance vers eux en prenant leur sac. Elles s'assoient et je leur sers à table.

Célia : maintenant, va attendre qu'on ait fini de manger pour venir débarrasser.

Moi : oui, madame.

Je vais dans la cuisine, je mange parce que c'est à présent que j'ai le droit de manger. Après quelques minutes, elles m'appellent

je débarrasse la table et j'arrange un peu la maison et monte me coucher. Je me couche en pensant à ma vie, à mes parents qui m'ont abandonné dans cet orphelinat. Je me demande comment ce serait ma vie si j'avais eu des parents aimants.

Je m'endors en pensant à ces choses. Le matin, je me lève avec des cris. Je pense qu'elles ont un truc. Je descends les escaliers rapidement en pensant qu'elles étaient en danger. Mais non ! Je les ai trouvées en train de sauter de joie.

Moi : Qu'est-ce qui se passe ?

Célia : rien qui ne te regarde.

Stéphanie : Laisse-moi lui dire maman, eh bien, c'est le concours de talent qui va commencer dans deux semaines et je vais devenir une star.

Moi : (souffle)

Stéphanie : De toute façon, tu ne vas pas comprendre, tu n'as aucun talent.

Célia : elle n'est qu'une bonne à rien.

Jeanne : incapable.

Je ne leur donne même pas de réponse et remonte me préparer pour le lycée. Je me douche et m'habille et sors de la maison. Aujourd'hui, elles sont heureuses, donc je peux sortir de la maison de bonne heure.

Je prends le bus en arrivant au lycée, il y a une tension. Les élèves sont surexcités pour le concours.  Ce matin, j'ai cours de Biologie. Je rentre dans la salle de classe et le professeur commence à peine son cours. Je m'assois et commence à suivre le cours. Mais sans compter sur les trois servantes de Stéphanie qui sont assises derrière moi.

Marie : les filles, ce concours, c'est pour moi, je vais gagner.

Jenny : Et nous alors !

Anne : de toute façon, c'est Stéphanie qui va gagner, elle danse trop bien.

Marie : n'importe quoi, moi aussi, je danse bien Et je vais prouver à tout le monde que je danse mieux que Stéphanie.

Jenny : oui, nous allons prouver à la petite Princesse de quoi on est capable.

Anne : parle moins fort, il y a Fanie devant.

Si elle savait à quel point je m'en fous de leur trahison envers Stéphanie.

Marie : elle ne va rien dire, et de toute manière, Stéphanie ne va jamais la croire.

Jenny : C'est clair.

Anne : Mais tout de même, faisons attention.

Après, je me suis plus focalisé Sur elles. Après que le cours est terminé. Je me dépêche de sortir, car j'ai extrêmement faim : je n'ai rien mangé ce matin. Arriver dans la cantine, je prends mon plateau. Je m'assois et commence à manger, mais il y a beaucoup de bruit et j'avais tellement faim que c'est maintenant que je me rends compte.
Je me lève pour aller voir ce qui se passe. Je vois Stéphanie et sa bande en train d'intimider une élève.

Stéphanie : J'ai entendu que tu as dit que tu danses mieux que moi, c'est ça.

Élève : non non non, j'ai… pas… dis ça

L'élève tremblait et ses yeux étaient rouges. Je ne sais même pas depuis quand elle pleure.

Stéphanie : Tu vas m'écouter, petite sotte, je danse mieux que tout le monde et ce concours, c'est moi qui vais gagner.

Et entendant Stéphanie dire ces paroles, je regarde sa bande d'amies en me rappelant les mots qu'elle avait dits. Elles sont si hypocrites. Mais je ne peux pas rester là sans aider l'élève, hein.

Moi : Stéphanie laisse là

Stéphanie : Depuis quand tu ouvres ta bouche pour me parler, toi ?

Moi : donne-la une chance. Je suis sûr qu'elle ne va plus dire ses mots.

L'élève : oui, oui, je ne vais plus répéter ses mots.

Stéphanie : J'espère pour toi, sinon je vais revenir et je ne vais pas être aussi gentil qu'aujourd'hui.

Elle et sa bande s'en vont, mais en chemin, elle s'arrête pour m'appeler.

Stéphanie : Fanie, où sont nos plateaux ? Fait vite, j'ai faim.

Moi : oui, j'arrive.

Je donne un mouchoir à l'élève et lui dis de faire attention à elle. Je cours prendre les plateaux. Et les apportent à la table des populaires.

Stéphanie : c'est la dernière fois que tu ouvres ta bouche pour me dire que faire, OK.

Moi : absolument

Je pars pour finir de manger. Les cours de l'après-midi s'étaient bien passés. Seulement, il y avait peu d'élèves dans la classe. La moitié n'était pas là. Je crois qu'ils sont en train de se préparer pour le concours. J'ai entendu que leurs parents ont engagé des professeurs de renom pour les former Pour qu'ils puissent gagner le concours. Mais je crois que les parents ont oublié qu'il n'y a qu'un seul gagnant. Je dis ça, je ne dis rien, hein.

Comme je n'ai pas de parent, donc je n'ai pas de professeur pour m'apprendre.De toute façon, je ne vais pas partir à ce concours. Montrer mon talent en direct devant tout le pays C'est trop pour moi.

Les Souffrances De FanieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant