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     Je ne savais pas qu'il allait être aussi réceptif. Il me caressait, il me touchait le corps dans tous les sens. Au début je ne savais pas comment réagir. Certes c'était mon plus grand rêve mais de là à ce qu'il réagisse de cette manière, je ne l'avais pas prévu. Il ne présentait aucun signe d'une attirance envers les garçons, aucuns gestes, aucuns regards déplacés. Je ne savais que faire à part me prêter au jeu. Je l'embrassais, les lèvres que je voulais tant sucer était désormais dans ma bouche. Je m'en délectais amoureusement, je le caressais, je passais ma main dans ses cheveux, je descendais le long de son dos, lentement, avant de revenir vers son ventre et de descendre encore plus bas. Il gémissait, lorsque je l'embrassais, lorsque je caressais son épais concombre qui commençait à prendre vie là dans ce jog.
Je pompais activement son gland, de tout son long, il était énorme. J'avais du mal à l'enfourné complètement dans ma bouche. Il était épais et lourd. Signe de toute son expérience avec les femmes, je ne savais pas encore que j'allais être une de ses nombreuses victimes.

Ses couilles étaient elles aussi grosses et lourdes. Le sac n'arrivait pas à bien les contenir, ils pendaient comme deux patates au fond d'un grand sac. Je n'ai pas mis trois secondes pour les avaler. Oui je les ai avalé, puis il a enlevé en criant de plaisir. Je ne savais pas ce que je faisais mais je voulais juste lui faire plaisir. Je voulais que cette expérience soit à jamais gravé dans sa mémoire comme étant la meilleure de toute sa vie.

Je l'ai regardé dans les yeux, il les avait fermés et poser les mains sur sa tête en profitant de la situation. À cet instant, avec l'image magnifique que j'avais d'en bas, je pensais qu'il savait que c'était moi.

Je m'activais à le piper, dans tous les sens du terme. J'ai enlevé complètement son pantalon et j'ai soulevé ses jambes ce qui me laissait la vu impétueuse de son anus. Pour un hétéro, je m'attendais à voir certaines choses, mais c'était tout propre. Je n'ai pas perdu de temps et je me suis mis à lécher ce trou de balle qui appelait ma bouche. Il gémissait dans tous les sens, il gesticulait de temps à autre et il kiffait. Je ne savais pas que bouffer le cul était aussi bon et gratifiant. Je pouvais passer toute la soirée là avec son cul dans la bouche.

En même temps j'enlevais aussi mes vêtements pour ne pas le faire attendre. J'étais déjà préparé à recevoir son immense gland dans le derrière. Je me suis levé, j'ai remis ses pieds à plat sur le sol, je suis monté sur lui en lui présentant mon dos. J'avais du mal à le faire rentré complètement. Je me suis arrêté au tiers inférieure et là il l'a fait rentrer d'un trait par le mouvement de son bassin. Je n'ai pas voulu crier mais il a aimé, vu comment il m'a baisé par la suite.

Il s'est redressé et m'a agrippé par le torse et m'a retourné en me planquant sur le lit le cul surplombant la pièce. Il a appliqué une pression sur mon dos ce qui m'a forcé à me cambrer d'avantage accentuant l'ouverture de mon cul. Et là il a enfin commencé les vas et viens. Très lentement, pour que ça commence à glisser puis il a augmenté la cadence rapidement. Je sentais chaque parcelle de son gland s'insinuer jusqu'au bout de mon tunnel. À cet instant il était le premier mec à qui je donnais mon cul, imaginer la douleur face à cet anaconda. Mes dents étaient agrippés aux draps pour ne pas alerter d'autres personnes. On était dans une chambre à l'écart de l'agitation.

Mon cul n'arrêtait pas de claquer lorsque son bassin venait le frapper. J'aimais ressentir cette sensation, celle du son pubis sur mes fesses. J'avais mal, un mal qui s'accompagnait de pointe de plaisir par endroit, surtout lorsqu'il passait sa main tout doucement sur celles-ci avant de les baffer. C'était ça que je voulais tant de lui, arriver à cette conclusion était magnifique. Moi lui donnant mon cul pour qu'il soit satisfait.

Il était maintenant sur mon dos, à me massacrer fortement le cul en cuillère. Il faisait rentrer toute sa teub dans mon fiak. Il me martelait le cul sans me ménager par moment. On aurait dit qu'il aimait ça, qu'il aimait dominer. J'avais déjà joui depuis bien longtemps sauf que lui non. Je ne sais pas si c'est l'effet qu'à l'alcool dans son sang mais depuis rien n'est sorti. Je ne voulais pas que le supplice continuait jusqu'au matin. J'avais déjà trop mal au fiak.

MON VOISIN  ( Mon aventure ) [ BXBXG ] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant