Chapitre 8

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Tout le monde est rentré, on a mangé et on a parlé de tout et de rien. Aymen sort de l'hôpital demain matin. Ilyes et Hamza vont aller le chercher. J'aurais pu reprendre le travail, mais mon patron m'a laissé deux mois, donc je profite de mes deux mois. Je pars au lit tôt, à 21h j'étais au lit et je me suis endormie vite.

Ce matin-là, ma mère ne m'a pas réveillée vu que je ne travaille pas, donc je me suis réveillée à 10h.

J'étais toute seule chez moi. Ma mère devait être avec la mère d'Aymen et Hamza. Younes était au travail, Alia était partie au travail aussi depuis qu'Aymen va mieux, et Ilyas était au lycée.

Ce matin-là, rien de spécial. Je suis restée chez moi devant une série et l'après-midi, à 13h, quelqu'un est entré chez moi c'étaient Aymen, Ilyes et Hamza.

Ilyes : Allez, va te préparer, on part.

Moi : On va où ?

Aymen : tg et va te préparer.

Olala, on l'a vraiment retrouvé.

Hamza : On va à la plage faire du jet ski.

Aymen et Ilyes : Tu ne peux pas la fermer ?

Moi : Ahhhh trop bien, je vais me préparer !

Je me prépare vite et après on va dans la voiture à Ilyes.

Je reçois une photo d'Inaya qui était à la plage.

Message :

Moi : Salam, ça va ? Moi aussi, aujourd'hui, je vais à la plage. T'es à laquelle ?

Inaya : Salam, Hamdoulah et toi ? Ah trop bien, moi je suis à celle à côté de chez moi.

J'ai demandé à Ilyes où on allait et c'était celle à côté de chez elle.

Moi : Nous aussi, on va à celle qui est à côté de chez toi !

Inaya : Trop bien, on se voit là-bas, il y a Kaïs !!

Moi : Parfait.

Fin de conversation.

On arrive, Inaya me voit, me court dessus et me fait un câlin. Je la présente à Aymen, Ilyes et Hamza, et je présente Kaïs aussi.

Ilyes et Hamza se sont bien entendus avec Kaïs. Il y a juste Aymen qui faisait le sauvage, mais ça va s'arrangé dans la journée. Inaya, trop contente de me voir, me raconte tout et moi aussi, puis on part faire du jet ski.

C'était bien, on faisait des courses. Bien sûr, Ilyes, Hamza et Aymen n'écoutaient rien des consignes, ils faisaient tout et n'importe quoi.

Une journée vraiment trop bien, j'adore le jet ski. On en a fait une heure. Après ça, on est allés manger des crêpes au Nutella, oui, j'adore les crêpes au Nutella, meilleur truc. On s'assoit.

Inaya était en face de moi, Aymen à côté de moi, Kaïs en face d'Aymen, Hamza à côté de Kaïs et Ilyes à côté d'Aymen.

On parlait de tout et de rien, Inaya et moi, les garçons parlaient entre eux et là, Kaïs me parle.

Kaïs : Alors ça va, Aïcha ? Tu racontes quoi ? Tu ne t'es pas reperdue ? (rigole).

Aymen le regardait mal, mais vraiment mal.

Moi : Ça va, Hamdoulah et toi ? Je ne raconte rien de spécial à part que pendant un mois, je n'ai rien de prévu. Non, je ne me suis pas reperdue, mdr (rigole).

Kaïs : Ah ouais, tu as un mois devant toi, on pourra se voir.

Moi : si tu

Et là, Aymen m'a coupé la parole. Alors que je voulais dire « si tu veut »

Aymen : Non, t'inquiète pas, elle sera occupée, pas le temps pour toi.

Kaïs : Je parlais à Aïcha, pas à toi.

Aymen : Quand tu parles à Aïcha, tu parles à moi. Tu as un problème ?

Oulala, la tension montait chez Aymen et elle commençait aussi chez Kaïs.

Kaïs : T'es marié avec elle, non ? Donc quand je parle à Aïcha, c'est Aïcha qui répond, et il n'y a pas de problème.

Aymen : Nique ta race, qu'est-ce que tu ne comprends pas ?

Il se lève.

Ilyes : Assieds-toi, Aymen, il n'y a rien. Arrêtez de vous embrouiller pour rien.

Bon, c'est clair que maintenant, entre Kaïs et Aymen, ça ne passera pas.

Après avoir fini la crêpe, nous sommes repartis.

Pendant le trajet en voiture, je me suis endormie. Arrivés, Aymen m'a réveillée.

Aymen : Aïcha, réveille-toi, on est arrivés.

Moi : Mhmm, merci.

Je suis montée chez moi, Ilyes, Aymen et Hamza sont repartis faire leur truc.

Maman : Tu étais où, ma fille ?

Moi : J'étais avec Ilyes, Hamza et Aymen. On est partis à la plage faire du jet ski, c'était trop bien.

Maman : Tant mieux, ma chérie, je ne te vois plus trop en ce moment.

Ilyas : Vous avez fait ça sans moi ?

Moi : Olala, on t'emmènera la prochaine fois.

Maman : Je t'emmènerai, mon fils, moi.

Ilyas : Tu sais faire du jet ski, toi, maman ? (rigole).

Maman : Tu me prends pour qui ? Je suis encore jeune.

Ilyas : Ah ouais, ça va être super drôle (rigole).

Après, je suis allée à la douche, ma routine quoi. Ensuite, j'ai fait une partie de FIFA avec Ilyas.

Il a gagné, je l'ai laissé gagner, hein, croyez pas. Après, on est partis manger chez Aymen, comme presque tout le temps.

On arrive, Alia nous ouvre la porte, tout le monde était là. Alia et moi, on était dans sa chambre.

Alia : J'aime Younes, Aïcha.

Moi : Je sais, ça se voit.

Alia : Je ne peux pas le dire à Aymen, sinon c'est la guerre.

Moi : Tu ne peux pas le lui cacher non plus.

Alia : Il faut que j'en parle avec Younes.

Moi : Oui, et après avec Aymen.

Je ne savais pas l'aider sur ce truc, hein, car même moi je ne dis pas à Ilyes que j'aime Aymen.

Je ne l'ai même pas dit à Alia, je ne l'ai dit à personne.

Après tout ça, on passe à table, on rigole tous, on parle de tout et de rien et ma mère reçoit un appel, mais je ne savais pas de qui c'était. On entendait juste ma mère.

Appel :

Maman : Allô ?

Maman : Hein, il se passe quoi ?

Maman : On prend le premier avion.

Maman : On arrive, on prend le premier avion avec les enfants.

Fin de l'appel.

La chronique d'Aïcha et Aymen Où les histoires vivent. Découvrez maintenant