Chapitre 67

27 3 0
                                    

On part voir Eliase chez lui.

On toque, et c'est la mère d'Aymen qui ouvre.

La mère d'Aymen : Ça va les filles ?

Nous : Oui, et toi ?

La mère d'Aymen : Oui, des nouvelles d'Aymen ?

Moi : Oui, on peut te dire ça après, s'il te plaît. Je dois d'abord parler à Eliase.

La mère d'Aymen : Bien sûr, il est dans sa chambre.

Moi : Merci.

Imène : Je viens ?

Moi : Si tu veux.

Imène : Vas-y, je viens.

On va toquer à la porte de la chambre d'Eliase.

Eliase : Entrez.

Moi : Salut.

Eliase : Salut. Alors, Aymen ?

Moi : Désolée, Eliase, tu ne verras pas ton frère ce soir.

Eliase me regarde, tout triste.

Eliase : Mais tu m'avais dit que je le verrais ce soir...

Moi : Je suis désolée. Il va bien, mais il ne veut pas encore rentrer.

Imène : Il est parti quelque part, mais personne ne sait où.

Eliase : Ah d'accord...

Imène et moi : Mais tu peux lui envoyer des messages, essayer de l'appeler.

Eliase : D'accord, merci.

Je sors de la chambre d'Eliase et on va voir la mère d'Aymen dans la cuisine.

La mère d'Aymen : Alors ?

Imène : Aymen va bien.

La mère d'Aymen : Tant mieux.

On parle de tout et de rien, et je reçois un message d'Aymen.

Message :

Aymen : Ça va, t'inquiète pas pour moi, Aïcha.

Moi : Aymen, t'es où ?

Aymen : T'inquiète pas pour moi, juste oublie-moi, Aïcha.

Moi : Aymen, non...

Aymen : Désolé, Aïcha, je ne serai jamais le gars parfait avec un bon travail, etc...

Moi : Ce n'est pas grave, je m'en fiche, Aymen.

Aymen : Non, désolé, Aïcha...

Fin de conversation.

J'essaie de retenir mes larmes, mais je n'y arrive pas.

Je commence à pleurer.

Imène : Ça va, Aïcha ?

La mère d'Aymen : Aïcha, qu'est-ce qui se passe ?

Je sors rapidement et rentre chez moi, dans ma chambre, où je pleure.

J'aime Aymen, et il veut que je l'oublie.

Imène toque à ma porte.

Imène : Aïcha, ça va ?

Imène : Aïcha ?

Quand j'arrête enfin de pleurer, Imène entre dans la chambre.

Imène : Ça va ?

Je lui montre les messages.

Imène : Désolée, Aïcha...

Moi : C'est rien, t'inquiète pas.

La chronique d'Aïcha et Aymen Où les histoires vivent. Découvrez maintenant