Chapitre 21

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Le lendemain matin, je me lève pour aller au travail.

Ilyes dormait sur le canapé, donc personne ne faisait de bruit.

Je descends en bas du bâtiment pour aller à ma voiture.

Aymen : Salem, ça va ? T'as bien dormi ?

Moi : Hamdoulah, et toi ?

Aymen : Hamdoulah. Je t'emmène au travail ?

Moi : Si tu veux.

Aymen : Allez, monte.

Je monte, on met de la musique, on était à fond dès le matin, puis on est arrivés à mon travail.

Aymen : N'oublie pas de demander pour partir en Algérie, clocharde (rire).

Moi : Mdr, tu as trop envie que je parte en Algérie avec toi en fait (rire).

Aymen : Allez, clocharde (rire).

Moi : Salem.

Je pars et je vais à mon travail.

Salma : Salem, ça va ?

Moi : Salem, ça va, et toi ?

Salma : Ça va, ça va.

Je suis partie me préparer et je vois mon patron, mais je ne lui avais pas encore demandé.

Je reçois un message d'un groupe il y avait Younes, Aymen, Ilyes, Ilyas, Eliase, Alia, Hamza, plus nos mères.

Le groupe s'appelle "la famille".

Message :

Alia : Moi, mon patron m'a laissé une semaine.

La mère de Aymen : C'est bien.

Aymen : Qui s'en fout, lève la main ✋.

Ilyes : ✋.

Hamza : ✋.

Younes : ✋.

Ilyas : ✋.

Eliase : ✋.

Moi : 🤣🤣🤣. Il faut que je demande à mon patron, moi.

Alia : Mdr, vous 🤣. Vas-y, demande mdr.

Moi : Je vais y aller.

Aymen : On s'en fout aussi ✋.

Ilyes : ✋.

Hamza : ✋.

Younes : ✋.

Ma mère : Vous nous soûlez.

La mère de Aymen : On n'a pas fait un groupe pour voir des mains.

Aymen : 🤣🤣🤣.

Fin de conversation.

Moi : Euh, j'ai un truc à te demander.

Mon patron : Dis-moi tout.

Moi : Euh, ce serait pour savoir si je pourrais avoir deux jours pour partir en Algérie avec ma famille.

Mon patron : Bah Aïcha, écoute, je t'ai donné deux mois et tu es revenue à l'avance.

C'est vrai, il m'avait donné deux mois et le deuxième mois j'avais pris juste une semaine pour aller au Maroc.

Mon patron : Donc tu peux reprendre les semaines qui te manquent quand tu veux, ça ne me dérange absolument pas.

Moi : Merci, c'est trop gentil, vraiment.

Mon patron me sourit, il est vraiment trop gentil.

Message :

Moi : Il me laisse une semaine.

La chronique d'Aïcha et Aymen Où les histoires vivent. Découvrez maintenant