Chapitre 39

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Bref, je descends, tout le monde était en bas, et après, on part pour aller au restaurant.

Bien sûr, j'emmène Kiki avec nous.

Arrivés au restaurant, la dame nous installe, on s'assoit, on parle, on rigole, etc...

Après avoir mangé, on sort pour aller au marché nocturne, et on voit Selma et Ali.

Ils viennent vers nous.

Selma et Ali : Salut !

Nous : Salem !

Bref, on marche, on parle, on rigole, etc....

C'était trop bien. À 1h du matin, on est rentrés, et on voit des petits jouer au foot.

Du coup, Ilyes, Aymen, Hamza, Younes, Alia et moi sommes allés jouer avec eux. Vingt minutes plus tard, on est rentrés et tous allés au lit.

Le lendemain matin, on s'est levés à 9h. On s'est préparés, on a fait nos valises, on a fait  le manège, puis on a rendu les clés de la maison à la dame.

Ensuite, on est allés chez la grand-mère d'Aymen pour manger, etc...

L'après-midi, on a joué au foot, à FIFA, etc....

À 17h, on a dit au revoir à tout le monde et on est allés à l'aéroport.

À 17h40, on est montés dans l'avion, et on est arrivés vers 20h.

Ensuite, on est rentrés chez nous.

Imène : OMG, vous m'avez trop manqué !

Nous : Oui, toi aussi.

Imène : Tu m'as acheté un cadeau, j'espère, Aïcha !

Moi : Bien sûr.

Je lui ai acheté un maillot de l'Algérie. D'ailleurs, demain, ma grand-mère et ma tante Sonia viennent emménager, ça va être trop bien.

Bon, rien de spécial ce soir-là, je suis allée au lit tôt.

Le lendemain matin, je me suis réveillée et je suis partie au travail vu que c'était samedi.

J'arrive au travail.

Salma : Salem, ça va ?

Moi : Super, et toi ?

Salma : Oui, bien. Alors, tes vacances en Algérie ?

Moi : Bien, bien. D'ailleurs, tiens, un petit cadeau.

Salma : Merci, c'est trop gentil !

Je lui ai offert un maillot de l'Algérie aussi. Je reçois un appel de Walid.

Appel :

Walid : Allô, ça va ?

Moi : Yes, et toi ?

Walid : Arrête de faire l'anglaise ici.

Moi : MDR.

Walid : D'ailleurs, c'est bientôt qu'on se voit, petite cousine.

Moi : Oui, je sais, pour ton mariage.

Walid : T'as pris tes jours ?

Moi : Oui, t'inquiète pas.

Walid : Carré alors. C'était bien l'Algérie ?

Moi : Oui, très bien.

Walid : Tant mieux. Salem.

Moi : Salem.

Fin d'appel.

Après, on a travaillé, on rigolait, on parlait, etc...

J'ai reçu un appel masqué, je ne voulais pas répondre, j'avais peur.

Je reçois un message.

Message :

... : Fais attention à toi, Papa.

Je n'ai pas répondu. J'ai fermé le magasin et je suis allée sur le parking pour rejoindre ma voiture.

Quelqu'un me touche l'épaule, je me retourne, mon cœur s'accélère.

Aymen : Ça va, Aïcha ?

Moi : Ah, Aymen, tu m'as fait peur ! Ça va, et toi ?

Aymen : Ça va.

Moi : Tu fais quoi ici ?

Aymen : Rien, j'étais en train de faire un foot dans le quartier. J'ai vu Alia et Imène et je leur ai demandé à quelle heure tu finissais. Et je suis venu.

Moi : Oh, c'est mignon.

Aymen : Je sais.

Puis il monte dans sa voiture, et moi dans la mienne.

On est rentrés au quartier, je suis montée chez moi, et Aymen est parti faire un foot encore.

Ma grand-mère et ma tante étaient arrivées.

Ma grand-mère : Ma fille !

Moi : Mamie, ça va ?

Mamie : Oui, ma chérie.

Moi : Où est Imène ?

Ma tante : En bas, dans l'appartement.

Moi : Je vais la voir.

Je descends en bas, je rentre. Imène était en train de ranger sa chambre, et Younes aussi.

Ce soir, on allait tous manger chez ma grand-mère.

J'ai aidé Imène, puis, arrivée l'heure de manger, tout le monde est arrivé.

On est allés les voir, etc....

Younes avait acheté une Play et l'avait installée dans le salon. Du coup, les garçons ont joué à la Play, et j'avais laissé mon téléphone sur le canapé.

J'avais reçu un message de Salam, sauf que c'était Aymen qui l'avait vu.

Il avait aussi regardé mes autres messages, dont celui de mon père.

J'étais avec Imène en train de parler, et il est venu vers nous.

Aymen : Aïcha, viens.

Moi : Qu'est-ce qu'il y a ?

Aymen : On sort, viens.

Je le suis. Il était un peu en colère.

Aymen sort mon téléphone de sa poche et me montre le message de mon père.

Aymen : C'est quoi ça ? Pourquoi tu ne me l'as pas dit ? C'est pour ça que tu avais peur, tu as cru que c'était lui ?

Moi : Je ne te l'ai pas dit parce que tu as déjà assez de problèmes avec ton père.

Aymen : Aïcha, je m'en fous. Même si j'ai des problèmes, tu dois m'en parler.

Moi : Je sais.

Il me fait un bisou sur le front, puis on revient.

Il va voir Ilyes, Younes, et Hamza, et je pense qu'il était en train de leur raconter.

Ilyes se lève du canapé, il va vers la porte.

Ilyes : Je vais le tuer, ce fils de pute.

Puis Aymen, Younes, et Hamza le suivent et partent.

Imène : Il se passe quoi ?

Moi : Mon père me fait des menaces.

Alia : Ma pauvre...

Je pleure.

Imène et Alia me font un câlin .

La chronique d'Aïcha et Aymen Où les histoires vivent. Découvrez maintenant