Chapitre 25

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J'arrive à l'emplacement où elle se trouvait. Je ne ressens rien. Je me suis tellement concentré pour savoir qu'elle sensation je ressentais, que je ne l'ai pas entendue arriver derrière moi. Elle m'injecte quelque chose dans le dos à l'aide d'une aiguille, ce qui me fait tomber à genoux. J'ai l'impression de bruler de l'intérieur, complètement.

Elle se pose devant moi à ma hauteur et me regarde avec une lueur de folie dans les yeux. Comment on ne la pas vue plutôt.

— Tu as enfin sue que c'était moi, je t'avoue que ça commençait à m'ennuie de tuer toute cette fille qui me demandait de les laisser en vie, qui me suppliait sans arrêt.

— Pourquoi avoir fait ça ?

— Tu ne comprends toujours pas ? Parce que tu m'as tout volée ! Me dit— elle en me mettant un coup de poing à la fin de sa phrase.

Je tombe terre, mais elle me relève en me tirant sur mes cheveux.

— Tu n'aurais jamais dû revenir ici, ou tu aurais dû partir dès le premier meurtre. Mais non, madame voulais rester.

A nouveau un coup de poing qui m'envoie valser à quelques mètres d'elle. Seulement avec ce qu'elle ma injecter je ne peux pas bouger, juste encaisser.

— Tu m'as pris Jake, tu m'as pris mon titre d'alpha, mes amis, ma famille ! TOUT ! Termine— t— elle en me donnant deux coups de pieds dans les côtes.

— Je ne t'ai rien pris.

— Oh si, tu ne sais pas ce que j'ai dû faire pour que Jake me remarque enfin. Tu te souviens du jour ou vous m'avez tous les trois rejetés ?

— Oui. Je leur avais dit que ce n'était pas bien.

— Sa je m'en moque. Depuis se jours— là, j'ai tout fait pour que Jake me remarque. Mais d'année en année ça ne changeait rien, il t'avait toujours en tête. Et même encore aujourd'hui. Alors que je m'habille comme une putain de prostituer pour c'est beaux yeux, je me fais belle tous les jours pour lui. Mais il n'a rien remarquer parce que ça a toujours été toi.

— Je n'y peux rien.

— Je sais, au début je voulais juste te faire du mal. Mais on m'a proposé une idée très intéressante.

Elle se place au— dessus de moi, et je vois qu'elle a une pelle en main. Mais elle est complètement cinglée.

— Tu sais c'est quoi la meilleure façon de tuer un loup— garou ? Je suppose que non, et bien c'est la décapitation. Il n'y a rien de mieux, rapide et efficace.

— Qui ta proposer l'idée ?

— Ah oui, il voulait que je te garde en vie et que je t'apporte à lui mais j'ai envie de m'amuser et de te tuer. Et si je ne le fais pas rassure toi, il viendra. Et bientôt. Tremble petite louve, parce qu'il arrive.

Elle se lève et commence à rire comme une hystérique. Je ne peux toujours pas bouger à cause du produit. Elle arrête de rire, et sourit en me regardant. Puis elle pète littéralement un câble. Elle me donne des coups de pieds plusieurs fois, puis se remet sur moi, prends mes cheveux et commence à frapper ma tête sur le sol. Du déjà vue, si elle n'avait pas soufflé l'idée au mec. Elle continue sans s'arrêter tout en me donnant des coups de poings. Je sens du liquide chaud couler dans ma nuque, ainsi que dans mes yeux. Je vois trouble, j'entends un craquement au niveau de mon crâne. Et je sais que c'est fini.

Elle soulève la pelle et est prête à donner le coup final, mais avant que je ne sombre dans l'inconscience je vois une forme lui sauter dessus, et tout disparaît. La dernière que j'entends sont des cris, et mon prénom. Puis plus rien.  

Qui suis-je ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant