Chapitre 20: "...Un corps qui n'est pas le mien.."

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{PDV: SD-N}

Aie.. ma tête..
Je vois rien.. où suis-je..?
Pourquoi je ne me rappelle plus de rien ?
Ah si ! Mes amis !
V, J, X, W et..
Y
Mais qu'est-ce que Y à fait pour que je sois au colère contre lui ?
Et qu'est-ce qui c'est passé ? Qu'est-ce que je faisais avec mes amis avant d'être ici..?
D'ailleurs, où suis-je ?

J'ouvris les yeux doucement mais une lumière m'aveugla alors je les referma.
Après m'être habitué à la lumière, j'ouvris enfin les yeux.

J'étais sur une table d'opération.

Je commença alors à regarder mes mains, mais en les voyant je me figeas.
Ce ne sont pas mes mains..
Je commença a regarda les autres partis de mon corps,
seul un drap me servait de vêtement.

Ce corps..
Ce n'est pas le mien..

Je commença à m'affoler.
Il faut que je sorte d'ici.
Je m'asseya sur la table d'opération et me leva.
Mais dès que je voulu me levais, je tomba au sol, je n'arrivais pas à me tenir sur mes jambes.

J'essaya tant bien que mal de me relever, mais je n'arrivais pas à me tenir debout.

-" il faut que je m'habitus à ce nouveaux corps. " pensais-je.

Je m'appuya sur la table d'opération pour me lever et m'assit sur cette dernière.

Je soupira.
Pourquoi avait-il fait ça à mon corps.

Je m'inquiétais pour mes amis.
J'espère qu'ils vont bien.

C'est alors que la porte de la pièce s'ouvrit, laissant entrer 2 humains.

- Tu es réveiller à ce que je vois. Dit l'un des humains en me remarquant.

- Qu'est-ce que vous m'avez fait ? Demandais-je.

- Nous avons seulement amélioré ton corps. Me répondit l'autre humain, une femme. Maintenant, tu es notre arme, notre machine à tué.

J'écarquilla les yeux.

- Je ne suis pas une machine à tué ! M'exclamais-je, en colère. Et je ne tuerais personne !

- Oh que si.

La femme sortit alors un calpin et un stylo et commença à noter des choses.

- On va vérifié si tout marche. L'informa l'homme. Tend la main.

J'obeis.
Je ne pouvais faire que ça de toute façon.

- Concentre-toi sur ta main, maintenant. M'ordonna l'homme.

Je me concentra et ferma les yeux.
Ç'est alors que j'entendis un bruit de métal.
J'ouvris les yeux pour découvrir que ma main ç'était transformer en d'affreuse griffes d'acier.

- Parfais, note bien Valérie. Dit l'homme en se tournant vers la femme.

- C'est ce que je fais, Charles. Lui répondit Valérie.

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