Ne sentant plus le poids de sa main sur mon poignet, je lui assène un crochet à la mâchoire espérant le déséquilibrer pour me sorti rde ce lit mais rien n'y fait, il ne bouge pas.
Il caresse l'endroit que j'ai frappé et un petit rire sombre s'échappe de sa gorge, il sort alors de sa poche un rouleau de scotch, à ce moment là je ne peux imaginer ce qu'il va m'infliger.
J'essaye de le pousser, de crier, je panique, et dire qu'il y quelque minute j'étais prête à me jeter dans le vide, je me retrouve à me battre pour ma vie. Je ne veux pas mourir de ses mains.
-Chuuuut, je t'ai demandé de ne pas bouger à quoi tu joues là ? On dirait que tu danses, c'est très mignon. Rigole-t-il tout en attrapant mes deux poignet avec une de ses mains puis il le les attache à la tête de lit.
Une fois mes bras totalement immobilisés il pose une main sur ma bouche,l'odeur du cuire m'envahis, c'est à ce moment que je réalise qu'il porte des gants, ce qui signifie qu'il n'y aura aucune trace de son ADN, je ne pourrai même pas le décrire physiquement, sauf dire qu'il est grand.
-Tu m'as manque tu sais ? J'ai été surpris de te retrouver, surtout dans ce club, ce n'est pas un lieu pour toi. M'avoue - t -il tout en remettant une mèche de mes cheveux derrière mon oreille.
Je ferme les yeux, malgré tout je dois avouer qu'il m'a aussi manqué même s'il ne le saura jamais, le bien qu'il me faisait est inoubliable.
Avant que je ne puisse dire quoique ce soit il sort maintenant un ruban de sa poche, il s'approche de moi, son visage figé par ce masque, je ne peux savoir quelle expressions il tient.
Ma vue se trouble, je ne vois plus rien, je ne peux que le sentir. Il vient de me bander les yeux, encore, je deviens alors totalement vulnérable face à lui. Il sait que j'aime laisser le contrôle, il ne le sait que trop bien.
Je l'entend retirer son masque, pourquoi me refuse-t-il son visage ?
Il fait glisser sa langue de mon cou, ma clavicule pour ensuite atteindre mes seins, il attrape entre ses dents mon téton pour le mordiller, ce qui me fait gémir. Je cambre sous la douleur agréable, pitié il ne faut pas qu'il aille plus loin.
De sa main il caresse mon autre sein, ça me fait un bien fou. Je me remémore nos moments ensemble, nos plaisirs communs, interdits.
Sa langue continue de redécouvrir mon corps en descendant toujours plus bas, il recouvre mon ventre de baisés et me dit combien je lui ai manqué, il me complimente. De mon côté je suis tiraillée entre l'envie qu'il s'arrête immédiatement, et le désir qu'il ne s'arrête jamais.
J'ai rêvé de nos retrouvailles, mais j'étais loin d'imaginer que ça se passerait de la sorte. Lui masqué qui apparaît chez moi sans un bruit et au moment où je comptais mettre fin à cette vie de servitude.
Je n'arrives pas à articulé un seul mot tellement cette situation me semble irréel, j'y prends du plaisir mais je sens que tout ceci n'est pas bien.
Alors que j'essaye de refreiner mes pensées et sentiments, mon ravisseur tente de retirer mon short, je me retrouve alors en sous-vêtements face à lui, mon premier reflexe est de rapproché mes genoux de mon torse, face à mon geste il rétorque :
- C'est une magnifique vu que tu m'offres là tu sais ? A sa voix je sens qu'il sourit, j'en ai la nausée.
C'en est trop, je sors de ma torpeur et lui balance mon pied en direction de son visage.
- Je ne suis pas ton jouet, ferme là et détache moi, je ne suis plus la petite ado en manque d'amour dont tu as abusé il y a longtemps. M'énerve-je.
- Ah parce qu'aujourd'hui tu as ce que tu désire en matière d'amour et d'attention ? Me demande t il en empoignant une de mes chevilles pour y déposer un doux baisé.
Son geste me procure des frissons, je me sens humide mais aussi humiliée car il a raison, à part lui personne ne m'a réellement comblé, que ce soit physiquement ou sentimentalement.
Je détourne le regard je ne veux pas lui faire face, ça me fait trop mal. Cette triste réalité celle qui ne fait que m'accablé depuis le début de son intrusions. Mon corps entier le réclame.
De ses mains il saisit mes cuisses et les écartent pour lui donné une vue sur mon intimité partiellement caché par le tissus qui la recouvre.
Il embrasse mes cuisses de toutes part tout en laissant ses dents me marquer et remonte jusque la limite, c'est une véritable torture. Il passe sa langue sur ma culotte, je ne parviens pas à contenir le plaisir qu'il me procure.
Il continue de me malmener en léchant tout autour de mes lèvres. Pitié qu'il retire ma culotte et en finisse avec moi, je n'en peux plus.
Comme si il lisait dans mes pensées il la retire et je me retrouve maintenant dans mon plus simple appareil devant lui. Je ne peux plus agir, bouger ou protester, je suis complétement à nue devant lui.
Lorsqu'il glisse sa langue le long de mon sexe, je tressaille et cambre mon dos sous le plaisir électrisant qu'il me procure.
Ce malade s'amuse avec clitoris, je ne peux m'empêcher de gémir, c'est dur à admettre mais je ne veux pas qu'il s'arrête.
Il a commencé il doit finir.
Je sens son doigt s'introduire en moi, suivi d'un deuxième. Ses gestes sont de plus en plus rapide, je ne tiens plus.
Je suis en feu, sa langue, ses doigts, tout est si bon je n'en reviens pas.
Mes gémissement deviennes des cris de plaisirs.
Et alors que je sens l'orgasme arriver il s'arrête et libère mes mains, j'attends son prochain gestes, ses prochains mots. Mais rien, rien sauf le silence qu'il a laissé, il est partis.
Fin de ce 6ème chapitre, j'espère qu'il vous aura plu.
N'oubliez pas de voter et commenter je vous remercie.
A Bientôt Elya ❤️
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Amour Fou
RomanceTriggers warning ❗️❗️⚠️ Torture Contenus explicites Sang Meurtres Suicide Rembourser la dette de son père et espérer être un jour libre était ses seules pensées, jusqu'à ce qu'un fantôme du passé revienne la tourmenter.