Chapitre seize.

13.1K 1.2K 28
                                    

« - Cameron bougez vos culs et remenez-vous à l'hôtel, Bars commence à s'impatienter, à, oui, au passage, achète des croissants. »

Cameron raccroche mon téléphone, qu'il a réussi à utilisé avec les 5% de batterie, et me regarde droit dans les yeux.
« - Je crois bien que Taylor n'a pas compris que la route est inondé et que nous ne pouvons pas circulé, dit Cameron avec un petit sourire au coin.
- Je crois, que tu n'as pas compris, que mon estomac va exploser si je ne mange rien.
- Il y a un paquet de gâteau dans la portière, et si il n'y est plus, tu ira réglé les comptes à Aaron.
- On va rester combien de temps dans cette foutue voiture !
- Insulte pas Marjolaine.
- Marjolaine ?
- C'est le nom de ma voiture.
- Bah dit à ta Marguerite
- Marjolaine.
- Marguerite, Marjolaine, Marjorie ou Margot, que ça serai hyper sympa qu'elle se mette à aspiré l'eau qu'il y a sous les roues.
- T'es sexy quand t'es énervé.
- Ça fait genre dix heures qu'on est enfermé dans une voiture, donc ça m'étonnerait que je sois "sexy". J'avais tellement envie de passer un bon moment avec toi, sachant que dans deux semaines, tu devras partir. Je me suis dis que tu aurais pu profité pour m'avouer tous ce que tu as sur le cœur, mais non. Je gagne à être enfermé dans une voiture, à mourir de faim et de froid, dis-je en râlant.
- Je t'aime, lance Cameron sans m'adresser un regard. Voilà, je t'aime. J'aime beaucoup de chose chez toi, que ce soit tes cheveux brun, ou quand tu dors la bouche ouverte. Je sais très bien que j'ai pas l'air sincère, mais je le suis. Je crois bien que tout le monde sait que je t'aime, appart toi visiblement. »
Je répond par un simple sourire, Cam fait de même. On se jette un regard complice, avant d'exploser de rire.
« - Maintenant, je suis censé faire quoi ? Faire comme-si je n'avais rien dit ou t'embrasser ?
- Je choisirai plutôt la deuxième proposition. »
Il sourit timidement puis approche délicatement ses lèvres des miennes, il soulève une de mes mèches de cheveux et..

PUTAINS VOUS ALLEZ AVANCEZ !

Nous sursautons et voyons un gars grand et d'une très belle carrure sur la carrosserie de Marjolaine.
« - Vous comptez avancez, où vous voulez un coup de pied au cul ?!, ronchone l'homme. »
Cameron appuie sur l'accélérateur prennent la gentillesse de faire un doigt au monsieur et nous rentrons à l'hôtel.

« - Vous avez les croissants ?, force Taylor.
- Bon, Taytay, on été coincé sur la route on a pas eu le temps d'acheter des croissants.
- Putains. »
Je pars dans ma chambre prendre une douche et enfilé quelque chose de propre.
« - Bonjour Bars, dis-je en le voyans assis dans le canapé.
- Bonjour Allison, comment allez-vous ?
- Plutôt bien et vous ?
- On fait avec.
- Votre mère va mieux ?
- Oui, elle est remis sur pied, c'est une battante.
- Ah bah c'est super, alors, vous lui souhaiterais bon rétablissement de ma part.
- Sans problème. Allison j'aimerai vous parlez de votre paye. Les garçons finissent les conventions mardi prochain.
- Oui. Je sais, ils vont beaucoup me manqué.
- Ah eux, aussi vous allez manqué, sans aucun doute.
- Ils sont tellement adorables.
- Je vous avez demandé d'être leur nounou et non une amie.
- Excusez-moi ?
- Ils se sont peut-être trop attachez à vous. Ça va vous faire mal aussi bien à vous, cas eux.
- Excusez-moi d'avoir fait mon travaille, d'avoir veiller sur eux, comme vous me l'avez demandé monsieur.
- Vous avez peut-être prit votre job d'été un peu trop à cœur ma demoiselle Clark. »
Intérieurement ? J'ai envie de le tuer. De lui foutre ma main en pleine gueule et de lui sortir tous ce qu'il me passe par la tête. Mais je garde mon calme, et quitte la pièce sans rien dire. Je rejoint les garçons qui sont tous dans la cuisine entrain de mangé. Je m'installe près de Matthew, qui commence à me taquiné.
« - Vous avez fait dans la voiture avec Dallas ?
- Matthew. Je n'ai pas envie de rigolé.
- Mais répond-moi, il s'est passé quoi ?
- Matthew.
- Vous avez joué à des jeux ?
- Lee.
- Je vois quels sortes de jeux.
- Espinosa ! »
Je me lève en fureur de ma chaise, en retourne vers ma chambre. Je verrouille la porte à clé, et éclate en sanglots. Des millions de raison font que je pleure. Dans deux semaines le départ c'est-à-dire qu'ils vont partir, que Cameron va partir. Je n'en ai franchement pas envie.
Alors c'est soit le voir partir, ou partir avant lui..

Baby-Sitter./ Magcon. ( Correction ) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant