Chapitre 8

18 3 0
                                    

Il y aura 2 POV, bonne lecture.

Mot imposé : piscine.

Liam

Encore une insomnie.

Ça doit faire depuis que maman est morte que j'en fais. Et depuis, je dors rarement, mais heureusement, ça ne se vois pas sur mon visage, je me suis habitué au manque de sommeil.

Comme a mon habitude depuis mon arrivée sur le campus, je me dirige vers la piscine, déserte à cette heure-ci, pour faire quelques longueurs, me vider le tête et peut-être dessouler.

Sinon, je suis sûr que je serais allé tuer l'autre càbron dans son sommeil.

Une fois changé, je pars allumer les lumières de la piscine, puis fais un plongeon parfais pour entrer dans l'eau. Je tiens ma passion pour la natation de ma maman, qui, des ma naissance, m'as inscrit à un cours.

Je fais des longueurs depuis presque 30 minutes quand j'entends mon téléphone sonner.

Un appel de Maxence.

-Allo ? dis-je.

-Mec, t'es rentré ?

-Oui, merci de m'avoir ramené au fait, dis-je ironiquement.

-Hahaha, trop drôle, par contre, vu que t'es pas dans la chambre, t'es à la piscine ?

-Bien vu Sherlock, maintenant laisse-moi nager s'il te plait.

-Okok, ne rentre pas trop tard hein.

-D'accord papa.

Puis je raccroche en rigolant.

J'ai vraiment un sens de l'humour particulier.

Soudain, j'entends du bruis, donc je décide de m'avancer vers la source et découvre Izi, regardant le sol, ou une bouteille, que je suppose être du parfum vu l'odeur florale qui s'en dégage, est éclatée en mille morceaux. Je me racle la gorge pour faire comprendre à Izi que je suis derrière, cette dernière sursaute, et me flanque un coup de poing -encore – dans le ventre.

-T'as vraiment un problème avec le fait de me donner des coups de poings, dis-je, plié en deux.

-Et toi, t'as un problème avec le fais de me faire peur, comme un psychopathe, renchérit-elle.

-Que fais-tu ici ? dis-je pour changer de sujet.

-La même chose que toi, je suppose.

Effectivement.

Sur ce, je ne réponds pas et tourne les talons pour aller nager.

Elle est belle en maillot de bain.

Nan arête, on dirait un pervers.

Quelques minutes plus tard, je vois Izi approcher, et entrer dans l'eau en toute grâce.

Cette fille est tout l'inverse de moi.

Je suppose que ses deux parents l'aiment, que ça mère n'est pas morte des mais de son propre mari. Et que son père l'aime.

-Dit Izi.

-Mhh, me répondit-elle.

-Et ce que tes parents t'aiment ?


Izi

-Et ce que tes parents t'aiment, dit Liam.

Je me figeai à ces mots.

Sait-il quelque chose ?

-Euh... quoi ? demande-je, perplexe.

My dear LiamOù les histoires vivent. Découvrez maintenant