Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
﹒⟡﹒
𝐊𝐈𝐀𝐍𝐀
Je m'extirpe lentement de mon sommeil, j'ouvre doucement les yeux et regarde autour de moi. Ce lit m'est inconnu mais lorsque je me rémord de la soirée de hier, je comprends que je suis sur le lit de Donatello, toute nue dans ses draps.
Mais une chose me chiffone l'esprit.
Je suis seule au milieu de ce lit baldaquin.
Je regarde autour de moi et je vois posé sur le chevet, un mot écrit avec un marqueur de noir.
"Je ne voulais pas te déranger trésor, je suis partit bosser un peu plus tôt ce matin. Fait comme chez toi, et attend-moi jusqu'à ce soir."
Je lis le mot avec un petit sourire aux lèvre, mais si il croit que je vais patiemment l'attendre comme une bonne petite femme jusqu'à ce soir, il peut se mettre le doigt dans l'oeil.
C'est très mal me connaître.
Je pose le papier sur le lit et m'étire les muscles endolorit, le sourire aux lèvre. Je compte quand même passer ma matinée ici chez lui, histoire d'un peu plus le connaître en épiant chaque recoins et chaque pièce son énorme loft.
Je m'extirpe du lit et regarde autour de moi, me demandant par quoi je peux commencer.
Je vois une pièce à côté et reconnaît qu'il s'agit de son dressing, je vais à l'intérieur et
Je vais à l'intérieur et découvre un espace vaste et impeccablement organisé, avec des rangées de vêtements soigneusement accrochés. Les costumes sur mesure, les chemises parfaitement repassées, et les chaussures alignées avec précision montrent à quel point Donatello accorde de l'importance à l'élégance et au contrôle.
Je m'approche des étagères, laissant mes doigts glisser sur les tissus coûteux, m'imaginant un instant ce qu'il pourrait penser en me voyant porter une de ses chemises. Mon sourire s'élargit à cette pensée.
Je pourrais peut-être le surprendre en la mettant, et en me prélassant dans son lit à son retour.
Mais cela signifirait rester jusqu'à ce soir, et il en est hors de question.
Ce sera pour une autre fois.
Par contre, je ne suis pas contre le fait d'enfiler l'une de ses chemises.
