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𝐊𝐈𝐀𝐍𝐀
Je laisse ses lèvres effleurer les miennes avec une douceur presque irréelle. Le baiser commence par une caresse légère, mais devient rapidement plus passionné. Ses mains glissent sur mon dos, me rapprochant encore plus de lui, tandis que je réponds avec la même intensité.
Ma main glisse sur son torse et je l'a fait descendre tout doucement à l'intérieur de son boxer, il me lance un regard fiévreux et je lui fais un clin d'oeil avant de prendre dans ma main son membre imposant.
Son souffle se fait plus irrégulier lorsque ma main explore doucement, caressant son membre avec une sensualité délibérée.
Donatello ferme les yeux un instant, pris par la montée de plaisir, et je ressens sa réponse à chaque mouvement de ma main. L'atmosphère est chargée de désir, et chaque geste, chaque toucher, est empreint d'une intensité palpable.
— Kiana... murmure-t-il, sa voix rauque et emplie de désir.
Je lève les yeux vers lui, un sourire complice aux lèvres, et je continue de le caresser avec une lenteur contrôlée, savourant chaque réaction qu'il a. La connexion entre nous est si forte qu'elle semble presque palpable, chaque geste nous rapprochant davantage.
Je retire doucement ma main et me déplace au sol, à genoux devant lui, automatiquement il écarte les jambes et me laisse faire, tel une pro.
Je passe mes mains sur son pantalon et le baisse jusqu'au bout de ses pieds, très lentement tout en prenant mon temps sans jamais quitter son regard, c'est presque diabolique ce que je suis en train de faire, je le fais attendre, patienter de façon implacale et impérieuse.
Je fixe son boxer qui semble d'un coup bien trop petit pour son membre et pose sa main sur sa bosse en le caressant doucement, il soupire de plaisir et balance sa tête en arrière.
— Ne me fais pas attendre trésor...
— C'est moi qui décide Don... murmurais-je en embrassant sa bosse, marquant mon rouge à lèvre sur son boxer blanc.
Je souris en entendant son supplice, savourant le pouvoir que j'ai sur lui. Mes lèvres continuent d'effleurer son boxer, traçant des chemins invisibles avec une lenteur exquise. Je sens la tension monter en lui, chaque souffle qu'il prend devenant plus lourd, plus profond.
