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𝐊𝐈𝐀𝐍𝐀
J'enfile mon maillot de bain deux pièces noires et me regarde dans le miroir. Je fais le tour sur moi-même et obsèrve mon jolie petit cul bombé. Je prend mon téléphone et prend la pose de sorte à ce que mes fesses ressortent bien. Je me mets de dos et pose ma main manecuré sur mon cul bombé.
Je l'a poste sur ma story instagram, et met mon téléphone dans mon petit sac signé jacquemus.
Je met un foulard noir transparant autour de ma taille et sors de ma chambre.
Au même moment, je croise Jayden qui sort des toilettes juste en face de ma chambre.
— Hey chérie, dis-je en souriant.
— Mademoiselle Kobe...
Je roule des yeux et l'attrape par la cravate.
— Jayden, dis-je en tirant légèrement sur sa cravate pour l'attirer vers moi, pas de formalité lorsqu'on est que les deux..
— Je suis en colère contre toi.
— Oh... je fais la moue, pourquoi chérie ?
— Tu crois que je ne vois pas ton numéro de charme que tu fais à l'italien ?
— Oh... j'arque un sourcil, tu es jaloux bébé ? dis-je en posant ma main sur sa joue, faut pas...
Le ton que je prend est moqueur presque hautain, Jayden me lance un regard mauvais, où du moins il essaie de se donner un genre, mais je rapproche mes lèvres des siennes et l'embrasse de façon sensuelle et langoureuse.
Ma langue passe la barrière de ses lèvres et nos langues s'entremêlent immédiatement. Jayden gémit légèrement contre mes lèvres, et je sens ses bras se tendre avant qu'il ne se détende, répondant à mon baiser avec une passion contenue.
Il pose ses mains sur mes hanches et me rapproche de lui, je sens son membre durcir contre ma cuisse et rit contre ses lèvres.
Je me recule légèrement, rompant le baiser. Je le regarde dans les yeux, mon regard à la fois taquin et sérieux.
— Tu vois, Jayden, tu n'as pas besoin d'être jaloux. Tu es toujours le premier dans mon cœur.
Il essaie de reprendre contenance, ses joues toujours rougies, mais il ne peut cacher le désir dans ses yeux.
— Tu es adorable, je baisse les yeux, tu bandes tellement vite chouchou, je lui fais un clin d'oeil et tapote sa joue, j'te laisse.
Je lui fais un clin d'oeil, et sourit en coin et descend les escaliers, il n'y a que les domestiques en train de faire leurs tâches ménagères. Les italiens sont dans le bureau de mon père, je n'ai pas encore croisé Donatello malheureusement.
