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𝐃𝐎𝐍𝐀𝐓𝐄𝐋𝐋𝐎
— Ne sois pas si jaloux pour si peu, chuchote-t-elle contre mes lèvres, tu l'as dit toi-même.. Ce n'est qu'un malheureux petit chauffeur..
— Si c'était moi qui aurait fait ça avec-
— Shut... Embrasse-moi.. Tu m'as tellement manqué, tu me manques tellement, et lorsque tu seras partis de cette chambre, tu m'auras déjà manqué.. susurre-t-elle comme une sirène.
Elle me mord la lèvre inférieur, et braque son regard dans le mien avant de m'embraser langoureusement, elle pose l'une de ses mains autour de mon cou, et son autre main descend jusqu'à mon entre-jambe qu'elle caresse à travers mon pantalon, je sens immédiatement ma queue durcir sur son toucher, et je répond à son baiser, de façon plus sauvage.
La chaleur explose en moi, envahissant chaque fibre de mon corps. C'est comme si tout le contrôle que je m'efforçais de garder venait de se briser en un instant. Ses doigts glissent lentement, m'arrachant un frisson incontrôlable, et mon corps répond instinctivement, ma main se posant sur sa hanche pour la rapprocher encore plus.
— Kiana, grogné-je entre deux baisers, tu sais exactement ce que tu fais.
Elle sourit contre mes lèvres, une lueur de victoire dans ses yeux. Elle sait qu'elle a gagné, qu'elle a franchi cette limite que je m'étais juré de ne jamais franchir. Je devrais la repousser, mais au lieu de ça, je la soulève et la plaque contre le mur, mes lèvres s'écrasant contre les siennes avec une faim que je ne peux plus réprimer.
— Tu es vraiment un poison, soufflé-je en mordant sa lèvre.
— Et tu aimes ça, chuchote-t-elle, ses jambes s'enroulant autour de ma taille.
Je glisse mes mains le long de ses cuisses, sentant la douceur de sa peau sous mes doigts. Mon désir pour elle est incontrôlable, et elle sait exactement comment en jouer. Son souffle rapide, ses mains qui agrippent mes cheveux... Tout me rend fou.
— Tu es à moi, Kiana, murmuré-je en enfouissant mon visage dans son cou, embrassant sa peau.
Elle rit doucement, un rire enivrant, ses ongles s'enfonçant légèrement dans ma nuque.
— Oui, Don... Tout à toi, murmure-t-elle dans un souffle, mais je sais qu'elle savoure cette victoire, ce pouvoir qu'elle a sur moi.
Sauf qu'elle a oublié une chose, je ne suis pas comme les autres, un type qu'elle peut manipuler à sa guise.
