chapitre 24: Epilogue

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Vous savez quel est mon vœu le plus cher ?

Qu'un jour, au moins un jour dans ma fichue existence, je puisse poster un chapitre sans aucun retard... Mais il me semble que c'est foutu. Alors oui, je sais, je suis en retard. Et croyez bien que j'en couine de désespoir. Je vous épargne mes excuses pitoyables évidemment, et je vous annonce simplement que je suis vraiment, vraiment, vraiment, triplement vraiment désolée parce que vous avez derrière l'écran la femme la plus lente de l'univers (ou du moins la plus amène à zapper bêtement qu'elle doit faire ça alors qu'elle y pensait la veille). M'enfin, passons passons !

Comme tous les auteurs de fanfics (et d'histoires tout court), je suppose que le fait d'avoir eu du mal à écrire ce dernier chapitre n'est pas exceptionnel ^^ Il n'empêche que je tiens à le dire : j'en ai bavé pour ce f****** épilogue. J'espère en conséquence ne décevoir personne, ou du moins un moindre nombre, et que ça vous donnera le sourire.

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Et parce que ça fait un bail que j'ai pas posté, le premier passage (tout en italique) est récupéré du chapitre précédent, histoire de vous faire remonter quelques souvenirs.

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Épilogue : Ce qu'on n'apprend pas dans l'Histoire de Poudlard

''Rolling in the deep'' – Adele

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« Pas là non plus. »

Fred se passa une main dans les cheveux, agacé, et s'avança vers la boutique qui suivait, son frère sur les talons.

Ils commençaient tout juste à épier l'intérieur des magasins de la rue principale par leurs vitrines, Pré-au-Lard n'était qu'un minuscule village mais il restait suffisamment vaste pour qu'ils aient du soucis à se faire. Verity n'avait rien dit à George, elle pouvait avoir coincé Hermione n'importe où. Dans une ruelle, dans une échoppe, dans un des bars, sur le chemin menant à l'école, au contraire sur la piste qui menait à la campagne écossaise tout autour d'eux. Elles pouvaient être partout.

« Je vais la...

-Fred, gronda son jumeau qui sentait venir les menaces à l'encontre de sa petite-amie.

-Je vais lui offrir un bouquet de fleurs en lui faisant l'honneur de mes sentiments les plus distingués », siffla par conséquent Fred avec un net cynisme qui fit sourire son frère.

Puis George avisa quelque chose par-dessus son épaule, perdit son rictus, et dans un réflexe Fred pivota pour sursauter alors que Hermione plantait son regard dans le sien. Il devint livide en la voyant commencer à ricaner et déglutit difficilement quand la baguette de la brune se darda sur lui.

« Ça tombe bien que tu parles de sentiments distingués. Je comptais justement te présenter les miens...Levicorpus ! »

A la seconde où la cheville droite de son frère se souleva de terre pour aller le suspendre à plus d'un mètre de hauteur, la tête en bas, George sortit précipitamment sa propre baguette pour mettre Hermione en joue. Fred hoqueta de surprise avec un temps de retard mais laissa rapidement tomber l'idée de justement retomber au sol avec fatalité. A quoi aurait-il dû s'attendre d'autre de la part de la jeune fille qui devait avoir le sentiment d'être aussi malmenée que si on l'avait secouée dans tous les sens avec tous ces revirements de situation.

« Laisse Georgie », marmotta-t-il en conséquence.

Il se détourna momentanément du regard foudroyant de Hermione pour apaiser son double d'un sourire et attendit que George ait baissé son arme avant de soupirer, se draper dans une maigre dignité et croiser les bras en arborant une expression posée totalement factice. Le tout alors que son teint rougissait à vue d'œil à cause du sang qui descendait vers sa tête.

Ce que l'on n'apprend pas à poudlardOù les histoires vivent. Découvrez maintenant