[Bardella et Attal] Une vie d'interdits (🔞🍋) - Tome 3

06 mars 2027 - PARTIE 1 (🍋🍋)

TW : Scène de sexe particulièrement explicite et détaillée.
Langage cru (Dirty talk).
Domination / soumission.

Gardez l'esprit ouvert ou ne lisez pas.

*

Il faisait bon ce matin là. L'air était chargé de douceur, de la vie qui s'apprête à renaître, à l'approche du printemps.

C'était aussi bientôt l'élection présidentielle, et Gabriel et Jordan s'y consacraient pleinement, chacun de leur côté...

Dans leur appartement, leur refuge, ils se retrouvaient, oubliant leur rivalité publique ; le soir venu, ils faisaient tomber le masque, et restaient fidèles à leur promesse de s'aimer malgré leurs différences.

Ce qui les unissait allait au delà des idées : c'était leurs corps aimantés, leurs âmes complémentaires, leurs coeurs en harmonie.

Ce matin, Jordan et Gabriel avaient la journée devant eux, ce qui était suffisamment rare pour susciter chez eux une excitation presque enfantine.

Ils se réveillèrent en souriant.

-"Mmh, rien à faire aujourd'hui, pas de contraintes, pas de rendez-vous...", murmura Jordan en se blotissant contre Gabriel, les yeux encore fermés.

-"Alors... En fait, si...", répondit Gabriel, le regard rivé sur l'autre, l'air mutin, dans l'attente de sa réaction.

Jordan ouvrit un oeil.

-"Hmm ? Tu as prévu quelque chose ?"

-"Oui, je veux t'emmener quelque part..."

-"Ah ?"

-"T'inquiètes pas, ça va bien se passer. Pour une fois, fais moi confiance et laisse moi diriger..."

Jordan sembla hésiter, puis se ravisa.

-"Bon, d'accord"

-"Merci...", murmura Gabriel, en se collant à lui, son visage éclairé par un large sourire.

Les deux hommes se regardèrent, dans un instant qui sembla ralentir.

Jordan approcha sa main du cou de Gabriel, qu'il serra doucement, son pouce sur sa gorge.

L'autre passa alors ses doigts dans ses cheveux.

Il ne le quittait pas des yeux, son regard accroché à lui comme si sa vie en dépendait.

-"C'est bien, Gabriel... ", dit Jordan à voix basse, l'air sérieux.

Puis, sa main glissa le long du corps de l'autre, lentement.

Gabriel frémit ; il frissonnait de froid, et de chaud.

Jordan le déshabilla lentement, sans le quitter des yeux.

-"Jordan...", souffla Gabriel.

Sa peau était si sensible que le moindre contact la faisait vibrer.

Jordan embrassa Gabriel dans le cou, puis remonta lentement jusqu'au lobe de son oreille.

Il porta ses doigts à la bouche de l'autre, qui les imprégna de salive, en les suçant lentement.

La main de Jordan glissa ensuite jusqu'à l'intimité de Gabriel, qu'elle mouilla.

Naturellement, les jambes de Gabriel s'ouvrirent, pour y laisser entrer le sexe dur.

Jordan fit pénétrer sa queue lentement, millimètre par millimètre, jusqu'à arriver au plus profond de l'autre.

-"Tu me sens, Gabriel ? Comme je suis en toi ? Comme je te possède ?"

-"Je te sens, entièrement...", souffla Gabriel.

-"Bon garçon... Qui aime se faire prendre en profondeur...", dit Jordan en se retirant doucement.

Gabriel se mordit la lèvre. Ses yeux se fermèrent un instant.

-"Regarde moi...", chuchota Jordan, d'une voix douce.

Alors, Gabriel ouvrit les yeux à nouveau, et plongea dans ceux de Jordan, entièrement, sans barrière ni retenue. Il s'y perdit même, dans un élan de confiance et de soumission.

-"J'aime que tu t'abandonnes...", poursuivit Jordan, en entrant à nouveau dans son corps.

-"Hmm...", gémit Gabriel, sentant le plaisir se propager lentement en lui.
"Encore..."

-"Doucement...", répondit Jordan.
"On a le temps...", ajouta t'il, en reculant sa queue.

Gabriel ne répondit pas, son corps était devenu si fiévreux, si brûlant, que chaque sensation était décuplée et faisait naître en lui une onde de plaisir et d'excitation.

Quand il le pénétra à nouveau, Gabriel était si ouvert que Jordan y entra sans la moindre résistance, d'un coup rapide et puissant.

A ce moment, Jordan sentit sa queue parfaitement emboîtée dans le corps de l'autre, parfaitement à sa place, bien serrée dans un écrin de plaisir.

Gabriel poussa un gémissement.

Jordan réfréna péniblement le sien.

-"Pfiou...", soupira t'il.
"Que c'est bon de te baiser comme ça..."

-"Je voudrais que tu me penètres entièrement, que tu entres en moi comme jamais...", supplia Gabriel, haletant.

-"Petite chienne excitée...", murmura Jordan.
"Gentille petite chienne, bien ouverte..."

Il donna à nouveau un coup vigoureux, sous l'impulsion duquel le bassin de Gabriel se souleva.

Il sentait la queue de Jordan jusqu'au milieu de son ventre, comme si elle faisait partie de lui.

Les deux hommes poussèrent un grognement animal, animés d'une excitation en miroir, qui se nourrissait de son propre reflet dans le regard de l'autre.

-"Putain, Gabriel... Je suis tellement en toi...!"

Gabriel ne put répondre que par un gémissement. Il n'était plus capable de parler, seulement de ressentir, écouter, et regarder la flamme de désir briller dans les yeux de l'autre.

Jordan remuait maintenant régulièrement, dans un va et vient légèrement plus rapide, mais toujours aussi profond.

A chacun de ses coups, il ressentait le corps de Gabriel se raidir. Ils firent l'amour longuement, jusqu'au moment où ils se retrouvèrent au bord de l'orgasme.

-"Tu... Tu me... Tu vas me faire jouir", haleta Gabriel.

-"Jouis bien, petite chienne", ordonna alors Jordan, qui, dans un ultime coup de rein, se déversa au fond de Gabriel, son sperme se répandant dans son ventre.

Les paroles de Jordan le firent se sentir si humilié, qu'il ne put faire autrement que d'obéir ; obéir à l'injonction de l'homme, accepter de jouir comme la chienne qu'il lui disait être ; ce qu'il fit comme un aveu, une reconnaissance de sa domination.

-"Voilà, Gabriel, comme ça...", le félicita Jordan, en le dévorant des yeux.

A suivre...