Madyson Black

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Moi : Tu dis qu'il est parti se réfugier à la frontière sud ?

... : Oui.

Moi : Je ne sais pas si ma louve pourra y aller cette nuit.

Dans mon dos, Diego apparait.

Je suis en train de me brosser les cheveux dans la salle de bain et il me dévisage.

Diego : A qui est-ce que tu parles ?

Je lui montre l'âme de la jeune femme à ma droite mais il ne voit rien.

Moi : Son compagnon l'a tué cette nuit.

Les sourcils froncés, mon compagnon dévisage le mur.

Diego : Tout ça est vraiment perturbant. Soit, et son compagnon est parti ?

Moi : Apparemment il s'est réfugié à la frontière centre nord mais j'ai la sensation que nous n'irons pas là.

Diego : Ta louve te guide vers la Nature ?

Moi : J'ai l'impression.

Ses bras entourent ma taille avant que ses mains se posent sur mon bas ventre.

Enfouissant son visage dans mon cou, je frissonne tout en pouffant de rire.

Moi : Tu me chatouille.

Diego : Tu sens tellement bon.

Moi : Mon parfum ou mon sang ?

Diego : Les deux.

Il inspire grandement au creux de mon oreille.

Diego : Dis-moi, louve. Est-ce toi la bête que toutes les meutes recherchent ?

Je laisse ma brosse me glisser des mains et tomber lourdement dans le lavabo.

Diego se redresse, me retourne puis me soulève pour me poser sur le marbre.

Diego : Hey ! Nous te protégeons, compris ? Personne ne t'approchera et personne ne saura. Ton secret est à présent le notre.

Moi : Mais s'ils arrivent à m'attraper ?

Diego : Ta louve est bien trop futée. Elle a réussi à échapper à une armée d'hybride. Ce ne se sont pas de pauvres loups de merde qui réussiront.

Je souris tandis qu'il me vole mes lèvres.

Sa langue retrouve la mienne avec force, s'appropriant mon souffle.

Ses mains sur mes hanches, elles glissent sur mes cuisses nues puis remontent sous le tissu léger de ma robe.

Diego : Tu devrais mettre un pantalon.

Moi : Pourquoi ?

Diego : Parce que tes robes sont effroyablement courtes et nous devons rester concentré pour notre périple.

Je lui mords la lèvre avant de passer ma langue dessus.

Moi : Et si au contraire, je veux qu'on passe se périple à rattraper le temps perdu ?

Diego : Ta louve n'aura qu'à se mettre en position.

Il me dévore à nouveau, m'empêchant de répondre.

L'attirant plus contre moi, il colle sa large bite à ma culotte en coton.

Mon bassin remue doucement, frottant mon clitoris à sa protubérance.

Diego : Insatiable, louve.

Moi : Baise-moi, Diego.

Sans attendre, il décale ma culotte mais alors qu'il allait me pénétrer, son frère entre dans la pièce.

Louve des enfersOù les histoires vivent. Découvrez maintenant