Diego Jones

134 2 0
                                    

Lorsque la nuit tombe, nous finissons notre repas.

Tous sous nos formes animales, j'observe Madyson manger la cuisse du cerf.

Cette femme me surprend de jours en jours.

Mes frères s'éloignent afin de trouver un endroit où dormir.

La femelle m'observe à son tour, puis elle se redresse avant de me rejoindre.

Assis, je penche la tête en la détaillant.

Son pelage maculé brille sous les reflets de la lune et son regard... Bon sang !

Je bave littéralement sur elle.

Elle est la plus belle créature qu'il m'a été donné de voir.

Alors qu'elle commence à se frotter à moi, je perçois une odeur inconnue nous entourer.

La louve pousse mon museau avec le sien tout en se frottant contre.

Soudain, je vois Magnus et Arizona nous rejoindre.

Magnus : Enfin vous avez fini.

Madyson se retourne pour le questionner du regard.

Le sourire du vampire ne cache rien.

Arizona : Ta louve est en chaleur, ma vieille.

Pardon ?!

Non ! On l'aurait senti !

Arizona : Si tu continues à te frotter comme ça contre eux, ils vont t'attacher et ne jamais te laisser respirer.

Magnus : Tu connais le cycle, bébé.

Arizona : Madyson n'est pas comme eux.

Magnus : Madyson est une louve. Certes elle est spéciale mais elle a les mêmes besoins.

Je renifle les fesses de ma louve qui grogne dans ma direction.

Oh, alors je peux te baisser mais pas te renifler ?

D'un coup de patte, je la fais s'asseoir sur ma bite enflée.

La louve hurle son plaisir face aux vampires qui pouffent de rire.

Rien à foutre qu'ils soient là.

Madyson m'appartient et je compte bien la remplir autant de fois que son corps me réclamera.

Mes frères reviennent alors que je fais revenir ma louve sur mon épaisseur.

Ils grognent dans notre direction avant de nous cacher des vampires.

Arizona : On a déjà vu pire.

Magnus : Laissons-les à leurs retrouvailles. Nous nous verrons demain matin.

Sans rien ajouter, ils disparaissent.

Madyson tente de me mordre mais je tiens fermement son derrière.

Mon nœud se vide à une vitesse qui me surprend.

Je ne saurais dire combien de fois nous la baisons cette nuit-là, mais je sais qu'au petit matin, nos hybrides ont de nouveau la trique.

Cependant, Madyson a reprit sa forme humaine.

Entièrement nue et allongée entre nous pour se tenir chaud, elle remue le cul contre le museau d'Elliot qui ne se plaint pas.

Arizona : Peut-on reprendre la route ?

Madyson : Une seconde.

Arizona : Tu as réveillé tous les animaux de la forêt cette nuit. Je crois que tu en as eu assez.

Louve des enfersOù les histoires vivent. Découvrez maintenant