One-shots Marvel écrits par une ia

Cherik

Après la bataille contre Apocalypse, Magnéto décida qu'il était temps d'avouer à Charles Xavier les sentiments qu'il avait longtemps gardés enfouis en lui. Depuis des années, il avait tenté de refouler cette attirance qu'il ressentait pour son ami et allié. Mais après avoir affronté un ennemi aussi redoutable, il réalisa que la vie était trop courte pour se cacher derrière des mensonges et des secrets. 

 Un soir, Magnéto se rendit dans le bureau de Charles Xavier, déterminé à tout lui avouer. Il frappa à la porte et entra, trouvant le professeur assis à son bureau, plongé dans ses pensées. 

— Charles, il faut que je vous parle, commença Magnéto d'une voix tremblante. Il y a quelque chose que je dois vous dire depuis longtemps. 

 Charles leva les yeux, surpris par le ton sérieux de son ami.

— Erik, que se passe-t-il ? Tu as l'air perturbé. 

 Magnéto prit une profonde inspiration, rassemblant tout son courage pour prononcer les mots qu'il redoutait depuis si longtemps.

— Charles, je... je ressens quelque chose de plus fort que de l'amitié pour vous. J'ai des sentiments que je n'arrive pas à nier, même si je sais que cela va à l'encontre de tout ce que nous avons toujours connu. 

 Charles resta silencieux pendant un moment, son regard scrutant celui de Magnéto. Puis, avec un léger sourire, il posa sa main sur celle de son ami.

— Erik, tu n'as pas à avoir peur de tes sentiments. Je sais que les choses ne sont pas toujours simples entre nous, mais sache que je te considère comme un frère. 

 Magnéto sentit un poids se soulever de ses épaules, réalisant que Charles acceptait ses sentiments sans jugement. Il était soulagé de ne plus avoir à cacher son attirance pour lui et se sentait enfin libre d'exprimer ses émotions. 

 Cependant, l'histoire ne s'arrêta pas là. Peter Maximoff, le fils de Magnéto et également membre des X-Men sous le nom de Vif-Argent, avait observé la scène de loin, caché dans l'ombre. Il était furieux d'apprendre que son père éprouvait des sentiments pour Charles Xavier, l'homme qu'il considérait comme un mentor et une figure paternelle. 

— Comment oses-tu, père ? murmura Peter, sa colère bouillonnant en lui. Il décida qu'il ne laisserait pas cette situation se dérouler sans intervenir. 

 Le lendemain, alors que Magnéto et Charles discutaient dans le jardin de l'institut, Peter fit son apparition, le visage fermé et les poings serrés.

— Père, nous devons parler, déclara-t-il d'une voix dure. 

 Magnéto se tourna vers son fils, surpris par son ton agressif.

— Peter, qu'est-ce qui te tracasse ? 

 Peter regarda tour à tour son père et Charles, son expression sombre et déterminée.

— Je ne peux pas laisser cette situation continuer. Charles, vous ne pouvez pas encourager les sentiments de mon père envers vous. C'est contre nature, c'est contre tout ce en quoi je crois en tant que mutant. 

 Charles regarda Peter avec compréhension, réalisant que le jeune homme était tourmenté par ce qu'il considérait comme une trahison. Il se leva et s'approcha de lui, posant une main apaisante sur son épaule.

— Peter, je comprends ton point de vue, mais l'amour ne se contrôle pas. Chacun est libre d'aimer qui il veut, même si cela peut sembler étrange ou inattendu. 

 Magnéto observait la scène, ému par la façon dont Charles apaisait les craintes de son fils. Il réalisa à quel point il était chanceux d'avoir ces deux hommes dans sa vie, même si cela signifiait affronter des défis et des oppositions. 

 Finalement, les trois hommes parvinrent à un accord. Magnéto accepta que ses sentiments pour Charles ne pourraient jamais être pleinement réciproques, mais il était reconnaissant d'avoir pu les exprimer et d'avoir été accepté par ses proches. Peter comprit que l'amour ne pouvait pas être dicté par des normes préétablies et apprit à accepter la relation complexe entre son père et Charles. 

 Et ainsi, malgré les obstacles et les désaccords, ces trois hommes continuèrent à lutter côte à côte, unis par des liens d'amour, de respect et de compréhension mutuelle. Le mystère de leurs sentiments restait intact, mais cela ne faisait que renforcer leur détermination à protéger et défendre un monde qui les avait tant blessés, mais qui offrait aussi des moments de beauté, de tendresse et d'espoir.