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𝘊𝘢𝘱𝘪𝘵𝘶𝘭𝘰 𝘥𝘪𝘦𝘤𝘪𝘯𝘶𝘦𝘷𝘦
Je vous promet ma vie est vraiment ennuyante, ah non pas du tout.
Mon grand père est venue d'urgence à Barcelone car apparement il voulais nous dire quelque chose.
Donc là on étais chez moi tous réuni.
Papi : Fulgencio tu me déteste toujours ?
Papá : Ça dépend de mon humeur et des jours. Pourquoi ?
Mamá : A ton âge.
Mon grand père a regarder mon père en mode « tu joue a quoi? » et là mon père a rigoler.
Papí : Je rigole, ça va tu commence à monter dans mon estime.
Papi : Merci. Fulgencio, Victoria, Yara et Javieri-
Javier : Javier, c'est Javier putain, grand père tu fais exprès la ?
Ma mère a bien vite coller sa main derrière son crâne il c'est très vite calmer. Mon grand père il a rien compris vue il avais parler en français
Papi : Il a dis quoi ? J'ai pas trop compris.
Mamá : Rien d'interessant, continuer.
Papi : Bon ok, comme je disais, j'espère que vous allez pas vraiment me déteste.
Papá : Ta déjà fais fort la première fois ça va aller.
Il a trop un problème.
Papi : Fulgencio ton frère arrive à Barcelone avec sa famille pour parler de l'héritage.
La on étais tous en mode comment ça frère ?
Papá : Qui ?
Papi : Un fils que j'ai eu avec mon autre femme, il s'appelle Martin.
Papá : Et en quoi ça devrais m'impacter ?
Il a même pas eu le temps de parler que la porte c'est mise à sonner. J'ai ouvert la porte et j'suis tomber sur une fille, elle me rappelle grave quelqu'un.
- Oe maison très vilaine et dans un quartier de pauvre, c'est ici papa ! Dis elle en hurlant.
Je l'ai regardée de haut en bas.
- Pardon ?
- Je t'excuse.
J'ai bien attrapé ces cheveux de merde avant d'essayer de la frapper.
Toute ma famille est arrivé est ils m'ont séparer de cette petasse.
Et y'a un vieux monsieur il est arrivé en sortant d'une grosse voiture noire.