.Chapitre 15 ~ Storybrooke

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De notre temps...

Elle ne se sentit même pas chuter de son tabouret, alors qu'elle tombait dans les pommes, pour la troisième fois en deux jours.

Henry se précipita sur elle. Rebecca gisait sur le sol, complètement inconsciente. Cette vision fit frémir le garçon, qui s'avança très prudemment.
- Rebecca ?
Elle n'ouvrit pas les yeux, ne fit aucun signe.
- Rebecca !
Toujours rien. Henry posa une main tremblante sur le cou de la jeune femme, comme il l'avait apprit à l'école. Quand il sentit les battements du coeur de Rebecca, un énorme soupir de soulagement s'échappa de ses lèvres. Elle était en vie, inconsciente, mais en vie. Henry ne sut quoi faire. Il hésita à appeler l'hôpital, ou même sa mère, mais il se retint, elle n'était pas malade. Il ne l'avait pas cru quand elle lui avait dit, mais la preuve était là, devant ses yeux. À chaque fois qu'il lui arrivait quelque chose, la cause n'était jamais médicale. Il en était sûr à présent. Rebecca était dans cet état car elle avait touché le livre, le titre du livre. Henry attrapa l'ouvrage et passa ses doigts sur les lettres dorées, mais rien ne se produisit. Mérida et le Pays Imaginaire, il n'avait jamais vu ce nom dans son livre. Rebecca gigota, ce qui le fit sursauter.
- Rebecca ?
Elle ne réagit pas, ce qui ne fit qu'emplifier l'inquiétude du jeune garçon, qui attrapa son téléphone et composa le numéro de Mary-Margaret. Celle-ci répondit presque immédiatement. Henry lui raconta alors ce qu'il se passait et répéta l'opération avec Will Scarlet. En attendant qu'ils arrivent, Henry s'empara d'un coussin et le plaça sous la tête de Rebecca, ne pouvant la soulever pour la mettre sur son canapé. La jeune femme avait des sueurs froides et quelques mèches de cheveux s'étaient collées à son front. Il les écarta de ses petits doigts tremblants et les coinça derrière ses oreilles. Il avait peur. Plus que jamais. Depuis le soir ou il l'avait abordée dans la cour de l'école, Rebecca avait toujours été là pour lui. Elle avait cru à ses histoires les plus tordues et avait accepté la moindre de ses requêtes, même les plus étranges. Elle était vraiment une bonne amie, une grande soeur comme il aurait tant aimé en avoir. Il ne fallait pas quelle parte, il avait besoin d'elle, en plus de toute la ville. Elle remua de nouveau dans son sommeil et se retourna, elle devait faire un cauchemar. Quand Henry en faisait, sa mère venait dans sa chambre et lui lisait des histoires. Alors il attrapa le livre de Mérida et le Pays Imaginaire et commença la lecture. Il n'eut pas le temps de finir le premier chapitre que des coups résonnèrent à la porte. Il se leva et courut ouvrir, Mary-Margaret et Will étaient là. Ils saluèrent Henry et avancèrent dans la pièce. Mary laissa échapper un petit cri et se précipita sur Rebecca.
- Henry, mais que s'est-il passé ?
Son ton était bercé par l'inquiétude.
- Je te l'ai dis. Répondit Henry.
- Tu m'as seulement dit qu'elle ne se sentait pas très bien !
Will s'avança à son tour et posa sa main sur la gorge de Rebecca, comme l'avait fait Henry quelques instants plus tôt. Il hocha la tête.
- Elle va bien, Déclara-t-il.
Il passa un bras sous sa nuque et fit glisser l'autre sous ses genoux afin de la porter. Il la déposa ensuite sur le canapé et s'assit à ses côtés. Mary le rejoignit rapidement et posa une main sur le front de Rebecca. Henry assistait à la scène comme un simple spectateur. Il n'avait aucune idée de ce qu'il se passait, ou de ce qu'il était sensé faire.
- C'est curieux. Lança Mary-Margaret.
- Qu'est ce qu'il y a ? Bredouilla Henry.
- Et bien, elle respire comme il le faut et a une température normale, je ne comprends pas.
Will inspira bruyamment et se pencha afin d'effleurer la joue de Rebecca.
- Il faudrait appeler l'hôpital, Henry. Continua Mary-Margaret. Je ne comprends pas pourquoi tu as cherche à nous joindre, nous.
- Elle n'est pas malade ! S'exclama alors Henry.
- Et comment tu le sais ? Demanda Will.
- C'est elle qui me l'a dit, et j'ai vu ce qu'il s'est passé.
Mary-Margaret soupira.
- Oui, nous aussi. Continua Will. Elle est tombé de son tabouret et s'est tapé trop fort la tête, comme tu nous l'as dit par téléphone.
- Non. Rétorqua Henry. Je vous ai menti. Elle était déjà inconsciente quand elle est tombée.
Mary-Margaret écarquilla les yeux et les braqua sur Will.
- Raison de plus pour l'emmener à l'hôpital ! S'exclama-t-elle.
- Non! La coupa Henry. Vous ne comprenez pas.
- Explique-nous, alors. Déclara Will.
- Il n'y a pas d'explication qui tienne, elle a besoin de soins ! Explosa Mary-Margaret.
- Je veux juste entendre l'explication d'Henry.
- C'est mon amie, et je ne veux pas la laisser comme ça !
- Et bien moi aussi c'est mon... amie ! S'exclama Will. Et c'est pour ça que j'ai besoin d'entendre ce que Henry a à dire.
L'intéressé gardait le regard braqué sur le parquet. Quand il put enfin en placer une, il leva la tête et découvrit Mary penchée sur Rebecca, tandis que Will le regardait avec un air étrange.
- Je t'écoute. Lui lança-t-il.
- Pourquoi ?
- Parce que Rebecca a confiance en toi et que j'ai confiance en elle.
- Tu me mens.
- Non.
Henry soupira et lui expliqua alors toute l'histoire, toute sa théorie. Des contes au malaises de Rebecca, en passant par les livres. À la fin de son récit, Will laissa échapper un ricanement.
- Je ne m'attendais pas à ce que tu me crois. Marmonna Henry.
Will secoua la tête.
- Ce n'est pas ça.
Henry l'interrogea du regard.
- Tu es un garçon très intelligent. Lança Will.
Une étincelle passa dans les yeux d'Henry. Un brin d'espoir, de vérité, de confiance.
- Tu te souviens. Déclara-t-il.
Will sourit de toutes ses dents.
- Je n'ai jamais oublié. Corrigea-t-il.
- Qui es-tu dans la forêt enchantée ? pourquoi tu n'as rien oublié ?
Henry avait plein de questions à lui poser, c'était la chose la plus merveilleuse, et étrange, qui pouvait lui arriver.
- Le secret, c'est que je ne viens pas de la forêt enchantée. Je suis Will, valet de coeur de la reine rouge.
- Tu viens du Pays aux Merveilles ! S'exclama Henry.
Soudain, son enthousiasme retomba.
- La reine rouge, ce n'est pas sensée être la méchante ?
- Je suis venu ici pour une bonne raison. Rétorqua Will. Ne crois pas trop les histoires, il n'y a qu'une seule reine et elle a été gentille, autrefois.
Henry hocha la tête. Subjugué par ce qu'il entendait. Soudain, une idée perça dans son esprit.
- Tu conaissais Rebecca ? Demanda-t-il.
- Une véritable tornade ! Mais je ne l'avais pas vu depuis longtemps, bien avant qu'elle soit envoyée ici. Quelque chose à changé, elle n'est plus la même.
- Et elle ne se souvient pas de toi ?
- Aparament non. Soupira-t-il.
Il se retourna pour voir où était Mary-Margaret. La jeune femme s'était endormie sur le fauteuil à côté du canapé. Rebecca était toujours inconsciente sur le canapé.
- Elle est en train de récupérer ses souvenirs ? Demanda Henry.
- Je pense.
- Mais, pourquoi ? Personne d'autre ne les a.
- Elle n'est pas née dans la Forêt enchantée.
- Ou alors ?
- Je ne sais pas.
Son ton n'était pas du tout convaincant, mais Henry laissa passer. Il en savait déjà assez pour pouvoir aider les habitants à se souvenir. Rebecca allait sûrement réussir à briser la malédiction. Il regarda Will s'installer aux côtés de la jeune femme inconsciente et lui caresser la joue. Il se demanda qu'elle relation ils partageait à l'époque, quelle qu'elle soit, ca devait être très fort. Parce que Will avait vraiment l'air proche d'elle. Il s'avança vers eux et s'appuya sur l'accoudoir.
- Mérida... Murmura Will.
Mérida ? Le livre. Le livre était son histoire, il parlait d'elle. Il fallait qu'il le lise, qu'il sache ce qui lui était arrivé, pourquoi est-ce qu'elle avait changé, selon Will. Il sauta du canapé et se précipita sur le livre. Il l'attrapa et constata que le titre n'avait pas changé de nouveau. Il serra l'ouvrage de cuir dans ses bras et rejoignit Will sur le canapé. Il le tendit au jeune homme, qui sourit en voyant la couverture. Henry réfléchit et une idée mûrit dans son esprit.
- Donne lui le livre. Lança-t-il à l'intention de Will.
Il s'exécuta, mais rien ne se produisit.
- Aller, Mérida, reviens. Je t'en prie.
Henry s'avança, cachant difficilement son inquiétude, ainsi que son chagrin. Il s'assit devant Will, à hauteur de l'épaule de Rebecca. Après avoir posé sa main sur celles de la jeune femme, et sur la couverture du livre, il se pencha à son oreille.
- Tu ne peux pas nous faire ça, ok ? La ville a besoin de toi.
Il ne savait pas quoi dire d'autre, les mots lui manquaient.
- Mérida. Murmura-t-il alors.
Soudain, comme un énorme courant d'air s'engouffra dans la pièce. Circulant à travers les corps et les infiltrant. Les envahissant d'une sensation de chaleur intense. Henry ferma les yeux, profitant de cette chose nouvelle, qu'il n'avait jamais ressentit. Quand il les ouvrit de nouveau, il était couché sur Rebecca. Il se trémoussa pour se relever, mais quelque chose le retenait fermement.
- Où est-ce que tu penses aller ?
Il reconnut immédiatement cette voix et cria presque de joie. Quand il leva la tête, les yeux de Rebecca étaient braqués dans les siens. C'est alors qu'il s'autorisa à pleurer, tout ce qu'il avait retenu, tout ce qu'il s'était refusé. Rebecca le cajola un instant en le berçant tendrement contre elle.
- Tu ne vas pas te débarrasser de moi aussi facilement. Lui lança-t-elle
Il se releva en ricanant, suivit par la jeune femme, qui le serra de nouveau contre elle. Elle semblait un peu faible et perdue, mais elle était là, réveillée.
- De retour ? Demanda Will.
Elle sourit de toutes dents et se leva pour le serrer dans ses bras, en pleurant.Henry n'en doutait plus, ils étaient vraiment proches.
*
Elle était un peu perdue, comme si plusieurs personnes voulaient se faire entendre dans sa tête. Tour d'abord, cette personne qu'elle était depuis presque vingt-six ans, Rebecca. Et ensuite, elle même. Mérida. Elle le savait à présent. Mais c'est comme si une partie d'elle l'avait toujours su. Elle ne pouvait être une simple personne, banale, parmi tant d'autres. Elle se souvint même avoir rêvé, des nuits, de se réveiller dans la peau de quelqu'un d'autre. Avoir une vie nettement mieux que la sienne. À présent qu'elle se souvenait, elle aurait préféré rester dans la peau de Rebecca. La version d'elle qui n'avait pas de soucis, qui avait une histoire banale et heureuse. Elle n'aurait peut-être pas tant souffert. Car la douleur refit vite surface et la noya dans un torrent d'images plus atroces les unes que les autres, ses souvenirs, son histoire. Pourquoi avait-il fallut que tout ça arrive ? Les larmes lui montèrent aux yeux. Une main s'empressa de les essuyer. Will se tenait toujours devant elle, les yeux pleins de tendresse. Elle ne pouvait croire qu'elle l'avait oublié, lui, son meilleur ami.
- Rebecca !
Elle se retourna.
- Neige ! S'exclama-t-elle.
Son amie la regarda étrangement.
- Enfin Rebecca, c'est moi, Mary-Margaret.
Elle voulut se taper la tête contre un mur, se creuser un trou et s'enterrer dedans. Évidemment que c'était Mary-Margaret. parce que maintenant, elle allait devoir supporter ça aussi: que personne ne se souvienne d'elle comme elle se souvenait de tout le monde. L'horreur.
- Comment tu te sens ? Demanda Nei- Mary.
- Bien, je crois.
Il fallait qu'elle le fasse croire. Rebecca allait bien, mais Mérida, ça en était autrement. Elle ne savait pas ou elle en était. Il fallait qu'elle rassemble ses idées, qu'elle se pose pour réfléchir, mais elle n'avait pas le temps de penser. De penser à sa famille, à son pays, au temps où elle était dans la merde, mais où elle gérait encore quelque chose.
- Je t'emmène voir un médecin. Continua Mary-Margaret, d'un ton tranchant.
Elle jeta un regard noir à Will, qui sourit avec un air de compétition. Rebecca ne comprenait vraiment rien à ce qu'il se passait, mais ne chercha pas à saisir. Elle avait déjà assez à penser.
- Je vais bien, je te jure.
- Je m'en fiche, ça faisait vingt minutes que tu étais dans le coma.
Will toussota.
- Une heure et demi, tu t'es endormie au bout de vingt minutes.
Il rit seul à sa réflexion, ce qui fit également pouffer Rebecca.
Mary-Margaret, vexée, l'attrapa par la manche et la traîna à l'extérieur.
*
- Tu vois, tu m'as fais perdre deux heures de ma journée. Se plaignit Rebecca à la sortie des urgences.
Les deux jeunes femmes avaient attendu presque une heure et demie avant que le docteur Whale ne se libère.
- C'était nécessaire.
- Aparament pas, je vais devoir te le répéter combien de fois, je vais bien !
- Rebecca...
- Mary-Margaret, s'il te plaît. J'ai besoin d'un instant seule. Si tu veux, on peut se voir ce soir, chez Granny's.
- Mais...
- A ce soir.
Rebecca lui tourna le dos et s'éloigna. Enfin seule, elle allait pouvoir réfléchir. Premièrement, il lui fallait un moyen de sortir d'ici. Mais pour sortir, il fallait briser la malédiction qui les avait tous envoyé ici. Cependant, elle ne connaissait pas la clef, aucun moyen de le faire. Toute malédiction a sa faille, son bouton de destruction. Il fallait trouver celui-ci. Elle fut interrompue dans sa méditation par la vibration de son téléphone sur sa cuisse. Elle attrapa le portable: Henry.
- Henry, comment tu vas ?
- Bien. Comment avance la mission Phénix ?
Rebecca sourit devant l'entrain du jeune garçon. Elle lui était reconnaissante de ne pas trop forcer sur sa condition pour le moment et de lui laisser le temps de s'en remettre.
- On quitte la ville quand tu veux. Rétorqua-t-elle.
- Tu oublis que tu ne peux pas partir.
- Je sais ce que j'ai vu et ça ne me fait plus peur, ne t'en fait pas.
- Je ne sais pas...
- Henry, tu as confiance en moi ?
Elle entendit un soupir à l'autre bout de la ligne.
- Oui.
- Alors nous partons quand tu veux.
- Ce soir ?
- Ce soir.
Rebecca était bien décidée à faire plaisir à Henry. Quitte à devoir risquer sa vie pour trouver une femme qu'elle ne connaissait même pas.
- Prépare des affaires pour quelques jours. Continua-t-elle. Mais sois discret.
- Merci Rebecca ! Ne t'en fais pas.
Sur ce, il raccrocha. Rebecca regarda son écran pendant un petit moment, contemplant son reflet qui l'intriguait au possible. Quelque chose chez elle avait changé, elle le savait. Quand elle s'était retrouvée dans la forêt enchantée, quelques temps avant de se faire envoyer à Storybrooke, quelque chose s'était changé, elle était mal. Elle se regarda une derniere fois dans l'écran de son telephone et remarqua que son visage avait aussi changé: Ses yeux étaient devenus bleus sombre, sans vie, sans rien. Vides. Et elle savait que ça n'avait pas entièrement rapport avec le fait qu'elle eu quitté sa famille. Il lui manquait une partie d'elle, elle en était certaine. Comme si elle avait été privée de quelque chose, qu'on lui avait arraché une chose dont elle n'était pas capable de se souvenir.
Après plusieurs instants à flâner sur le port, Rebecca prit un bus afin de rentrer chez elle. Son appartement était un véritable bazar. Les plaids de son canapé étaient éparpillés sur le sol, coussins avec. Des verres traînaient sur le comptoir et la vaisselle sale commençait à s'empiller dans l'évier. Elle était persuadée que si elle avait le malheur de se rendre dans sa salle de bain, la crasse la ferait fuir. Il fallait vraiment qu'elle range et qu'elle nettoie, ça devenait urgent. Elle s'affaira donc, commençant par le bar. Un tabouret était renversé, elle le releva et découvrit les deux livres ouverts sur le sol. Le coeur l'emporta sur la raison, elle emporta le livre de conte et se jeta sur le canapé. Elle posa l'ouvrage sur ses genoux et l'ouvrit à la première histoire: Blanche-Neige. Elle connaissait le gros de l'histoire, puisqu'elle s'entendait bien avec Blanche. Mais elle voulait les détails. C'est ainsi qu'elle se retrouva à feuilleter les dernières pages de l'histoire, à la reherche de la malédiction. Ça commençait au mariage. La méchante reine, voulant banir les fins heureuse et régner sur les autres, avait prévu de lancer une malédiction appelée le sort noir... Bla-bla-bla. Ce qu'elle voulait, c'était une solution. Elle tomba sur un moment intéressant, la méchante reine avait rendu visite à ce charmant Rumplestilskin, le plus puissant mage noir du Pays, afin de lui parler du sort. Elle parcourut les lignes sans vraiment prêter attention à l'histoire quand elle tomba sur une réplique qui attira son attention.
"L'enfant de Blanche-Neige et du prince Charmant pourra briser le sort à ses vingt-six ans. Il sera le seul espoir de la forêt enchantée"
Si elle suivait la logique des choses, Emma Swan, la mère de Henry, était la fille de Blanche-Neige et de son prince. Mais comment était-elle sortit de Storybrooke ? Peut-être n'y était-elle jamais allée. Mais comment était-ce possible ? Elle devait à peine être née quand la malédiction avait été jetée, elle n'aurait pas pu y échapper. Cependant, elle était la seule piste disponible pour le moment, raison de plus pour la chercher. Il fallait vraiment qu'elle trouve son adresse.
Après une après-midi à rechercher le plus d'informations possibles sur la mère de Henry, Rebecca prépara un sac avec quelques vêtements de rechange aisni des affaires de toilette. Elle ramassa le deuxième livre devant son bar et le retourna, le titre était redevenu le même. Pourquoi avait-il changé ? Et quel rapport avait-elle avec le Pays Imaginaire, puisqu'elle n'y avait jamais mit les pieds ? Elle attrapa le papier sur lequel étaient gribouillées ses informations et le fourra dans son sac. Elle s'empara également d'un manteau. Au même moment, quelqu'un toqua à sa porte. Ça devait être Henry. Elle ouvrit en jetant son sac sur l'épaule. Cependant, ce n'était pas Henry qui lui faisait face, mais Régina. Celle-ci afficha un sourire mauvais et s'avança afin de lui faire pleinement face.
- Vous allez quelque part, Mérida ?

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Après plusieurs hésitations, j'ai décidé de continuer cette histoire. Vous m'avez beaucoup encouragée et je vous en remercie.
J'ai également prit cette décision quand j'ai vu, il y a peu, que j'avais dépassé la barre des 1k, comment vous remercier ? C'est tellement énorme !
Je suis extrêmement touchée de voir que de plus en plus de personnes s'intéressent à ce que j'écris et ça m'encourage encore plus !
Merci énormément
J'avoue que j'ai un peu bâclé ce chapitre, j'espère qu'il reste bien !
N'hésitez pas à me donner vos avis ♡

De gros bisous ♡

PS: Je ne vais pas tarder à poster une nouvelle histoire, vous verrez très bientôt de quoi il s'agit !!

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Beautiful DarknessOù les histoires vivent. Découvrez maintenant