Chapitre 18: La chance ou le destin?

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Je cherche une quelquonce erreur sur le papier pour me prouver que c'est une blague. La seule erreur, c'est qu'il n'y en a pas.

"Comment ça se peut?" Je demande, totalement déroutée.

Mon père, souriant, sort son Iphone, que je lui ai donné à noël, pour me montrer un article de journal auquel je n'ai pas preter attention, trop occupée à lire ceux à mon sujet.

Robert Donnovant, un Okois de 52 ans gagne le gros lots de 10 000 000$ à loto Québec!

Je cligne plusieur fois des yeux et me pince le bras, m'assurant que je ne rêve pas. Mon père, l'homme intelligent mais sans diplôme qui a bûché toute sa vie pour pouvoir manger, est maintenant millionaire!

Il ne m'en faut pas plus pour me mettre à crier comme je n'aj jamais crier de joie avant. Je crois, avec mon crie, que tout les voisins et les animaux des environs vont croire qu'un meutre vien de se produire.

Je me met à sauter partout, ne lachant pas le portable des yeux. Je finis par sauter dans les bras de mon père, heureuse qu'il puisse enfin prendre sa retraite de tout ses petits travail peu payant et fatiguant.

"Papa! Enfin! Ouaaaaaaaaah! Je suis tellement contente pour toi! Tu le mérite! Oh my god, merci les extraterrestre!" Je m'exclame, serrant mon père fort dans mes bras.

Il me décolle en rigolant et reprend le papier qu'il m'a donner pour remplacer le portable dans mes mains par celui ci.

"Ça, c'est pour toi. Fait ce que tu m'as dis l'autre jour."

Un chèque d'un millions de dollard se trouve sous mes yeux. Voilà le pourquoi de sa question lors du souper avec Kellan. Je porte ma main à ma bouche, estomacquer. C'est plus d'argent que ce que j'avais prévu en faire de toute ma vie. Mes rêves d'avoir une maison, une piscine, une trampoline, aller en grèce et de monter une voiture peuvent maintenant devenir réalitée. C'est... Wow!

{Kellan}

"Ouais, et la tourner de six mois que nous avons prévu pour l'an prochain? Tu va la faire ou l'annuler pour cette fille?"

Je regarde Mike, à bout des ses questions et ses moral au sujet de Phœbe. Il m'énerve, vraiment.

"On a prévu quatre jour de congé fixe par chaque deux semaines, non? J'irais la voir ces journées là!" Je répond, pouvant trouver une solution à tout ces problèmes.

Je n'arrive pas à comprendre pourquoi Phœbe lui pose problème. Le seul soucis qu'il devrait se faire à mon propos, c'est concernant ma carrière, pas ma vie personnel.

"Tes parents en disent quoi?"

"Ils veulent la rencontrer." Je répond, roulant des yeux pour la énième fois.

C'est comme si, pour lui, Phœbe est un fardeau qui va faire chuter ma carrière. Pourquoi devrais-je me faire dictée quoi faire à 25 ans encore?

"D'ici trois ans, elle va te parler de fonder une famille, de sa marier, de faire des voyages et ça, mon cher, ça va ruiner ta carrière!"

"Tu dis ça parce que t'es même pas capable de te trouver une femme. Premièrement, des enfants, ça va me faire de la pub et ça ne changera rien a ma carrière puis j'en veux pas. Me marier? Ça m'étonnerais puis aller en voyage? Elle n'aura qu'à m'accompagner durant mes tournées."

À bout de nerfs, je me lève et sort sur le petit balcon pour fumer une cigarette. Décidément, Michael commence à me gonffler de plus en plus. Il me reste encore une semaine avant de retourner au Québec ou simplement chez moi et contrairement à ce que je m'imaginais, le temp passe bien plus vite. Si moi et Phœbe c'est fait pour durer, bien pour moi, ce ne sera pas si dur.

Twenty two.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant