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17 heures. Enfin la fin de cette journée de cours, je n'en peux plus. Je salue mes amis et pars dans la direction de ma voiture. Je passe devant une boulangerie, je craque, je me gare et vais m'acheter quelques petites douceurs pour me donner du courage pour finir la journée.
Je marche vers ma voiture, mais quelqu'un se met en travers de mon chemin.
- Bonjour, savez-vous où je peux trouver un restaurant décent par ici ?
- Au coin de la rue, puis à gauche, il est pas mal.
- Merci mademoiselle !
- Pas de quoi.
Enfin, je pose mon fessier sur le siège de la voiture, et ne pouvant attendre d'arriver chez moi, je mange directement un de mes achats, en prenant le soin d'en garder deux autres pour mes révisions.
Une fois arrivée chez moi, je crie un rapide « bonjour » dans la maison, espérant que mes parents m'entendent.
Moi et mes parents, ce n'est pas l'amour fou, il n'y pas de complicité, pas de communication, rien, je m'y suis habituée, mais quand je vois des amis qui sont complices avec leurs parents, qui peuvent tout leur dire, qui ont la possibilité de leur parler de chaque problème qu'ils ont, je les trouve assez chanceux.
Je monte m'isoler dans ma chambre pour réviser, et bien sûr, manger.
Ça doit faire cinq minutes que j'ai commencé et j'entends déjà mon père hurler le nom de ma mère. Cette fois, je le sais, ils sont là.
- Catherine ! CATHERINE T'ES OÙ ?!
- Je suis dans la cuisine Frank, calme-toi, Teresa étudie!

La mystérieuse agression.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant