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Et merde. Il m'a. Il a le contrôle.
S'il croit qu'il va m'avoir comme ça et que je vais lui offrir mon corps, il se goure complétement.       
- Allez, arrête de te torturer, je sais que tu en as envie. Me chuchota-t-il.
- Pas le moins du monde Collin, dégage.
- Non.
- Dégage ou tu vas le regretter.
- Tu ne me fais pas peur Amy, je suis plus fort que toi.
- Oui, sans aucun doute, mais tu as un point faible que je n'ai pas.
Avant qu'il ne puisse comprendre de quoi je parle, je lui mets un coup de genoux dans les parties.
- Amy... dit-il à bout de souffle.
- Tu es toujours plus fort ? le narguais-je  
Je retourne dans la chambre et trouve le sommeil une ou deux heures plus tard.           
Le lendemain, on fait les boutiques. On rigole beaucoup, ça me fait un peu oublier les problèmes du quotidien.
La journée passe vite. Je rentre chez moi aux alentours de 19 :00.
Je laisse un billet à la cuisine pour être sûre que l'on ne me dérange pas.
« Suis rentrée, déjà mangé, vais bosser.  – Amy »
Je monte dans ma chambre, puis je m'affale sur mon lit, mon lit adoré.
Il fait chaud, ma chambre n'a pas été aérée depuis que je suis partie, j'ouvre la fenêtre.
Une enveloppe en tombe. Ça me fait peur, un peu comme dans les films policiers où l'agresseur dépose des lettres anonymes de menace. Je mets de côté mon penchant pour le cinéma puis je l'ouvre délicatement.
Dedans, un petit papier, écrit à la main : «Fais attention Amy, quelqu'un te traque.»
Je panique. L'impression que j'éprouvais d'être épiée était alors fondée ? L'autre jour dans la rue, c'était cette personne ? Vers la fenêtre, ce n'était pas Teresa ?
Trop de questions se bousculent dans ma tête. Je sors de ma chambre.
- Teresa ! Tereeeesaaaaa !
Aucune réponse. Je vais dans sa chambre, il n'y a personne. Je vais devoir gérer ça toute seule.

La mystérieuse agression.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant