Ces personnes autour de moi se courbent devant le Temps, si puissant.
Tel un dieu qui passe, qui s'enfuit et ne revient jamais.
Il laisse derrière lui mes souvenirs, mes sanglots et mes rires.
Pour ne continuer son voyage qu'avec mon âme,Mais il effleure la Nature, si imposante et si vieille.
Elle a percé le secret du Temps, et le maîtrise a sa guise.
Ses forêts rajeunissent tous les ans et,
Ses fleuves ne se tariront jamais,
Elle est son égale mais l'observe de haut.
Un combat commence, infini.
Cette lutte acharnée se finit pourtant,
J'entends le pas du Temps,
Il s'enfuit et part
Comme tous les jours et les ans
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Journal de Pensée
PoetryQuand je fixe ces grands géants, De mes yeux de poète, Une impression vague me prends. De ces pachydermes de bois dans ma tête. Leurs racines se nourrissent de la Terre Nourricière, pleine de vie tendre. Nous autres le faisons de notre mère, Dans le...