Chapitre 8: jeudi 4 septembre

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Une nouvelle journée commence. Je me lève aux côté de Mathéo qui lui était encore en train de dormir. Je l'observe un petit temps puis je décide de sortir du lit. Je me dirige vers la chambre de Mylène pour la réveillé mais apparemment elle ma devancer. Je fis demi-tour en vitesse chose qui ne fallait pas que je fasse. Je suis prise de vertiges. Je me pose quelques minutes, je vois Mylène sortir de sa salle de bain venir vers moi.

-Oh toi tu as besoin d'une grosse poche de sang et du repos. Me dit -elle en souriant.

J'acquiesce sans rien répondre, après tout elle avait peut être raison. Je suis encore sous l'effet de la pleine lune et ce n'est pas prêt de s'arrêter ; j'en ai encore pour quelques jours mais le pire est passé. Ma merveilleuse amie me ramène un grand verre de sang qu'elle a préalablement aromatisé comme je les aime. Bien évidemment j'en profite ce n'est pas tous les jours que je reçois ce traitement de faveur. Je ris à cette pensée puis je me nourris tranquillement.

Mylène termine de se préparer pour aller en cours ; je ne sais pas ce qu'elle a mais elle est distante. Je me fais peut être de fausses idées. Je chasse cette pensé puis je me lève pour aller voir comment se porte Mathéo. Je m'en veux tellement de lui avoir fait du mal. Je ne pensé pas en être capable. J'entre dans la chambre et je vois qu'il est assis sur le lit. Je me dirige vers lui pour lui dire bonjour. Je ressors en vitesse, lorsque je sens que l'on me retient par le poignet. Je me retourne, je fixe Mathéo dans les yeux et sans que je m'y attends il me serre dans ses bras. C'était une étreinte qui me parut rassurante. Il devait bien se douter que je culpabilisais par rapport à ce que je lui avait fait la journée précédente.

Après cette petite étreinte, je décide de lui préparé le petit déjeuner dans la cuisine. J'avais encore des douleurs et mon esprit ne cesse de me torturé. Je ne peux pas succomber à ma noirceur. Je suis faite pour être dans la lumière. C'est compliqué d'être dans la lumière lorsque l'on est un vampire et que notre vie est vouée à tuer des gens et faire coulé à flot le sang de mes victime. Après je ne dis pas que c'est impossible ; je sais que je peux réussir à contenir cette noirceur qui est en moi et qui m'appelle sans cesse depuis que la pleine lune est apparut.

- A quoi pense tu ma belle ?

Je n'avais pas remarqué que Mathéo était descendu dans la cuisine.

- Oh tu es là, tu m'as fait peur quand même.

- Qu'à tu préparer de bon pour moi ?

- Hum qui ta dis que c'était pour toi ? Peut-être que j'attends quelqu'un. Lui dis-je.

- Il est huit heure du mat, tous les lycéens sont en cours et il n'y a que nous deux dans cette maison.

- Bon ok ta gagner c'est pour toi mais ne prend pas la confiance.

Il rigole puis il prend place pour commencer à manger. Je l'observe, peut-être un peu trop. Je tourne le regard lorsqu'il remarqua que je le regardais. Je me lève pour me faire un chocolat chaud. Mathéo m'arrête et le prépare à ma place. L'ambiance était plutôt calme comparé il y a deux jours.

Il me donne mon chocolat et me regarde le dégusté.

-Comment tu fais pour que tes chocolats soient aussi bon ?

- C'est mon secret et ce n'est réservé seulement à toi. Me répond t-il d'un ton rieur. D'ailleurs je me demande comment tu fais pour boire du chocolat chaud sachant qu'il fait 40 degré dehors et que tu es un vampire.

- Je tiens à te rappelé que mon corps n'a pas vraiment la même température que toi donc je ne me réchauffe assez difficilement ensuite pour le fait que je sois un vampire je n'ai jamais compris pourquoi je réussi à me nourrir comme un humain. Il y a tout de même quelques petites choses que je ne peux pas manger.

La Surnaturelle Royale (réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant