Jour 2: 17h
Nous étions maintenant, Clarisse et moi, dans ma chambre, en train de discuter.
- Clarisse, tu ne trouves pas qu'il se passe des choses étranges dans cet hopital ?
- Justement chérie, je voulais te parler de ça. Tu sais, cet asile n'a pas une histoire commune aux autres hopitaux...
- Que veux-tu dire par ça ?
- Je veux dire qu'à la base, cet établissement n'a pas été construit pour être un hopital psychiatrique...
- C'était sencé être quoi ?
- Ne me perturbe pas Iliana et laisse moi raconter !!
Je disais qu'à la base, ce batiment a été construit durant la Seconde Guerre Mondiale, pendant l'occupation allemande. Les nazis avaient construit des batiments pour y enfermer les juifs et les torturer...- Tu veux dire que cet hopital était un camp d'extermination !?
- Exactement, chérie.
- QUOI !? MAIS C'EST UNE BLAGUE !
- Tu ne me crois pas ?
-...
- D'accord, suis-moi.
Clarisse se leva et se dirigea vers la sortie de la chambre. Je la suivis de près.
Comment cet endroit pouvait être un camp d'extermination ? Je pensais qu'ils n'étaient plus en service depuis la fin de la guerre et ouverts au public.
Et comment Clarisse pouvait être au courant de ces choses.
Sans faire de bruit, nous sortîmes et allâmes vers la cour. Clarisse m'amena à l'arrière du batiment et me montra de nombreux morceaux d'os au sol. Nous remontâmes jusqu'au 1er étage, celui où étaient les bureaux, lorsqu'une conversation m'interpella. Nous nous approchâmes d'une salle entrouverte et je pus distinguer deux employées en train de discuter.
- Le patient de la chambre 228 a eu le malheur de se balader dans les couloirs de l'hopital et tu sais quoi ?
- Raconte
- Le patron l'a chopé et l'amener au sous-sol tout à l'heure. Depuis, on ne l'a plus retrouver.
Clarisse et moi nous regardâmes. D'un coup, j'eus très peur de me faire attraper par le patron.
Lorsque je me souvins que...
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Am I Crazy ?
HorrorJe voulais seulement retrouver l'auteur du meurtre de mes parents. Mais rien ne se passa comme prévu. Entre mes pertes de mémoire, ces crises répétitives et ces silhouettes, le véritable monstre n'était-il simplement pas face à moi? Cette personne...