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Nous étions dans ma chambre et j'avais l'impression qu'il était toujours en colère par rapport à tout à l'heure. Je l'embrassais profondément, je sentais le goût de sa colère sur ses lèvres. Ilme répondait avec force, c'était une sorte de combat entre nous.La tension sexuelle avait bien trop duré. J'allais enfin pouvoirassouvir mes fantasmes du moment, faire l'amour avec Tom Jenson. Ilme murmurait d'une voix rauque:

- Ruby, j'aitellement attendu cet instant.

Jem'enflammais à ces mots. Je le poussais sur mon lit et il se laissafaire. Puis, je le déshabillais très rapidement. Il devaitdésormais se douter que je n'attendais que ça depuis tout àl'heure. Je laissais glisser ma robe au pied du lit. Jesentais toute son attention focalisé sur mon corps. Son regard étaitsi érotique que j'en frissonnais d'envie. Nos regards s'ancrèrentl'un à l'autre. Je mettais dans le mien toute la force de monintérêt pour lui. Dans ses yeux sombres, je décelais une passionfolle. Je savourais la vision de son torse parfait et sa peaupâle.
Je ne saurais mettre des mots sur la force de ce que jeressentais à cet instant-là. Je le voulais plus prêt, il y avaitencore trop de distance entre nous. Il m'avait tant hanté et obsédé.

J'étaismaintenant à un centimètre de lui. Ses doigts parcouraient monventre, mon cou et finirent par s'attarder sur mes seins. Il encaressait un en ne quittant pas mes yeux, surement pour le plaisir devoir mon corps réagir à son contact. Nos corps se pressaient l'uncontre l'autre et je sentais son érection grandissante. Je caressaisdoucement son torse, puis passais une main dans ses cheveux que jetirais légèrement lorsque notre baiser se fit plus intense.J'aimais son contact, je souriais en passant que j'allais l'avoirtoute la nuit avec moi. Oui nous allons bien nous amuser. On retiraittout type de tissus qui s'interposaient encore entre nous.

Jelui mordais légèrement les tétons ainsi que son cou et pour finirsa lèvre. J'avais si faim de lui et je n'avais qu'une envie ledévorer sur place. Il avait raison de dire que 'étais féroce,j'avais l'impression d'être sauvage à cet instant. Il m'allongeasur le lit et se mit à déposer une pluie de baiser sur l'ensemblede mon corps en feu. Il passa un léger coup de langue au niveau demon sexe mais n'y resta pas à mon grand désespoir. Ma respirationse faisait plus lourde, il embrassa maintenant mon nombril. Ce simplegeste enflamma tout mon être. Je m'impatientais pourtant ce n'étaitque le début. J'en voulais plus et le contact de nos peauxbrûlantes n'arrangeait rien. Son regard était fou, je passais mesjambes autour de lui pour l'attirer plus prêt. Ainsi je respirais sadouce odeur si particulière. Il m'excitait à un haut niveau et tousmes sens se trouvaient maintenant éveillés.

Sa présence merendait vraiment folle et je voulais que les choses aillent plusvite. Il me rallongea sur le lit et s'attaqua tout d'abord à mestétons qui durcissent instantanément à son toucher. Il souriait envoyant la réaction de mon corps. Il pencha son visage sur mapoitrine et donna plusieurs coups de langue pour me titiller lestentons. C'était insoutenable, j'avais l'impression que jem'embrasais. Je me tortillais, il continua de m'enflammer. Jen'arrivais pas à retrouver mon calme.

- Laisse-moi tefaire plaisir, me murmure-t-il.

Ilpassa un de ses doigts sur mon sexe, je soupirais d'avance. Puis, ilse mit à jouer avec mon clitoris en faisant des ronds de plus enplus rapide. Il inséra un doigt en moi et le bougea lentement puisplus rapidement.

- Tu es déjàprête.

Plusque prête, mon dieu. Je n'en pouvais déjà plus, mon corps étaiten feu. Il était temps pour moi de l'exciter à mon tour.
Je merelevais et le poussais sur le lit et me plaçais au-dessus de lui.Je l'embrassais avec force. Je pris son sexe en main par surprise, ilavait déjà pris des proportions gigantesques. Je commençais parfaire des mouvements lents puis j'accélérais de plus en plus. Jesentais qu'il aimait quand je calquais mes yeux dans les siens. J'ytrouvais l'expression du désir à l'état pur. Je trouvais celaencore plus excitant de voir ce que j'arrivais à lui faireressentir ces émotions. Il caressait mon clitoris en même temps, unvrai bonheur de pouvoir se faire plaisir mutuellement. Je sentaisqu'il n'en pouvait plus, il n'allait plus pouvoir tenir longtemps.J'accélérais encore un peu plus, il accéléra aussi ses mouvementssur mon sexe. Il m'arrêta soudainement, il se trouvait sur le pointde jouir.

- Je vais explosersi je ne te prends pas maintenant.

Jesortis un préservatif de ma table de chevet. Un rouge précisément.Enfin, nous allons pouvoir aller jusqu'au bout. Il m'embrassa etinséra encore un doigt en moi comme pour vérifier l'état de monexcitation. Je me sentais tellement prête que même un simple doigtétait déjà trop pour moi. Je l'observais l'enfiler, son sexe étaitsi large. Je me mordis la lèvre, cela promettait d'être très bon.Je passais un doigt sur son torse pour le déconcentrer et je vis que cela marchait. Il plaqua ses lèvres si fort sur les miennes quema bouche fus meurtrie. Il se positionna au-dessus de moi.

- C'est partie!

Jelui fis signe qu'il pouvait y aller. Il entra en moi d'un coup derein. C'était délicieusement bon. Je sentais dans son regard unelueur de triomphe. On ne faisait qu'un enfin, j'en soupirais decontentement. Il bougea en moi d'abord terriblement lentement puisil accélèra la cadence. Je m'agrippais à ses bras et au fur et àmesure de ses allées venues, j'enfoncais mes ongles dans sesavant-bras, c'était si parfait. Je n'avais jamais autant aimé quequelqu'un me fasse l'amour. Ses coups de reins se firent pluspuissants. Je m'accordais à son rythme pour qu'on ne fasse qu'uncomme une fusion de corps. Il changea légèrement de position etcette fois je sentais que j'allais bientôt jouir. La vague monta,monta encore plus me rapprochant toujours plus de l'orgasme. Je lesuppliais d'accélérer, je n'en pouvais plus. Mon corps était commesous pression. Je voulais pouvoir ressentir les vibrations de lajouissance imminente.

- Tu es si serré,tu y es presque?

- Oui, dis-je àbout de souffle.

Je venais de pousserun cri de l'âme. Cet homme me rendait fou. Il me caressait le seindu bout d'un doigt et à cet instant mon corps lâcha prise et il semit à vibrer sous l'assaut de l'orgasme. Il allait lui aussi jouir.Je sentis son dernier puissant coup de rein et il se vida. Je criaisson nom, je crois que je l'aimais. Je n'avais jamais ressentis ça detoute ma vie. J'essayais de reprendre le contrôle de ma respiration.Je posais ma tête sur son torse, il en profita pour me déposer unbaiser sur le haut du crâne. Je me sentais bien et heureuse.

- On recommencequand tu veux, c'était fantastique, dit-il.

- Maintenant!

Il sourit et c'était repartit pour un tour.

La Milliardaire Rouge, VermillonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant