La Milliardaire Rouge, Vermillon

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Nous étions dans ma chambre et j'avais l'impression qu'elle était toujours en colère par rapport à cette histoire d'indienne. Je l'embrassais profondément, je sentais le goût de sa colère sur ses lèvres. Elle me répondait avec force, c'était une sorte de combat entre nous. La tension sexuelle avait bien trop duré. J'allais enfin pouvoir assouvir mes désirs, faire l'amour avec Nora Dixon, cette bombe milliardaire. Je lui murmurais d'une voix rauque:

- Ruby, j'ai tellement attendu cet instant.

Elle semblait s'enflammet à ces mots. Je la poussais sur mon lit et elle se laissa faire. Puis, je le déshabillais très rapidement. Elle devait désormais se douter que je n'attendais que ça depuis tout ce temps et depuis le début de ce foutu voyage. Je sentais toute son attention focalisé sur mon corps. Son regard était si érotique que j'en frissonnais d'envie. Nos regards s'ancrèrent l'un à l'autre. Je mettais dans le mien toute la force de mon envie. Dans ses yeux verts, je décelais une passion folle. Je savourais la vision de son corps parfait et sa peau doré.

Je ne saurais mettre des mots sur la force de ce que je ressentais à cet instant-là. Je la voulais plus prêt, il y avait encore trop de distance entre nous. Elle m'avait tant manqué et obsédé. J'étais maintenant à un centimètre d'elle. Ses doigts parcouraient mon ventre, mon cou et finirent par s'attarder sur une zone très érogène autour de mon sexe. Puis, elle l'attrapa subitement. Elle fit des mouvements de haut en bas et je ne pus m'empêcher de lacher un rale de plaisir. Je ne la quittais pas des yeux, surement pour le plaisir devoir mon corps réagir à son contact. Nos corps se pressaient l'un contre l'autre et je sentais son érection grandissante. Je caressais doucement ses seins, puis passais une main dans ses cheveux que je tirais légèrement lorsque notre baiser se fit plus intense. J'aimais son contact, je souriais en passant que j'allais l'avoir toute la nuit avec moi. Oui nous allons bien nous amuser. On retirait tout type de tissus qui s'interposaient encore entre nous.

Je lui lechais les tétons puis je la recouvrais de baiser en remontant au niveau de son cou et pour finir je croquais sa lèvre inferieur. Je l'aurais dévorer. J'avais si envie d'elle. Son odeur, son corps ainsi que sa présence m' envoutait plus que de raison.
Je me suppris à reposer quelque seconde ma tête sur son centre comme pour savourer quelque seconde sa rassurante présence. Je n'étais jamais vraiment tombé auparavant amoureux à tel point que je ne savais pas toujours montrer à mon rubis que je l'aimais. Je finis par l'allonger sur le lit et me mis à lui déposer une pluie de baiser pour encore faire monter la pression de son corps.

Je passais de long coup de langue au niveau de son sexe. Sa respirationse se faisait plus lourde. J' appréciais tant la regarder se tordre de plaisir. Je sentais le contact de sa peau brûlante et je me perdais dans un désir grandissant. Son regard était fou, elle passait ses jambes autour de moi pour m'attirer plus prêt.