« Sans épreuves on ne construit aucun empire »

50

« Chronique de Coumba : Sans épreuves on ne construit aucun empire. »

J'arrive une trentaine de minutes plus tard dans la chambre à Anissa, je lui parle pas de ce qui venait de m'arriver avec l'autre malade. Le médecin vient lui donner une ordonnance, elle signe les papiers de sortie puis on va manger.

Après avoir finis de manger on rentre chez moi en attendant que mes parents trouvent une solution.

__

Anissa _ je suis désolé mais vraiment.

_ pourquoi ?

Anissa _ c'est à cause de moi que vous êtes plus ensemble.

_ mais non dit pas des bêtises.

Je la prends dans mes bras. On fais une petite sieste.

Dans la soirée avec mes parents on décide d'aller chez Anissa. Elle voulait récupérer des vêtements.

__
Dans la peau d'Anissa.

Je vais récupérer mes affaires dans ma chambre, Coumba et ses parents m'attendaient dans le salon avec Reda, Walid et mes parents. Que je pleurais, ma famille ne voulait plus de moi.

Une vingtaine de minutes plus tard, je retourne dans le salon.

Maman _ tu n'est plus ma fille c'est finis je veux plus entendre parler de toi.

J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps.

_ pardonne moi maman stp.

Maman _ ...

Mon père il été dépassé par les événements même un regard il me l'a pas donner.

Walid _ tu vas où tu veux mais reviens plus ici.

Reda _ hé c'est bon t'abuse, laisse la.

Walid _ puis toi Coumba c'est mieux je parle pas.

Coumba _ beh écoute ne parle pas alors.

Walid _ maman tu sais que Coumba elle savait mais elle rien m'a dit. Moi j'ai plus de soeur, puis tu peut devenir une salope c'est plus mon problème w'Allah.

Reda _ arrête ça reste quand même t'as soeur.

Walid _ w'Allah que non j'ai pas de soeur moi.

Coumba _ c'est bon ferme ta gueule on a compris que pour toi t'avais plus de soeur.

Sa mère _ hé coumba commence pas.

Je sort directement dehors. Sa mère et son père me suivent.

__
Dans la peau de Coumba.

Ils étaient tous sorties dehors.

_ tata, tonton, avec tout le respect que je vous doit vous faites n'importe quoi. Vous le regretterez plus tard, et j'espère pour vous qu'il sera pas trop tard.

Walid _ c'est pas la colère juste question de principe.

Je l'ai regarder longtemps.

_ hé Walid arrête stp me parle pas de principe, toi et moi on se connaît w'Allah. Tu sais quoi tiens *j'arrache mon collier qu'il m'a offert* reprends ton pendentif et offre le à ta future femme. Trop c'est trop.

Je lui ai lancé en pleine face et je suis partie en claquant la porte.

KS