~ Chapitre 15

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Hello tout le monde ! 

J'espère que vous allez bien ! 

Alors aujourd'hui je suis très anxieuse à l'idée de publier ce chapitre car vous allez vraiment savoir ce qui se passe, et j'ai vraiment "peur" de vos réactions. J'espère vraiment que vous aller commenter en masse pour ce chapitre car j'ai vraiment besoin d'être rassurée haha !

Sans plus attendre je vous laisse avec ce chapitre et on se retrouve à la fin ...

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Nate :

Victoria me sert une bière pendant que ses pensées s'éparpillent dans son esprit. Je le vois à son expression. Elle est silencieuse et elle ne cesse de froncer les sourcils. Toute la soirée, j'ai fantasmé sur sa robe et ses talons hauts. Elle est vraiment très belle, et sans artifices sur la tronche en plus.

- Ca ne va pas ? je lui demande doucement.

Elle relève ses yeux vers moi et rosis.

- Excuse-moi, j'étais dans mes pensées.

Je ne réponds pas, me bornant à boire mon verre. Ça lui arrive souvent d'être dans ses pensées, puis de reprendre le fil de son existence comme si de rien n'était. Mais ça me plais, elle est comme ça. D'ordinaire, lorsque je passe du temps avec une femme, j'attends d'elle qu'elle soit un minimum attentive, mais avec Victoria, ça ne me gêne pas. Je finis ma bière d'un trait et Victoria me regarde, haletante, ses grands yeux couleurs d'automne me contemplant. Bonne petite.

Sans un mot, je descends de ma chaise, la prend par la main et la conduit dans sa chambre. Les photos qui y sont accrochées sont jolies. On voit Victoria petite, à côté de la tour Eiffel, ou avec un chat dans les bras, ou entourée de ses parents. Mais pas de photos avec des copines ou des copains. Pas de photos de soirées, la cigarette à la bouche ou un verre de vin à la main. Comme si elle avait fait sa vie seule, entourée de sa mère et de son père d'adoption, et c'est tout.

- Tu es très solitaire, je commente platement.

Elle m'interroge du regard et d'un coup de tête je désigne les photos au mur. Elle hausse les épaules en plongeant son regard dans le mien. Elle me fixe sans ciller. Elle attend. 

Je m'approche langoureusement d'elle, attrape ses cheveux dans ma main pour la forcer à me regarder et je l'embrasse. Fort. Sa langue se colle à la mienne et elle mollit dans mes bras. Elle s'écarte de moi, à bout de souffle et se retourne pour que je lui enlève sa robe. Elle ne veut pas perdre de temps, dis donc. Elle me veut vraiment. Tant mieux. Je lui retire le bout de tissu et elle me regarde. Ses sous-vêtements noirs tout simples me font déglutir avec difficulté.

- Je dégrafe ton soutien-gorge, d'accord ?

Elle hoche la tête doucement. J'aime bien l'effet que j'ai sur elle. Ses seins apparaissent, gros, fermes, magnifiques. Je les prends dans ma paume et elle se rapproche de moi. Ses dents agacent le lobe de mon oreille et je frissonne. Je déboutonne mon pantalon pour m'y sentir plus à l'aise et en profite pour lui retirer sa culotte. Elle ne porte plus que ses chaussures à talons vertigineuses. Tout de suite, j'imagine ces dernières de chaque côté de ma tête. Elle va se baisser pour les enlever mais je la stoppe d'un geste.

- Garde-les. S'il te plait.

Elle rougit immédiatement et resserre les cuisses.

 Formidable, elle est complètement à ma merci.

 Je pose de petits baisers le long de son cou, de sa mâchoire, rendant hommage à ses seins au passage. Elle se tortille, et lorsque j'introduis un doigt en elle, j'ai presque envie de lui sauter dessus dans l'instant, mais je suis d'humeur joueuse.

Manibus RetortaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant