Chapitre 8

2.1K 132 7
                                    

Je préviens, ce chapitre est plutôt vulgaire et violent à la fin.

PDV du Père:

Cette nuit là, je ne pouvais plus résister. Ma fille portait des jeans moulant et des décolletés, je ne serais même pas étonné qu'elle ai pleins de garçons qui lui courent après. Toute la semaine je me suis retenu mais ce soir, elle va y passer. Mon envie de sentir mon corps contre le mien devenait de plus en plus insupportable. C'est pas de ma faute si ma propre fille me donne envie de la baiser, de lui faire du rentre dedans toute la nuit. Elle n'a qu'à ne pas s'habiller et se maquiller comme elle le fait. Dommage pour elle. Il faut que j'attende qu'elle s'endorme et là, je passerai à l'acte. Elle va le sentir passer, je vais lui faire regretter de m'avoir narguer depuis le jour de sa naissance. Je n'irai pas avec des menotte: trop classique et trop de risque qu'elle me donne des coups avec ses jambes; j'irai lui attacher ses bras et ses pieds avec une corde. Oui, je ferrai cela. La vue de son corps sans défense m'évitera encore plus. Ce saura sauvage. Oui, je lui rentrerai tellement fort dedans qu'elle hurlerai mon nom et me supplierai d'arrêter.

Chloé rentre du lycée et va dans sa chambre jusqu'au moment de passer à table. Ma femme nous avait fait un bon petit plat comme je les aiment. En même temps, c'est une soumise. Elles ont toutes les deux peur de moi. Je les aient domptées à ma manière et maintenant, elles sont dociles et j'en fait ce que je veux.

Après le repas, Chloé file dans sa chambre se coucher. Il me reste plus que ma femme à droguer pour qu'elle ne m'emmerde pas et mon plan pourra commencer. Je me leva et, pendant qu'elle nettoyait, je mis des somnifères écrasés dans son verre et mis du jus dedans. Je lui tendis le verre et elle le bu d'un coup. La seconde d'après, elle s'écroula par-terre. Qu'elle ne compte pas sur moi pour la mettre dans le lit.

Je déconseille très fortement aux moins de 15 ans de lire cette partie car ils y a des scènes violentes et choquantes.

J'attendis jusqu'à une heure du matin pour être sur que Chloé dormait. J'entrai dans sa chambre le plus discrètement possible et la ligota. Elle se réveilla en sursaut ce qui me fit sourire et me regarda en essayant de comprendre qui j'étais. Quand je m'approcha d'elle pour finir de l'attachée, elle se débattis de toute ses forces. Elle n'a pas encore compris qu'elle ne ferrai pas le poids contre moi. Elle n'est pas assez forte et ne le sera jamais. Une fois ma tâche fini, elle m'avait énervé et je changea légèrement mon plan. Je voulais y aller doucement et même peut-être lui donner du plaisir mais maintenant, je voulais y aller sauvagement sans prendre de pincettes. Ce que je fis. Je leva son haut et descendis son short et me fis plaisir à lui faire mal. Après une dizaines de minutes à me défoulé, je parti me coucher dans mon lit. A partir de demain soir, sa vie ne sera plus pareil. Elle quittera la maison pour aller autre part. Je vais la vendre. Elle en intéressera plus d'un. J'espère en tirer un maximum d'argent.

Le lendemain, j'entendis Chloé pleurée se qui me fit sourire de plus belle. Je l'entendis sortir de sa chambre et décida de la rattraper. Il ne fallait surtout pas que je la perde de vue aujourd'hui. Je compte bien refaire la même chose que cette nuit pour m'occuper. Mais sa mère vient s'interposer, ce qui me fit lâcher Chloé par surprise. En la voyant partir en courant, la colère monta en moi. Comment ose t'elle? Je la prit par les cheveux et l'entraîna dans notre chambre. Elle ne se débattait pas et ne criai pas. Je prit la corde que j'avait utilisé sur Chloé et l'attacha. J'allai chercher un couteau, de la moutarde et un fouet et arriva dans la chambre. Je voulait l'entendre hurler. Je commença par le fouet. Je le fit glisser doucement le long de son corps et commença à la fouettée. Voyant qu'aucun son ne sorti de sa bouche, je donna des coups de plus en plus violent; mais toujours rien. Au bout d'une heure et demie d'acharnement, je pris le couteau dans mes mains et lui montra. Ses yeux devinrent noirs de peur ce qui me fit sourire. Je commença à faire des petites entailles sur son ventre, puis des plus grosses sur ses jambes et ses bras. Une fois fini, je la regarda fière de moi. Mon instinct primaire se déclencha à ce moment tellement sa vue m'excitait. Je ne pus m'empêcher d'assouvir mon envie. J'en profita pour tremper mon doigt dans le pot de moutarde et de lui en mettre sur ses blessures au jambes. Ce qui lui arracha un cris de douleur. Enfin, j'ai trouvé comment la faire crié. Je me retira d'elle et mit sur chaque entaille de la moutarde en savourant ses cris.

Je dû finir mon petit jeu vers trois heures de l'après midi. Mon jouet ne criais plus, je n'entendais plus ça douce mélodie me bercer. Les piles avaient été déchargées et il était parti à l'hôpital.

Echappée du mondeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant