Pdv Chloé:
Au moment où j'allais faire le pas de trop, une personne me pris par les hanches et me tira en arrière, me faisant rencontrer le bitume.
- Mais tu n'es pas bien dans ta tête! Tu as failli te faire écraser!
- Laissez-moi tranquille! Cela ne vous regarde pas.
- Je m'étais arrêté parce que je t'ai vu faire du stop. Heureusement que j étais là.
- Laissez tomber. Je n'en vos pas la peine. Vous pouvez continuer votre route merci.
- Maintenant que je suis arrêté, tu viens avec moi et tu me dis où tu veux aller.
- Non! La vie sera mieux sans moi. Partez s'il vous plaît.
- Tu préfère que j appel le samu pour t envoyer en hôpital psychiatrique? Ou alors venir avec moi?
- Bon d'accord, je vous suis. Amenez moi à la ville la plus proche s'il vous plait, j'ai un ami qui m'y attend normalement.
Je montais dans la voiture et l'inconnu démarra. A peine dix minutes plus tard, nous étions arrivé et l'homme me laissa descendre de sa voiture tout en me disant au revoir, puis partit me laissant seule en plein milieu d'une ville dont je ne connaissait rien. Par chance, je me trouvait devant un distributeur à journaux gratuit, ce qui me permis d'en prendre un et de chercher l'endroit où j'étais, depuis quand j'étais parti et toutes sortes de nouveautés dans la région. Apparemment je me trouvais à Trégisy et cela faisait cinq jours que le pire choix de ma vie à été fait. Ou le meilleur. Le meilleur? Es-ce-que quelque chose de bien nous est arrivé depuis le début? Non, alors ne dit pas n'importe quoi! Calme toi, je voulais juste dire que tu as sûrement fait le meilleur choix, regarde, on n'a pas reçu de coups depuis notre départ. Je les aient plutôt évité, tu veut dire.
En attendant que la situation s'améliore, il va falloir que je me cache et que j'aille voir la police. Par chance, dans cette ville se trouve des plans un peu partout. Rapidement, je pris le chemin du commissariat le plus proche pour trouver de l'aide. A l'accueil, deux hommes musclés étaient assis derrière le comptoirs. Ils avaient l'air préoccupé et parlaient à voit basse, lorsqu'un me vit, il donna un coup à son collègue qui aussitôt me dévisagea. Ils me lancèrent des regards que je ne pourrait expliquer. Prise de panique, je fis demi-tour dans le but de sortir. Mais à peine ai-je commencée que l'un des deux hommes se leva et vint se mettre devant la porte afin de me bloquer. Le deuxième vint à ma rencontre.
- Bonjour, quelle était la raison de votre venu? me demanda le blond devant moi pendant que le brun me fit un sourie embarrassé devant la porte.
-Bonjour, ce n'est pas bien grave. Désolée de vous avoir dérangée.
-Vous ne nous dérangez pas. On discutait juste car il n'y a pas beaucoup de malfrats en ce moment, alors on s'occupait sans se faire prendre par le patron. Veuillez me suivre, on va aller dans un bureau.
Je suivit l'homme sans être vraiment rassurée. On traversa l'accueil, puis on passa par un détecteur de métaux pour accéder au couloir administratif. L'homme blond me fit rentrée dans la pièce du fond suivit par le brun. Elle était petite et avait les murs blancs sûr les quels étaient disposé quelques pub par-ci et là en faveur du recrutement de la police. Au centre ce trouvais un bureau métallique qui me rappel vaguement quelque chose, avec plusieurs chaise devant et deux derrière. Les deux gardiens s'installèrent sur les deux chaises pendant que je regardait encore toute la pièce impressionnée et pas très rassurée quand j'entendis un grattement de gorge qui me fit réalisée que deux paires d'yeux me regardaient. Je m'assit en face d'eux et le brun commença à parler.
- Alors, je vous demanderais avant toute chose votre pièce d'identité.
-Hum...Je..Je..Je ne l'ai pas. Dis-je prise de panique.
Les deux personnes se regardèrent un moment, comme si elles pouvaient parler par télépathie.
-Pourquoi? Tu l'as perdu?
-Non, non. Avant que je vous dise quoique se soit, promettez-moi de ne pas en parler à mon père. Promettez-moi de ne pas le prévenir de ma présence. S'il vous plaît, je ne veut pas le revoir!
-D'accord. Dit nous tout.
-Je m'appelle Chloé Stimel et j'habite, ou j'habitais à Standsword. Je ne sais plus, même moi je suis confuse, désolée. On pourrais dire que j'ai fuguer de chez moi, mais j'ai plutôt fuit mon père qui me battait. Malgré cela, je ne suis pas venu pour lui, car fuir un homme est simple, mais en fuir plusieurs, c'est autre chose. Bref, en gros mon père me battait et j'ai décidée de mettre fin à ça en partant sûr un coup de tête. Le soir même, alors que je voulais rentrée, je me suis perdu et je suis rentrée dans un hôpital pour demander mon chemin. Finalement, j'ai eu une très mauvaise nouvelle et j'ai dû sortir de l'hôpital pour éviter que mon père vienne me chercher. Le plan était d'en sortir sans se faire repérer, mais c'est comme tout, la théorie et la pratique ne sont pas les mêmes choses et donc j'ai été me cachée dans un magasin. En me cachant, un grand homme brun vraiment musclé qui devait avoir la quarantaine vint me parler et m'attira dans une petite ruelle. Je n'aurais jamais dû le suivre car deux minutes après, son "fils" comme il le disait, arriva et aida l'homme à me capturer. Ils ont m'ont mis un chiffon imbibé d'une substance sur le visage et après, c'est un trou noir.
Je suis venu pour dénoncer plusieurs personnes, mais celles-ci sont les premières à retrouver.- Et que c'est t'il passé ensuite?
-Quand je me suis réveillée, j'étais sur un lit et seule. J'en ai profité pour m'échapper par la fenêtre. Chanceuse comme je suis, la fenêtre c'était mise à faire un bruit pas possible quand j'ai commencée à l'ouvrir et donc elle a attiré beaucoup de monde, mais moi j'avais déjà sauté. Je suis parti me cacher dans la forêt et, comme la nuit tombais, ils ne m'ont pas retrouvé. Enfin je ne sais pas si c'était encore eux après mais bon sur le coup, j'ai réussi à être tranquille.
Au moment où j'allais continuée, un homme brun aux yeux gris rentra. Je le reconnu de suite par son charisme et son corps parfait. C'était le chef des psychopathes. A sa vue, mon corps tremblais comme une feuille et ne répondais plus à mon cerveau. J'étais comme tétanisé.
-Des nouvelles de la fille? J'ai un indic qui m'a dit l'avoir déposé près d'ici après l'avoir vu vouloir se jeter sous les roues des voitures. Informa le chef.
Sans répondre, les inspecteurs de police me regardèrent faisant comprendre au brun que j'étais là. Je me retrouvais alors sous le regard des trois personnes. Je suis cuite. Pourquoi es-qu'il faut que tout soit toujours contre moi? J'ai un karma pourri! Sans m'y attendre, ma respiration devient lourde et difficile, ma gorge me serrait, mais je m'en fichait, ce que je voulais était que l'on m'oublie. Mais apparemment c'était trop demander, il fallait que des gens me courent après pour aucune raison.
Pendant que j'étais en train de me lamenter sur mon sort, ma respiration s'était arrêtée et je me retrouvais a terre. Sans que je m'en rende compte, l'infirmier de la dernière fois avait pris ma tête entre ses mains afin d'essayer de me calmer mais cela n'a fait qu'empirer. Alors que je voyais de plus en plus flou, j'entendis l'homme à mes côtés demander quelque chose. Le chef s'approcha de moi avec quelque chose à la main et vient me le planter dans la cuisse. Aussitôt, je me calma et reprit mon souffle.
Le châtain souffla pour relâcher la pression pendant que je reprenne mes esprits.-Pfou, tu as eu chaud. Un peu plus et c'était l'hôpital pendant un petit moment.
- S'il vous plaît, ne me faite pas de mal! Je vous en pris, s'il vous plaît!
-Calme toi. Hé, regarde moi. Pendant que l'homme me parlait, je cherchais un plan pour m'échapper.
-Hé! Mais que fait-tu?
Sans attendre plus longtemps, Je lança un classeur qui se trouvait sur le bureau sur la tête de "monsieur parfait" et sorti de la pièce en trombe.
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Echappée du monde
Fiksi RemajaChloé est une adolescente qui se fait frapper par son père. Depuis qu'il s'est fait viré de son job, il passe son temps à boire et battre sa femme et sa fille. Jusqu'au jour où Chloé se fait violée et décide de s'enfuir, de s'échappée du monde qui l...