Il vit dans un quartier qui est bien souvent ignoré
Celui où les médias aiment passer l'hiver comme l'étéDans leur yeux la violence est légion et se comportent comme des Nérons
Pour faire ressortir un masque qui cache milles façons dans un quotidien absconsLes banques sont braquées par des hommes en manque de moyen
Le Juge Renaud est mort pour enrichir des députés disculpésUn seul crime commis au temps d'un automne assassin
Se répercute dans les familles et cause un trouble perçu comme un freinEn même temps, un banc n'est pas un lit, au lieu de lui fournir des regards gris, fournissez lui la vie
Il pleure dans sa chambre froide, celle qui lui donne une vue aussi tranchante qu'un sabre
Il dessine des étoiles et les regarde à travers la lumière de la lune
Il n'est qu'un petit ourson parmi les grandes ourses brunesDu jour au matin le jour est noir, noir sans teintes et neutre
Devant sa glace il tente des feintes pour ne pas passer pour un pleutreBienvenue dans le monde où sortir dehors peut être synonyme de meurtre
Il se croit fort et suis le groupe, défit la Brinks, regrette ses homonymes
Pour se sortir d'un manque, rétablir l'égalité
Mais vouloir être justicier conduit à une mort prématuréeLa vue depuis l'ombre du Mordor le fait tomber du haut des cimes
Dans son cadeau, une lime, pour s'évader de cette prison qui s'illumine
Sous, les larmes de cette nouvelle gaminePendant qu'un autre sénateur est blanchit, lui revient au premières heures de sa vie, du doute plein les branchies
Les branches scient leurs bourgeons quand ceux ci sont mécontents de leur situationLa révolte est étouffée et placée en cryogénisation
Les prix sont fixées en fonction de la taille du porte monnaie
Si tu porte monnaie tu repartira avec MonetPlus de trafics illégaux maintenant c'est Metro et boulot
Mais à l'entretien il semblerait qu'il y ai un conflit de tropLa palette de l'homme en face n'est pas très développée
Des nuances de blanc au limite du basané
Alors c'est l'escalade dans ce bureau qui vaut le prix d'une vie nomade
Une phrase et c'est l'explosionPetit frère n'a pas accepté qu'on le compare à ceux qui vivent d'illusions
Il ose clamer sa haine envers celui qui l'attiseQui le tire vers des pensées grises
Lui rêve de couleur parsemant les bâtiments, voir dans les reflets des sourires grandissants
La colère n'est pas sa terre, mère lui a appris à bien choisir ses confrèresIl se morfond dans son domicile, coincé entre sa douceur et deux faux vigiles
Il comprend que sa réinsertion ne sera qu'une fictionQuand il voit dans son poste qu'un autre Méditerranéen part en zonzon
Seule l'ouverture d'esprit fera changer les choses
Mais c'est bien souvent le naufrage dès que cet homme oseL'esprit cloîtré dans ses murs il ne côtoie plus ceux qui assurent
Se renferme de plus en plus dans ses petites tournures
Petit frère voudrait lui venir en aide
Mais ce pas se solde par une phalange qui cèdeContraint de se débrouiller seul il prend sa vie en main
À défaut que les grandes personnes ne l'encourage dès le matinPars dans ses rêveries et remplis des pages entières de son propre safran
Maintenant indépendant il s'affranchit de ce monde de tyran
Il sait que les mots valent de l'or dès qu'on les traitent comme des trésors.
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Des règles et des humains
PoetryPREMIER GROS PROJET APRES CROISSANT BIEN PLUS LOURD QUE TOUT CE QUE J'AI ÉCRIS AVANT SOYEZ LÀ ET PLUS PRÉSENT QUE JAMAIS