Je suis sa femme et je le serais toujours
Et si je vous disais qu'en 22 ans d'existence soit 5 ans avant le drame j'ai arrêté d'aimer .
J'ai arrêté de ressentir ce sentiments qui vous submerge et qui d'un coup, un jour s'en va s'en vous prévenir.
Et s'est là, c'est à ce moment-là que vous ressentez ce vide en vous. Ce chagrin, cette peine, cette envie de tout recommencer et de ressentir cette sensation une nouvelle fois pour ne plus avoir mal. Juste là .
Mais moi je ne veut plus la ressentir, je ne veut plus savoir l'effet que sa fait, je ne veut plus être triste, je ne veut plus me demander si un jour je le ressentirait une nouvelle fois .
Je ne veut tout simplement plus aimer.
Cette boîte n'est pas une simple boîte. C'est mon ticket de survie.
C'est l'arme qui me fera me sentir libre, qui me fera enlevé de ce poids que je porte depuis qu'il est revenus.Il ? L'Arménien. De son vrai prénom Zareh
Brahim : ALEÏNNA NE TIRE PAS
Moi : IL VA LE TUER
Brahim : SAUF SI ON L'ARRÊTE
Moi : IL S'ARRETERA JAMAIS IL EST OÙ ?
L'Arménien : BouumIl s'est mis à rire . Je lui ai donner un coups sur le visage avec mon arme.
Moi : Je te jure que la maintenant je rigole pas t'a 10 seconde pour me dire où est mon frère sinon je te bute .
J'ai charger l'arme .
Moi : 10...9...8
72 heure plus tôt
Après avoir creuser,brûler la tombe et effacée tout trace de notre passage on ai rentrer.
Je suis directement aller dans une nouvelle chambre et mis tout mes affaires.
J'étais sur mon lit dans ma nouvelle chambre à regarder ces photos encore.
Je les connaissais tout par coeur . Mais une avait toujours attirer mon attention. C'était cette photos ou mon père était accompagné d'une femme et son enfants.
Mon mari " l'Arménien" m'avait toujours dit qu'il savait où les trouver . Et j'ai toujours attendue ce jour mais il ne m'a jamais rien dit .
Il n'y avait pas que mes photos de famille dedans cette boîte .
Il y avait aussi des photos de l'Arménien, suspect je dirais . C'était des images de lui en compagnie d'un dealer en Argentine . Tout ces photos prouve qu'il était complice d'un riche homme qui vivait là-bas.
Et pour foutre ce petit merdeux en taule j'avais ma petite idée.
Le faire avouer. Et le balancer aux flics .
Je vous entends déjà me dire
" Oh la sal***, oh la balance "
- rire - merci c'est gentils pour le compliment.Ce soir, Marco voulait faire en l'honneur de la venus de mon chère et tendre époux.
J'avais mis le paquets .
21h30
J'étais enfin prête je suis descendus rejoindre Brahim qui m'attendais et je les rejoins en bas de la porte. Mais l'homme qui me sert de mari voulait tellement que j'aille dans la même voiture que lui . Que j'ai finis par cédée . Brahim est monté avec nous et comme par hasard Issam aussi . Il conduisait.