Chapitre 1:

8.7K 367 7
                                    

J'avançais la tête haute. Mes cheveux longs, bouclés et noir bougés en même temps que mes pas. Mes yeux bleu océan fixer les personnes de l'allés qui était en train de me regarder. Mon corps de rêve faisait baver tous les mecs qui me regarder, et les filles étaient devenu jalouse. Mon slim noir me coller à la peau, mon haut noir me mouler parfaitement ma poitrine, mes escarpins me rendaient encore plus grande, puis ma veste en cuir noir. J'avançais à pas de féline, comme je fais quand je suis fière de moi. Personne ne s'attend à me voir, ceci se lit sur tous les visages. J'entends beaucoup de « comment elle ose venir ici, elle a bien du culot ». Oh oui j'ai du culot, vous n'imaginez même pas. Quand je suis devant l'homme que je voulais, je m'arrêtais et dis : « Je suis la tueuse ». Lui-même, n'en croyais pas ces yeux, c'était tellement marrant.
- Arrêtez-la ! Dit l'homme.
Des gardiens commencèrent à se mettre autour de moi. Deux vinrent me tenir les bras. S'ils savaient.
-Pourquoi au tant de gardiens juste pour une fillette de 18ans ?
-Nous connaissons ta réputation. Déclara l'homme.
-Oh non, je vous garantis que non. Sinon pourquoi je viendrais ici ?
-Dis-moi ?
-Alors dites à vos deux guignols de me lâcher avant que je m'énerve, et leurs casse quelque os. Dis-je en un faux sourire.
Je m'avançais de l'homme et quand je fus a c'est prêt, c'est-à-dire a 10cm de lui je lui dis :
-Je suis la tueuse, l'une des personnes les plus rechercher, et vous croyez vraiment que je viens me livrée ? C'est très mal me connaitre sa, et donc ne pas tellement connaitre ma réputation.
-Comment ça ?
Je me mettais dos a lui.
-Et la-vous comprenez mieux monsieur le directeur ?
Je lui avais mis mon colt 9mm contre son dos.
-Tu ne ressortiras pas vivante d'ici.
-Oh vous savez on me la tellement dit. Mais qui vous dis que je suis seule. Regardez-vous par vous-même.
Et là par les deux portes, du mur du fond, une dizaine d'homme avec des mitraillettes BT 4 et M4-177. Ils tiraient sur tous les gardiens. Quand, tous fut mort, je dis :
-Qu'elle belle scène, vous ne trouvez-pas ? Oh mince, vous êtes seul maintenant. Que je suis désolé.
Je me mis en face de lui.
-Vous souvenez-vous de Alexis ?
-Alexis ? Je....je.......oh merde
Il venait de comprendre.
-Oh oui merde, vous l'avez tué car il s'était échapper alors qu'il n'avait rien fait. Vous vouliez juste le tuer par vengeance.
-.....
Il ne dit rien, très bien, c'est que j'ai raison.
-Alors maintenant il va avoir sa vengeance.
Je mis mon flingue à son front.
-Adieu.
Et je tirais. Bien sûr je fis ma marque un A avec du sang, fait au couteau. Ne gâchons pas la vérité, je déteste sa. Je repartis vers la bande.
-Merci Julien pour ton aide.
-Je te le redevais, Nina, tu sais bien.
-Merci quand même.
-Il parait que tu pars ?
-Ouais dans un petit endroit tranquille, et reprendre le cours de ma vie.
-J'espère te revoir quand même.
-Promis. Dis-je en partant et en levant la main.
Voilà à quoi rime ma vie, au meurtre. Mes parents étaient déjà des tueurs, ils m'ont tous appris. J'ai le meurtre dans le sang, j'y suis plonger depuis que je suis petite. Ils étaient à la tête de l'un des plus grands gangs, respecter de tous. Mais un jour, on les tua, j'avais 16ans. Depuis, je vis seule, sans famille. Mes parents avaient de la famille, mais personne ne voulais me prendre par peur. Je comprends. J'ai hérité du physique, l'agilité, la séduction de ma mère et le tire, la force, le mentale, le cœur froid, la manipulation de mon père. Mes parents étaient ennemis, mais quand ils l'ont su, ils étaient déjà fous amoureux. Ils étaient contre tous, et ils les ont tous eux. Je trouve sa amusant et original. Moi, un copain ? Jamais, c'est bien trop dangereux.
Je pris toutes mes affaires dans mon petit appartement, mit dans un taxi et direction le train. Apres des années, mon oncle, le frère a ma mère, et sa famille voulu me voir. Au début je ne voulais pas, mais je m'étais dit que ma mère aurait voulu j'y all, alors voilà je pars direction leur petit village. Même si cela ne me plait gère, je n'ai plus rien a perdre après tout, je suis que la tueuse.
Bien sûr pour passer inaperçu je mit une perruque, des lunettes, et m'habit différemment que d'habitude. C'est-à-dire surweet, t-shirt large et baskets.
Quand je fus dans le train, je vis qu'on parler de moi a la télé :
« Le directeur fut retrouvé mort avec tous les gardiens de l'établissement. Le directeur fut tuer d'une balle dans la tête, nous savons que la tueuse a encore frapper. Pour les gardiens, nous pensons qu'elle aurait eu des complices. Quand vas-t-elle enfin s'arrêter une bonne fois pour toute ? »
Ils croient tous que je vais arrêter, pitoyable, vraiment.
Le train s'arrete s'ayez j'y suis, je souffle un bon coup.
Aller Nina, tu essai d'être gentille, mais si on te fait chier tu rentres dedans après tous ,tu es la tueuse.
Je fis un grand sourire et partis vers mon oncle et sa femme.

La Tueuse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant