chapitre 6:

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-Sortez tous ! Cria les policiers.
Je réfléchis et dit :
-Allez-ci ! Sortez !
Tout le monde sortit.
Bon très bien, il devait avoir une centaine de policiers. Sachant que derrière est un trou de sac, on est obligé de passer là où sont les policiers.
-Vous avez deux élastiques ? Demandais-je.
-Oui, tiens, me donna une fille que je n’avais même pas vue. Elle était petite blonde aux yeux bleus.
-Merci. Je les mis et enleva cette robe qui me moulait trop. Je me retrouvais dans un baudis simple, noir, je le mets toujours si je dois me battre.
Quand les policiers virent ce que je fis, ils eurent peur et crièrent :
-Arrete Harley, on doit t’avoir vivante, et tu ressortiras jamais vivante, s’il te plait laisse toi faire !
-Vous vous restez ici et me laisser faire, cette fois-ci !
J’avançais. Voilà mon plan, d’avancer et tous les buter. Les policiers tirèrent, mais me louper ou j’esquivais, que c’était drôle.  Quand je fis, enfin a quelques mètres des policiers je leurs dit :
-Bon et si on arrêter de jouer, c’était amusant mais je n’ai plus trop envie de rire maintenant. Donc c’est simple soit vous nous laisser partir, soit vous mourrez tous. A votre place, je choisirai la deuxième proposition, c’est la plus drôle. Déclarais-je tout en rigolant.
Ils se regardèrent tous entre eux. J’aime tellement faire peur aux gens.
-Oh non je sais, je vais faire quelque chose de plus drôle ! Je vais torturer vos familles ouiiii c’est tellement mieux.
Un policier s’avança pour me dire :
-Je n’ai pas de famille.
-Très bien.
Je sortis mon flingue et lui tiré une balle dans la tête.
-Pour qui la prochaine balle ? Allez quoi je m’ennuie moi là. Alors qu’avez-vous décidez ?
-On t’aura Harley, un jour on t’aura. Dit le chef de la police.
Ils commencèrent à partir tous petit à petit.
-Mais oui commissaire, vous dites tous sa aller bye.
Je partis, quand je me baissais d’un coup, on avait essayé de me tirer dessus. Je restais a genou me retourner et tira dans un brun.
-Sa vous apprendra à faire des coups par derrière.
Et je repartis dans la limousine, tous y était rentrés, on attendait que moi. Quand je rentrais, tout le monde me regarder.
-Bah quoi ?
-Mais tu es complétement folle ?! Cria Paul.
-Vous dites encore une fois le mot folle, et je vous tire une balle dans la tête comme aux deux autres. Bon aller maintenant, on peut y aller.
Le trajet ce fit en silence.  Quand, on arriva enfin chez Dereck. Enfin, je vais pouvoir me reposer un peu.
-Mettez-le au sous-sol, je viendrais m’en occuper plus tard, de ce tas de gras.
On rentra tous à l’intérieur de la maison. Je m’assis sur le canapé, Dereck vint me rejoindre.
-Pourquoi ils t’appelaient Harley ? Demanda-t-il.
-Vois-tu, avant, dans notre gang, on n’utilisa jamais nos vrai prénoms qu’on on était en contact avec d’autres personnes.
-Donc ton vrai prénom est Harley ?
-Oui, mais on m’a tellement appelé Nina, que pour moi c’est celui-ci.
-D’accord, tu devrais te reposer, j’ai une chambre en haut la deuxième à gauche, la mienne est a cote.
-Merci.
J’allais me coucher comme tout le monde, au bout de quelques heures de sommeil, je me réveillai. Tout le monde dormait encore, et si j’allais m’occuper de mon cher ami. Je descendais, il était attaché à une chaise. Je vis que dans leur sous-sol, il y avait plein d’armes exposer, que sa pourrait être marrant. Je m’avançais vers lui.
-Tu as tué mes parents ? Attention tu n’es pas en état de mentir.
-Pourquoi j’aurais tué tes parents ?
-Tu étais un grand ennemi.
-Pas à ce point con, pour les tuer, mais je tire un grand chapeau a celui qui les a eu.
-Oh que c’est méchant.
-Ce n’est que la vérité ma p’tite salope.
Je me levais, aller près d’un mur, pris une arme.
-J’aime pas comment tu parles, ce n’est point drôle.
-Ma pauvre, tu tiens de ton père, une vraie folle.
Je vis rouge, il savait comment m’énerver.
-tout à fait.
Je m’avançais, pris le couteau et lui fit mal, très mal. Il cria fort, que ça me plaisait. Je partis. Tous les autres étaient descendus.
-Qu’est-ce que tu lui a fait ? Demanda Damien.
-Je me suis un peu amuser, c’est tout.
-Pourquoi il a crié alors ?
-Oh parce que je lui est enlever sa.
Je fis montrer ces deux yeux, et je montais me coucher.
Pourquoi me regarder choquer ? Il n’avait pas qu’à dire que mon père était fou et moi aussi. Je suis juste sadique. AH AH AH


La Tueuse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant