La Tueuse

chapitre 12:

L’homme que je venais de choisir, tomba par terre, raide mort.
-Très bien allez si vous avez 10 min pour partir, avant que je vous retrouve et finisse de faire mumuse.
Ils partirent en courant, avant que Dereck ne dépasse la porte, il se retourna et déclara :
-Je te retrouverai.
-J’en suis déjà très impatiente mon chéri.
Et il partit.
Mes hommes rangeaient la maison, je me poser sur le canapé en cuir. Quand j’entendis des pats, des pats que je reconnaissais très bien. Il était là.
-Bravo, je suis fière de toi, ils commencent à voir que tu es très forte, je pourrais passer en action bientôt.
Je ne dis rien. Je restais dos à lui assise.
-J’ai d’autres hommes dont il faut tu tues pour moi, je les ai laissés sur la table. J’espère tu ferras du bon boulot comme toujours.
Une fois partis, j’allais voir ces fameux papiers. Bientôt, je pourrais passer à l’attaques, se sera explosive, mais il faut être patiente. Je me préparai pour commencer à tuer, comme tous les jours. Un pantalon noir, un débardeur noir, et une veste en cuir noir. Mes armes. Et je partis en moto.
Quelques heures plus tard, il c’était quasi tous mort. Je voulais partir me reposer, je décidais alors de monter sur ma moto et rouler jusqu’à l’endroit qui me semble le plus reposant.
J’arrivais chez moi.
La maison où mes parents sont morts.
J’entrais dans la maison, elle n’était pas très grande, elle était sale, la poussière et les toiles d’araignées s’entassaient. Mais je pouvais dormir ici. J’allais dans ma chambre, étant petite, me coucha sur mon lit, et m’endormis.


-PAPA !!!!!MAMAN !!!!
Je descendais en courant les marches de ma maison.
-Qu’est ce qui a ma chéri ? Me demanda ma mére.
-Il y a un monstre sous mon lit !
-Voyons, je vais aller voir ça.
Mon père redescendait 5min après.
-Alors ?
-C’est bon ma chérie, je l’ai fait partir.
-Tu es le meilleur !
Je couru dans ses bras.
-Tu viens avec maman et moi faire du sport ?
-Ouiii, plus tard je veux être aussi forte que vous !
-Tu le seras, avait déclarais ma mère.
Par la suite j’ai eu le droit à des entrainements avec des armes, j’étais tellement jeune, je voulais rendre fière de moi, mes parents, si j’avais su où tous cela allait me conduire…
Et puis ce jours-là arriva, c’était en pleine nuit, ma mère me réveilla et me cria d’aller me cacher a notre cachette, j’y allais, puis j’entendis mes parents criés, trop curieuse, j’allais voir et des hommes entouraient mes parents avec des armes, les hommes m’avaient vu. Ma mère cria en courant devant moi, et à quelques centimètres de moi, ils tirèrent, j’avais du sang sur ma figure, puis ce fut au tour de mon père. Je courrais monter dans notre cachette, heureusement mes parents m’ont appris les bons réflexes. Je les entendais, pas loin de moi, mais ils ne me trouvèrent pas. Puis j’entendis un homme dire : C’est bon on s’en fout de la gamine, ils n’ont pas d’enfants de toute façon !
Quand il eut plus de bruit, je descendais à pats de loup, dans la cuisine, les corps de mes parents n’y étaient plus. Je pleurais, et m’évanouie. Le lendemain, tous me revint en mémoire, j’allumais la télé. On parlait déjà de la mort de mes parents. Je pris une brosse et pendant des jours je nettoyais, en pleurant, le sang de mes parents.

Un jour j’entendis la porte de chez moi s’ouvrir, je pris une arme et avança doucement.
Puis, je vis un petit garçon d’environ mon âge. Il était brun aux yeux verts.
-Salut moi c’est Damon. Dit-il en me tendant sa main.
Je la regardais.
-Mes parents sont morts, je suis à la rue, je pourrais rester avec toi s’il te plait.
Je réfléchis et accepta.
(J’aurais jamais dû faire ça, si j’aurais su se qu’il aller m’arriver à cause de lui…)
Lui aussi avait des parents qui tués, et très rechercher. Alors on s’entraina de plus en plus, on tua des gens ensemble, on était comme frère et sœur. C’est lui qui m’a fait devenir ce que je suis.
Jusqu’au jour où je tombe sur une conversation au téléphone, lui disant que j’étais bien leur fille, ils auraient dû me tuer, mais qu’il a réparé l’erreur, que je lui fais entièrement confiance.
J’étais parti alors, pendant des années il me pourchasser, et je fuyais, et tuer aussi. Jusqu’au jour où je voulais ma vengeance. Je suis donc revenu, disant que je voulais changer d’air enfin des excuses, depuis il croit que je ne sais rien, mais je prépare juste ma vengeance qui sera terrible. Je tuais pour lui, et je devenais de plus en plus folle. J’aimais faire souffrir, entendre leur cries de détresse, le fait de me supplier, tous cela m’exciter de plus en plus.
Je me réveillais en sursaut, je m’étais remémorer des souvenirs d’enfances.
Quelques mois c’était passer, j’étais resté ici, tout en continuant mon boulot. Damon tracer les moindres faits et gestes de la famille de Dereck
Je décidais d’aller sur la tombe de mes parents, je cueilli quelques roses en chemin et mit sur la tombe.
-J’espère papa, maman que vous êtes fière de moi, car moi non, j’ai laissé tomber Dereck car Damon me la demander, je suis la fille incapable que vous avez eu. Je deviens folle et pense qu’à votre vengeance. Je n’arrive pas sans vous. Des larmes commençaient à tomber. Vous me direz que tous bien, de réparé mes erreurs, mais je ne peux pas. Les seuls sentiments qu’on ressent pour moi sont la haine ou la peur. Je peux plus, je suis à bout de force, et seule.
-Tu le mérite bien d’être seule, tu ne crois pas.
Je me mis debout mais ne me retournais pas.
-Tu as raison, je l’ai mérite. Tue moi maintenant qu’on en finisse.
Je me retournais, je tombais a genou, et il put voir que j’étais en pleure. Il s’approcha de moi et me déclara :
-Qui est ce Damon ?
-Le fils de l’homme qui a tué mes parents.
-Donc les miens aussi ?
-Oui…
-Pourquoi as-tu accusé ma famille alors ?
-Parce que Damon me l’a demandé, si je veux ma vengeance, il doit avoir confiance en moi.
-Je vois. Mais tu n’es pas seule.
-Comment ça ?
Il prit mes mains, et me releva.
-Tu es la grande tueuse, alors relève toi, et on va se venger.
-Comment tu comptes m’aider, on est deux, tu sais…
-Nous aussi, on la, dit une voix grave.
Et je pus voir la famille de Dereck.
-On savait que Damon se servait de toi, on a bien vu tes signes, jamais tu nous aurais laissé partir 2 fois, a pare si c’est Damon qui demande, ce n’est pas dans tes habitudes de meurtres.
-On va tous s’allié et le faire tomber.
-Ok.
La famille commençait à partir, laissant lui et moi seuls.
-Tu sais Dereck, j’étais sérieuse quand je disais t’aimer. Je lui avais dit sa d’une petite voix et la tête baisser.
Il mit un doigt sous mon menton, pour me faire relever la tête, on se regardait dans les yeux et il déclara :
-Moi aussi j’étais sérieux.
Et on s’embrassa. Sa m’avait tellement manquer ses levres.