La Tueuse

chapitre 5:

J’avais choisi une robe rose pâle moulante, avec un petit décolleté. Elle m’allait tellement bien, tu ne feras que succomber mon chère Arturo. Je me maquillais, et descendais. Mon ordinateur était prêt, sur la table basse du salon.
-Mettez-vous de l’autre côté de la camera, il ne faut pas qu’il vous voit.
Ils le firent, une fois prêt, je l’appeler en camera, les autres me regarder attentivement. Il répondit, il n’a pas changé. Arturo est un homme d’une quarantaine, gros, et bourré de fric, il est châtain aux yeux marron, avec une petite barbe. Il était entouré de filles, pour ne pas changer.
-Que me vos l’appelé de la fameuse Tueuse.
J’utilisais une voix charmeuse.
-Je voulais te voir, tu n’as point de temps pour moi.
Tout le monde voyait ce qui se passer. Il avait branché un câble a la télé pour pourvoir y voir eux aussi.
-Les filles partaient ! Toute suite !
Ils étaient tous étonner.
-Tu vois bien que j’ai toujours du temps pour toi. Alors que veux-tu ?
-J’aimerai venir chez toi, te voir.
Il se redressa de son siège rouge en velours.
-Tu n’as jamais voulu jusqu’ici. Pourquoi maintenant ?
-Il y a que les idiotes qui ne changent pas d’avis, puis tu sais depuis la mort de mes parents je me sens tellement seule.
-Tu veux venir quand ?
-Ce soir.
-Très bien je t’y attends, a toute suite ma beauté.
Je refermais l’ordi et dit :
-Et voilà c’est fait.
-Bravo et maintenant on fait quoi ?
-C’est simple, on va louer une limousine, vous serez dedans, moi pendant ce temps je lui ferrais comprendre que je veux du sexe mais ailleurs, il m’écoutera, et je l’emmène dans la limousine.
-Aussi simple que ça. Déclara Marc.
- Faut pas cherché compliquer. Allez, on va se préparé.
Tous, on se prépara, on a pris les armes, on réussit à louer une limousine. Puis, on arriva devant une très grande demeure noire, luxueuse. Je sortais dehors, sur un chemin en pierre, on entendait mes talons noir claquer. On ‘ouvrit le portail, tout le monde me regarder. J’arrivais enfin à la demeure, on m’ouvrit. Plein de filles, y étaient en petite tenue, elles me fixaient.
-Où est Arturo ?
-Oh enfin, te voilà, laisser là les filles, et monte Nina.
Arturo était en haut de ces escaliers, recouverts d’un tapis de velours.
Je montais, et le suivais  à son bureau. Il s’assit sur son fauteuil.
-Que me vos l’honneur de ta venue ?
-J’avais très très envie de te voir, si tu vois ce que je veux dire.
Je m’approchais de lui, sensuellement,  je me mis derrière lui, et passer mes mains sous sa chemise.
Il se retourna, posa ces mains sur mes cuisses, et les remontai, petit à petit.
-Attend, je veux pas ici, je ne veux pas qu’on soit déranger.
-Bien sûr, dis-moi où ?
-J’ai loué une limousine, on pourrait aller dedans.
-Qui me dit que ce n’est pas un piège, et que tu ne vas pas me tuer.
-Peut-être parce que, si j’aurais voulu te tuer, tu le serais déjà.
-C’est vrai, allez vite on y va !
On partit. Super, s’avait marché, j’en étais sûr. Arriver dehors, il tenait mes hanches, commençais a embrasser mon début de décolleter. Arriver, au niveau de la limousine, il mit ces mains sous ma robe, je lui ouvris la porte.
-Rentre vite.
Il rentra, et là, tous les garçons braquèrent leurs flingues dessus. Je rentrais et la limousine, commença à rouler.
-J’espère que tu aimes ma surprise.
-J’aurais dû me méfier.
-C’est vrai tu aurais dû. Maintenant, est ce que c’est toi qui a tué mes parents ?
Il éclata de rire. Je pris un flingue et tiré a 1 cm de sa tête. Il s’arrêta.
-Je n’aime pas qu’on se fout de ma gueule.
-Tu dois te méfier du gang a ton père.
-Il en a plus.
-Si tu savais, après tout ton père a bien kidnapper et violer ta mère.
- Sa c’était avant, il avait changé !
- S’ils l’ont fait avec ta mère, pourquoi pas la fille ?
-Qui est le gang de mon père ?
-Oh ils sont bien plus proches que tu ne le pense.
-Nina ! Cria le chauffeur, on a les flicks, je peux plus avancer, ils nous encerclent.
Je regardais Arturo.
-Tu as fait quoi ?
-Je les juste appeler, pour venir me chercher.
Je pris un grand fou-rire.
-Merci mon chère Arturo, pour m’envoyer de la compagnie. Vous vous restez tous là !
Je sortis de la limousine, tous braquèrent leurs armes sur moi.
-Vous êtes en état d’arrestation Harley !
-Comment sa Harley ?
-Putain Dereck, j’ai dit de rester dans la limousine !
-Et si tu avais besoin d’aide ?
-J’en ai pas putain, maintenant on est dans la merde !