La Tueuse

chapitre 16:

Nous sommes enfin arrivé, dans cette foret que je pourrais reconnaitre, quand je m’enfuyais plus jeune et m’y cachais dedans. La maison de mon oncle est immense noir, un château. Beaucoup de ces hommes s’y trouvent et séjour chez lui. La voiture s’arrête devant la porte d’entrée. Je prend la main de Dereck et sort. Les portes du château s’ouvre, deux hommes tout en noir venait d’ouvrir.
-Votre oncle vous attend mademoiselle.
Nous avançons donc dans le grand couloir.
-Ma nièce !
Mon oncle vient nous trouver, derrière lui des dizaines hommes tous eux aussi en noir.
-Coucou mon oncle.
On se fait une accolade.
-Qui est donc ce jeune homme ?
-Oh je te présente Dereck.
Ils se sert donc la main tous les deux.
-Bon allons-nous rafraichir, venez donc.
Nous sommes donc allé sur un balcon, nous avons parlé de tout, mon enfance surtout ce qui a particulièrement fait plaisir à Dereck. Jusqu’à qu’on en vienne au sujet sérieux.
-Nina t-a-elle dit que je veux la prendre dans mon groupe ? Que si je meurs se sera-t-elle l’héritière ?
-Non.
-Mon oncle, on en a déjà parlé, je préfère faire cavalière seule.
-Tu seras bien plus protéger ici.
-Je me protège très bien seule, prend quelqu’un d’autre.
-Je ne peux pas Nina, tu es parfaite pour être la chef tu le sais et tu es ma descendante.
-Oui mais…
-Monsieur.
Un homme venait d’arriver.
-Oui ?
-Nous n’arrivons pas à le faire parler.
-Vous avez tout essayé ?
-Oui et rien.
-De qui parle-t-il mon oncle ?
-Un homme qui s’est infiltré chez nous qui est passé de peu pour me tuer, c’est un de mes hommes qui a pris à ma place, il travaille pour quelqu’un, mais il ne veut rien dire.
Je me lève.
-Laisse le moi.
Je suis les hommes pour m’emmener au sous-sol, on y trouve des cages comme les prisons, avec plusieurs prisonniers, des corps morts qui ne sont pas nettoyé encore. On entend mes talons claqué contre la pierre du sol.
-Partez !
Le soi-disant homme qui s’est infiltré leva la tête, sur son visage on y put lire de la peur.
-Non ! Non ! Pas vous je vous en prie !
-Oh si.
Je m’approche de lui. Lui tourne au tour en lui caressant les épaules, le visage.
-Alors comme ça, on est un méchant garçon. On veut tuer le dernier membre de ma famille.
-Je vous dirais tout !
-Qui t’a envoyé ?
-Marco.
-Oh déjà ? Je suis déçu je pensais m’amuser avec toi.
-Laissez-moi partir je vous ai dit pour qui je travaille !
-Oh non tu vas mourir pour avoir osé faire ça ! Et j’ai une très bonne idée, et si je te filmais pendant je vais te torturé.
Quelques minutes plus tard, j’installe la caméra que j’ai demandée aux gardes.
-Amusons-nous !
Je prends un chalumeau.
-Je trouve sa super le chalumeau, non pas toi, j’ai toujours adorée torturé mes victimes avec.
Je l’approche de son visage.
-Non ! Non ! Crie-t-il.
Je l’approche de son torse et lui fit un grand A qui recouvre quasi tous son torse au bout de quelques minutes j’arrête.
-Aller passons à autres choses maintenant.
J’emmène avec lui, une machine électrique que je branche ces poignées.
-Tu vas voir toi aussi, tu vas aimer ça.
J’allume, je mets d’abord à petite dose puis je vais de plus en plus fort. Ses cris s’intensifient aussi. Que j’aime entendre leur cries a tous !
J’éteins avant qu’il meurt, qu’il puisse ressentir encore la douleur. Puis, je prends une tenaille avec un grand sourire, je lui coupais un par un ses doigts. Une fois fait je lui tirais dans la jambe droite, dans le ventre et l’épaule, beaucoup de son sang se vidait, mais c’est ce que je voulais.
-Tu mourras comme sa en agonisant.
Je pars en prenant la camera et repart rejoindre Dereck et mon oncle.
-C’est Marco, qui l’a envoyé, j’ai filmé sa torture je voudrais qu’on lui envoi ce petit cadeau.
Il appelle trois de ces hommes pour aller donner la vidéo.
-Et surtout ne dites pas que ça vient de mon oncle, mais de la tueuse Arley.
Et ils partent.
-Demain soir j’ai un rendez-vous chez lui.
-Je viendrais avec toi, tu pourras lui présenter ta nièce, et il sera ravi de voir la femme qui a tué son protégé.
-Très bien.

Ce bal est très vite arrivé, je venais de finir de me maquiller et fit une tresse et j’enfile ma robe noir sirène. Je descends les escaliers et retrouve Dereck.
-Que tu es beau !
-Et toi magnifique.
On s’embrasse et reste dans les bras l’un de l’autre pendant 5min. Puis, on prend la voiture, mon oncle était partis un peu avant pour que Marco ne se doute de rien.
Apres 15 min de voiture, on se trouve devant le palais de ce fameux Marco. On ouvre la porte et je pus voir Mon oncle et donc le Marco discuter, quand il écarquilla les yeux.
-Oh Marco, je ne t’ai pas prévenu voici ma nièce Nina, mais on l’appelle la Tueuse Arley.
-Allons dans mon bureau.
On le suivait, monte les escaliers, et prend une porte a droit, le bureau était grand tout en bois, avec une grande bibliothèque.
-Tu as osé tuer un de mes hommes ! Crie Marco en me montrant du doigt.
-Et toi tu as voulu me tuer, n’est-ce pas ? Demande mon oncle.
-Parce que tu n’as jamais essayé arrêtons cette mascarade un peu, nous essayons de nous tuer tous les deux.
-Si tu veux je le tue maintenant mon oncle, déclarais-je en sortant mon arme.
-Oh non tu ne ferras rien. Dis Dereck en pointant son arme sur moi.
-Qu’est ce…
-Oh désolé Nina, tu ne le savais pas Dereck est mon neveu. Bon j’ai organisé un bal allons en profiter nous réglerons nos affaires après.
On descend tous, du monde était la et dansaient. Mais moi, je ne pense qu’a une chose Dereck qui m’a menti, comment a-t-il osé j’aurais dû le tuer quand j’aurais pu. Plus jamais je n’écoute mes sentiments c’est fini !
Je dansais avec Dereck. Comment cela est arrivé ? Il m’a demandé et mon oncle m’a dit d’accepté car nous sommes sur le territoire de Marco et on nous tuerait, même si je pense que je pourrais les gagner, mais ne prenons aucun risque.
-Tu ne me parle plus Nina ?
- Je ne parle pas au menteur comme toi !
-Oh tu sais j’en avais assez d’être ton petit toutou qui te suit de partout et qui ne dit rien !
-Tu m’as menti sur tout ? Même sur tes sentiments ?
-Peut-être, cela te brise le cœur ?
-Non du tout, ma vengeance ne sera que meilleurs.
-J’ai hâte de vois sa ma douce.
-Alors jouons, lui chuchote a l’oreille.