chapitre 14

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Il fessait nuit. Je tapais contre un mur avec des gangs de boxes. Je les ai mêlés à mes affaires. Je suis conne putain ! Comment je fais s’il arrive quelque chose. J’aurais dû faire cavalier seule, comme toujours.
- Tu ne viens pas dormir ?
C’était la voix de Dereck.
-Non. Je ne suis pas d’humeur.
-Qu’est ce qui se passe ?
Je m’arrêtais et me retournais. Il se tenait contre le mur derrière moi, torse nu avec un jogging gris. Qu’est-ce qu’il est beau.
-Rien. Enfin…
Je m’asseyais a cote de lui.
-Tu sais plus jeune un ami de Damon, était bourré de frics, je l’étais pas du tout, il fessait que bien me le rappeler que j’étais une petite merde insignifiante.
-Tu t’es jamais venger ?
-Je suis sous les ordres de Damon, donc non jamais…
Il se leva.
-Alors allons-y !
-Pardon ?
-Allons te venger.
-Damon sera que c’est moi.
-Et alors ? Il le sera une bonne fois pour toute que tu le mets à l’ envers.
-Dit j’ai une idée, mais tu me prendras pour une folle comme tout le monde…
Il s’accroupit et il me fit une caresse au visage.
-Jamais, dis-moi.
-Si on tués chacun de ces hommes, qu’il comprenne que c’est lui que nous voulons, mais avant je veux qu’il soit seule comme je l’ai étais.
Il me regarda, pendant 5 min. Ok j’avais compris…
-Je te suis. Mais on le fait seul.
Je me levais, on se prit dans les bras.
-A nous deux, nous serons fort, plus fort que tout le monde. Dis-je.
-Allons-nous préparé, on part toute suite après.
Je pris toutes les armes qui nous fallait mit dans un sac, des vêtements. Pendant ce temps Dereck écrivait une lettre à ces parents, pour leur expliquer ce que nous allions faire, de ne pas s’inquiéter.
Enfin 1h après, nous sommes partis en voiture. Direction l’ami de Damon. Nous arrivions après 30 min de route, il vivait dans une maison, avec ces hommes. On devait donc se faire très discret. On prit chacun quelques armes et couteaux. Je passais par devant et Dereck par derrière. On se disait bonne chance s’embrassais et partis à l’attaque.
Bon, deux gardes étaient postés devant l’entrée. Je suis une fille au tant faire avec ce que nous avons. Je m’approchais d’eux et leur dit :
-Bonjour, je me suis perdu, peut-être vous pourriez m’aider.
Ils s’approchèrent tous les deux, avec un grand sourire. Bande de pervers. Quand ils furent assez près. Je pris mon couteau et trancher la tête au blond, il me restait donc le châtain. Heureusement, que j’ai pensé à prendre un silencieux. Et je lui tirais en pleine tête, avant qu’il ait pur dire quelque chose. 2 en moins. J’espère sa ira pour Dereck. J’entrais, ils étaient dans le salon par chance, ils ne m’ont pas entendu, ni vus. Cela tombe bien. Je pris deux autres armes.
-Bonjour messieurs.
Ils se retournèrent. Je tirais tous sur eux, a pare un, j’avançais vers lui, il avait peur. Pauvre petit.
-Ou est-il ?
-En haut dans son bureau.
-Très bien merci.
Je lui tirais dans la tête. En voulant monter dans les escaliers, Dereck me rejoignit. C’est bon il a rien. On trouva enfin le bureau, j’entrais arme en mains et déclarai :
-Bonsoir Kevin.
Il se retourna.
-Bonsoir Nina, oh tu as emmené de la compagnie. Et tu me vise avec une arme Damon ne sera pas très content ?
-Je sais.
-Il te ferra souffrir.
-Il souffrira bien avant.
Je lui donnai un coup dans le ventre, puis dans le tibia. Il se mit à genou devant moi.
-Tu te souviens kevin ? Je n’étais qu’une merde n’est-ce pas, on va voir qu’il l’est vraiment entre nous deux.
Puis, je l’assommais. Dereck le pris sur lui. Et le mit dans le coffre.
-On l’emmène ou ? Me demanda-t-il.
-J’ai une planque on l’emmènera là-bas.
2h plus tard, Kevin était attacher dans ma planque, je l’ai confié a 2 hommes dont je pouvais avoir confiance, ils pouvaient le torturé tant qu’il ne meurt pas, j’allais m’occuper de lui plus tard. Sur la route nous avions trouvé un petit hôtel pour la journée.  Je partais prendre une douche, en sortant je vus Dereck devant les infos.
« Nous confirmons la disparition de Kevin Alame, il aurait était kidnapper par la tueuse, la fameuse Arley comme nous l’appelons, mais elle aurait un complice, un homme se prénommant Dereck, il y a peu de chance de l’homme soit encore en vie… »
J’éteignis la télévision.
-Sa sert à rien de regarder ça, on va y entendre pendant un long moment, jusqu’à qu’on nous oubli, ce qui risque fort de ne jamais arriver. Aller viens on va manger, on ira se coucher après.
Le lendemain on se levait, il était au moins 17h, on devait partir. On préparait toutes nos affaires et partit.
-On va tout le temps parler de nous, déclarais-je.
-Se faire poursuivre,
-Traquer,
-Toujours a fuir.
-Mais on y arrivera.
-Toujours.
-Notre amour et notre vengeance seront toujours plus fort que cela, disons en même temps.
On se donna la main, en même temps pour nous  encourager.
Papa, Maman je suis avec lui, comme vous le voulez et on vous vengera, je vous le promets.

La Tueuse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant