chapitre 3:

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J’étais en train de réfléchir à un plan, dans ma chambre. Si je reste ils seront tous en danger.  Et je ne veux pas les embarquer dans un monde comme celui-ci. Comment faire ? Mes parents, eux, se seraient enfuis, pas par peur, mais pour que personne ne soit blesser. Malheureusement, si je pars, où aller ? Je n’ai plus de chez moi. Et puis maintenant que Damien et Dereck, savent qui je suis, ils pourraient aller le dire. Mais attendez, pourquoi son groupe avait des armes ? Ils savent les manier ? En même temps Damien, est le neuve, d’une des plus grandes tireuses, ça ne m’étonnerais pas.
Bon allez c’est décider, je dois partir. Je fis mon sac, mit quelques affaires. Je n’entendais rien. C’est bon. Je descends doucement, sans aucun bruit. Quand j’arrivais à la porte, enfin, je sentis une présence et entendis : « Tu comptes t’enfuir ?
Je me retournais.
-Qu’est-ce que ça peut te faire ?
-La grande Tueuse ne se serait pas enfuit, à moins que tu n’es pas celle que tu fais croire à tout le monde.
Je souris.
-Quand il le faut, je m’enfuis, et puis je préfère être seule. Maintenant salut !
J’ouvrais la porte, puis à ce moment Dereck me déclara :
-Tes parents étaient de brave gens.
Je me retournais, encore une fois.
-Tu les connais ?
-Moi non, mais mes parents oui, ils étaient de très bon amis. Je leur ai parlé de toi, ils voudraient te voir, mais comme tu pars.
-Pourquoi tu me dis ça ?
-Tu ne devrais pas le savoir ?
Je ne dis rien.
-Prépare-toi dans 30min on part, les voire. »
Je montais, mit un jean, un croc top blanc, et des escarpins, puis ma veste en cuir. Puis, on partit. Aucun mot, pendant le trajet. On arrivait devant une immense maison, marron.  On entra.
-Papa ! Maman ! Je suis là !
Un homme brun aux yeux marron, barbus, grands et costaux arrive, son père. Puis, une femme blonde aux yeux bleus, grande, sa mère.
-Oh Nina, dit la mère. Je suis Judith et voici mon mari Richard. Tu es aussi belle que ta mère.
-Merci beaucoup.
-Viens donc, on va manger.
J’étais en face de Dereck et ces parents étaient aux extrémités de la table.
-Nous avions étaient très triste et surpris, quand nous avons appris leur mort.
-Oui.
-Tu sais qui auraient pu les tuer ? Demanda Richard.
-Ils savaient beaucoup d’ennemis.
-Comme beaucoup d’amis.
-Comment ça ?
-Quand un gang avait besoin d’aide, ils étaient toujours là, prêts à aider.
-Je les ai toujours vus fuir.
-Dereck, tu viens m’aider à faire la vaisselle. Déclara Judith.
-J’arrive.
Il ne restait plus que Richard et moi.
-Ils n’ont pas arrêté de fuir dès que tu as sus marcher.
-Mais pourquoi ?
-Il voulait te faire adopter.
-Quoi ?! Non ils n’auraient jamais fait ça !
-Ils voulaient te protéger, d’eux, de leur monde. Et puis, juste avant qu’ils allaient t’emmener, ils t’ont vu avec un couteau pour enfant, en train d’essayer de tuer des poupées, qu’on t’avait offert. Ils sont toutes suite compris, que c’était trop tard, tu avais sa dans le sang. Ils t’ont tout appris. Parce qu’ils savaient qu’ils allaient mourir. Si ton oncle ta demander de venir, ce n’est pas pour rien. Ils avaient promis à tes parents qu’a 18 ans, tu vivrais chez lui.
-Pourquoi à mes 18ans ? Sa fait des années que je suis seule, que mes parents sont morts.
-Parce que tu étais forte, une vraie machine de guerre. Tous les gangs, t’aurais voulu, ils le savaient très bien.  A tes 18 ans, tu serais adulte, ils pourraient te prendre dans leur gang, te mariée, et avoir un enfant. Imagine l’enfant qui pourrait avoir.
-Vous faites partit d’un gang et vous voulez que je l’intègre c’est ça ?
-C’est ce que tes parents voulaient Nina. Ils fessaient partis de ce gang, avant que tu n’arrives au monde.
-Pour je sois mariée et en cloc, non merci.
-On ne te ferrait jamais ça, sinon tes parents, ne nous auraient jamais parlé de toi. Ecoute, réfléchis a tous ce que je viens de dire, et si tu as des questions, viens me voir. Ma porte te sera toujours ouverte.
-Merci beaucoup.  Mais parlez-moi encore de mes parents, je ne les ai pas tellement connus.
-Tes parents étaient fait pour être ensemble, même s’ils venaient de gang ennemis, leur amour était beaucoup plus fort, ils sont tous affronter ensemble. Et puis, tu es arrivé, un pur bonheur pour eux. Ta mère, n’aurait pas dû avoir un enfant, elle était stérile, tu étais un miracle. Ils sont toujours tous fait pour toi. Je t’ai vu petite, tu ressembler tellement a ta mère. Et comment tes parents parlaient de toi, tu avais bien le caractère de ton père.
-Et mes grands-parents, pourquoi je ne les ai jamais connus ?
-Les parents de ton père et ta mère se détestaient, alors quand ils sont su, que leurs enfants étaient ensemble, sa était dure pour eux, mais quand ils ont annoncé la grossesse, ce fut la goutte d’eau. Ils sont coupés les liens avec tes parents, et non jamais voulu te connaitre. Pour eux, tu étais la malédiction incarné.
-Vous pensez qu’ils auraient pu tuer mes parents ?
-Je ne sais pas, d’un côté je pense que oui, pour eux ce n’étaient plus leurs enfants, mais des ennemis. Mais c’étaient quand même leurs enfants, ils les aimaient.
-Je veux aller les voir.
-Vraiment ? Je pense que tes parents auraient voulus ça.
-Ils sont mort ! Je fais ce que je veux. Donc je vais les voire. Ou habitent-ils ces fameux grands-parents paternels et maternels ?
-Je sais que les parents de ta mère habitent à Miami, pour ceux de ton père, je ne sais pas.
-Très bien j’y vais.
Je commençais à me lever pour partir.
-Attend !
Je me retournais.
-Oui ? Demandais-je.
-Tu me crois ? Tu ne penses pas que je te mens ?
-Non.
-Pourquoi ?
-Si vous étiez les amis à mes parents, ils devaient vous faire confiance, alors moi aussi.
-Ecoute, je veux bien tu ale les voire, mais en échange je veux que des personnes viennent avec toi.
-Non !
-Nina ! S’il te plait.
-Très bien. Et qui ?
-Damien, Pierre et Dereck.
- Ok, prévenez-les, on part ce soir à 19H.
Puis je partis, pour de bons.
Préparez-vous mes chers grands parents, votre petite fille chérie arrive.

La Tueuse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant