chapitre 22:

1.6K 86 16
                                    

-Qu'est ce que tu me veux encore Tiago? Je lui demande.

-Toi comme toujours, ton oncle ta bien dit que nous devions vivre ensemble.

-Bonne nouvelle pour toi. Mon oncle n'est pas mon père, jamais je ne l écouterai donc tu peux oublier cette idée.

-Ton père aurait voulu sa.

Je rigole. Qu'il est drôle.

-Tes parents étaient de brave gens mais ta mère était trop faible à rester avec ton père . Nous serions fort ensemble.

J' étais de dos à lui. Je lève la tête. Erreur. Il n aurait jamais du dire sa.

Je vais lui apprendre se que ma mère m'a appris.

-Cela te dérange je dois aller m habiller j en ai pour peu de temps. Je reviens après.

-Je t en prie.

Je vais dans ma salle de bain. Que mon plan rentre en action.

J'enlève le peignoir que j'ai, ouvre les tiroirs d'une commode où se trouve tout mes sous vêtements et mes armes bien sûr , mais cela personne ne le sait.

Je met un petit body noir qui moule chacune de mes formes. Il a un dos nu avec sur les côtés et sur le décolleté de la résille.

Je prend deux sortes de collant de porte jarretelles, un en résille et l autre noir tout simple.

Je lâche mes cheveux bouclés, que j'avais attaché en chignon.

Je prend mes escarpins noir dans les mains et rentre dans la chambre.

Que le jeu commence.

Il se retourne surpris, et regarde chaque détails de mon corps.

Profite.

-Je met quel collant avec?

-Pardon?

-Tu es sourd?

-Non non ceux en résille.

-Tres bien.

Il était assis sur mon lit je vais à côté de lui, m assoi et met un par un tout doucement mes bas.

Je le vois du coin de l œil , il a du mal à se tenir.

Allons plus loin.

Je me lève, puis lui. Je fais comme si je trébuchais, et tombe sur lui, sur le lit.

Il me tiens par la taille.

-Tu veux qu'on s amuse?

-Qu'est ce que tu veux?

-Rien. Mais nous allons bientôt être marié à quoi cela sert d attendre encore plus longtemps ? Et puis tu avais raison , maintenant tu le dis ma mère était faible.

Il me retourne, je suis en dessous de lui, il me tiens les mains. Il m embrasse le cou.

-Attend, assie toi sur ma chaise, je vais te faire un petit show.

-Bonne idée.

Imbécile.

Je le met sur la chaise, passe derrière lui en mettant mes mains sur ces épaules. Et lui chuchote à l oreilles

-Tu vas adoré.

Je lui met un bandeau sur les yeux. Il ne se doute vraiment de rien. Les hommes sont tellement facile à manipuler.

Je m asseoie sur lui. Prend ces mains et les passes sur tout mon corps.

-Profite Tiago, je ne ferais pas sa une deuxième fois.

Oh oui sa c'est sur.

Il commence à enlever les bretelles de mon body.

-Attend j ai une surprise pour toi.

Je vais dans la salle de bain. Prend un couteau et un flingue.
Je m approche de lui. Puis je met mon flignue contre l arrière de sa tête.

Quant à mon couteau je le cache dans mon body dans mon dos.

Quand il sent l arme, il se lève vite, enlève le bandeau.

-Tu es malade !

-J'aurais dû te tuer, au lieu de m amuser.

-Tu es folle!

-Tu disais ma mère faible, mais voilà se qu'elle m'a appris. J'aurais pus te tuer si facilement alors ne redis plus sa.

-Tu es cinglé !

-Merci du compliment.

Il part. Quand il s'approche de la porte. Je lance mon couteau, il arrive à 1cm de sa tête.

-N'oublie jamais que je pourrais te tué quand je veux.

Il part enfin.

Je me change, garde mon body et rajoute un short en jean avec des converses.

Je descends et croire mon oncle.

-Nina tu vas m'écouté un peu maintenant ! Tiago est ton futur mari!

Je m approche de lui avec un regarde noir.

-Tu es mon père?

-Non mais...

-Alors non je ne vais pas t obéir. Et s'il le faut je te tuerai.

-Je suis ta seule famille.

-Qui m'a laisser des années seule. Alors te voir mort ne me ferra rien.

Mon oncle reste choqué. S'il croyait que je l aimer comme ma famille.

Il a fait beaucoup de chose dans le dos de mes parents. Bien sûr j'attend avec impatience ma vengeance. Mais il faut se soit au meilleure moment sinon cela sera moins drôle.

Je sors. Je prend une moto et vais à l'hôpital.

Je ne prend pas la peine d aller à l' accueil. Je sais où je dois aller. Des infirmières me court après. Mais je m en fout.

Enfin j y arrive, je rentre.

-Salut Marie!

-Oh Nina, sa fait longtemps.

Marie est une amie qui travaille comme médecin dans un hôpital. Au moindre souci de santé je vais la voire.

On se connait depuis des années, j ai travailler avec son frère déjà qui fait parti d un gang. On a toute suite accroché.

-Que me vaut ta visite ? Mon frère a fait une connerie ?

-Pas du tout.

Je m assoie dans le fauteuil de droite en face de son bureau.

-Alors que t arrive t il?

-J'aimerai tu me fasse une prise de sang.

-Bien sur. Pourquoi ?

-Je pense être enceinte.

La Tueuse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant