Chapitre 2:

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Sur la photo c'est Dereck

mon oncle était grand, avec tes rondeur, il était brun aux yeux marron. Quant à ma tante, blonde aux yeux vert, grande et mince.
-Bonjour Nina
-Bonjour mon oncle.
-Appelle moi George et voici Elisabeth.
-Bonjour.
-Tu peux m'appeler Elisabeth aussi.
-Aller vient avec nous dans la voiture, nous allons à la maison.
Ils avaient une petite voiture rouge, et moi qui suis habitué aux voitures ou motos de vitesses.
-Tu sais Nina, nous sommes heureux que tu es accepté de venir avec nous. Dit ma tante.
-C'est ce que ma mère aurait voulu....
Puis plus rien, plus aucune parole. Personne ne parlait et sa m'arranger. On était arrivé, c'était une grande maison, blanche, comme dans les films. Je pris mes affaires et les suivaient. Quand on entra une petite fille vient en courant et fit un câlin un sa mère. Quand elle me vit, elle me fit un câlin et me dit « je t'aime déjà ma cousine » Elle était très mignonne, mais à être habituer à ne pas montrer de sentiments, je le fessais encore.
-Aller Léa, on va laisser Nina se reposer puis on va manger, dit Elisabeth.
George me fit le tour de la maison. Il me fit montrer ma chambre. Elle était magnifique, j'avais ma salle de bain à moi, un dressing.
-J'ai un fils de 19ans.
-Pourquoi il n'était pas là ?
-Il devait s'en doute être avec ces amis.
-D'accord.
-Soit gentille avec lui, s'il te plait.
- Si il me cherche, il me trouvera mais j'essaierai de prendre sur moi.
-Merci.
Il partait et arriver à la porte il me dit :
-Et Nina ça me fait plaisir de te voir.
Je lui souris et il partit. Je décider de dormir un peu.
Léa vient me voir, pour me dire que c'était l'heure du repas, enfin, j'avais tellement faim.
Je descendis toujours avec ma perruque. Et je vis deux hommes en plus, ils se retournèrent.
Il y avait un blond aux yeux marron grand musclé, mon cousin s'en doute.
Et l'autre était plus tôt brun aux yeux marron avec des reflets vert, grand et muscler, carrément beau.
-Salut. Leur dis-je.
-Salut. Disent-ils en même temps.
On s'installa à table, puis Elisabeth commença à parler à son fils.
-Alors ta journée de cours Damien ?
-Comme d'hab.
J'étais en face des deux garçons et mon oncle et ma tante aux extrémités de la table.
-Et toi Dereck ?
-Pareil.
Donc le blond c'est Damien et le brun Dereck.
-Nina ira dans votre école.
Dereck éclata de rire. La première fois que je parlais du repas c'est pour dire d'un ton sec :
-Qu'est ce qui te fait rire ?
-Tu seras dans notre classe, et les filles fragiles comme toi n'y reste jamais.
Ce fut à mon tour d'éclater de rire.
-Si tu savais, lui dis-je.
- Si il savait quoi ? Demanda Damien.
-Qui je suis, bien sûr.
-Et qui es-tu ?
-Ta cousine, Nina.
-En faite tes justes une gamines qui n'a plus de parents et qui s'invente une vie.
Erreur.
Je fis mon tic quand je suis énerve tape mes doigt contre la table et mon pied. George le vis et dit :
-Tu as le même tic que ta mère, et les mêmes yeux quand elle était énerve.
Je le regardais, puis retourner la tête vers Dereck, le regardait droit dans les yeux.
-Tu peux leur faire montrer qui tu es Nina.
-George !
-Non Elisabeth, j'ai vu comment c'était avec ma sœur, déjà. Donc vas-y Nina.
- Avec plaisir, déclarais-je avec un grand sourire.
J'enlevais mes lunettes, ma perruque et mon masque, que j'avais mis avant de sortir du train.
-Oh...tu ressembles tellement à ta mère.
-Je sais on me le dit très souvent.
-Et on est censé avoir peur ? Demanda Dereck.
-Bien sûr que non, retourne-toi regarder la télé.
Ils se retournèrent tous.
« Si vous voyez ce visage, avertissez toute suite la police, ne vous approcher pas de cet individus, il peut être très dangereux »
-Attend tu es la tueuse ? Demanda Damien.
-En chair et en os.
-Putain.
Dereck ne disait plus rien, tant mieux.
-Les garçons, on compte sur vous pour ne rien dire.
- Oui, dirent-ils.
Puis la fin du repas ce fit tranquillement.
Demain je retournais au lycée, je ne voulais pas mais il fallait je passe inaperçu et c'était le meilleur moyen. Surtout que j'étais dans la classe de Dereck et ce petit ne me plait pas, mais en même temps il est tellement beau. Bon faut j'arrete de penser à lui moi, j'ai d'autres choses plus importantes.
Une fois tous rangers, je partis me coucher en pensant à ma journée de demain.

La Tueuse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant